Les trois grands opérateurs de téléphonie mobile français, à savoir
Orange, SFR et Bouygues Telecom, risquent une lourde amende pour entente illégale.
On attend ce jeudi la décision du Conseil de la concurrence dans l'affaire concernant l'entente entre les opérateurs de téléphonie mobile, Orange ( France Télécom ), SFR ( Vivendi Universal ) et Bouygues Télécom.
Les experts envisagent une amende équivalente à 10% du chiffre d'affaires des opérateurs en cause, soit plusieurs centaines de millions d'euros. Une amende qui pourrait dépasser celle infligée à France Télécom début novembre (80 millions d'euros), alors accusé de position dominante sur le marché de gros de l'Internet haut débit.
Ce qu'on peut lire dans Les Echos :
" Les experts misent sur quelques centaines de millions d'euros au total. "
" Avec un préjudice de 3 euros par mois sur trois ans infligé à une quinzaine de millions de clients, les dommages dépassent théoriquement le milliard d'euros. "
Notez qu'une fois le jugement rendu, les consommateurs pourront également réclamer des dommages et intérêts.
Comme quoi, bien mal acquis ne profite jamais ...
On attend ce jeudi la décision du Conseil de la concurrence dans l'affaire concernant l'entente entre les opérateurs de téléphonie mobile, Orange ( France Télécom ), SFR ( Vivendi Universal ) et Bouygues Télécom.
Les experts envisagent une amende équivalente à 10% du chiffre d'affaires des opérateurs en cause, soit plusieurs centaines de millions d'euros. Une amende qui pourrait dépasser celle infligée à France Télécom début novembre (80 millions d'euros), alors accusé de position dominante sur le marché de gros de l'Internet haut débit.
Ce qu'on peut lire dans Les Echos :
" Les experts misent sur quelques centaines de millions d'euros au total. "
" Avec un préjudice de 3 euros par mois sur trois ans infligé à une quinzaine de millions de clients, les dommages dépassent théoriquement le milliard d'euros. "
Notez qu'une fois le jugement rendu, les consommateurs pourront également réclamer des dommages et intérêts.
Comme quoi, bien mal acquis ne profite jamais ...
Source :
Reuters
