L'information avait fuité le mois dernier. Elle est désormais confirmée de manière officielle par Microsoft. Avec Windows Server 2016, il y aura une édition Nano Server que la firme de Redmond destine aux applications modernes et au Cloud.
La recette pour réduire l'empreinte mémoire et disque tient notamment à la suppression de la pile pour l'interface graphique utilisateur, celle du support du 32 bits ou encore du support Remote Desktop. Toute la gestion est opérée à distance et s'appuie sur WMI et PowerShell.
Pour Nano Server, Microsoft évoque deux scénarios : la prise en charge de plusieurs langages de programmation et environnements d'exécution (C#, Java, Node.js, Python…) fonctionnant dans des conteneurs, machines virtuelles ou sur des serveurs physiques, et la prise en charge de l'infrastructure Cloud de Microsoft comme avec l'hébergement de machines virtuelles Hyper-V.