Al Gillen, vice-président de la recherche au cabinet d'analystes IDC, a indiqué : " L'incorporation de technologies de virtualisation dans le système d'exploitation est un développement majeur dans l'industrie qui aura un impact sur le long terme sur la manière dont les clients dessinent leurs infrastructures réseaux, dont ils les déploient, et dont ils planifient les possibilités de mises à jour, la disponibilité et la continuité. "
Selon ses propos relayés par Silicon : " L'approche de Red Hat qui est d'intégrer des logiciels de virtualisation et la technologie de clustering avec le système de fichiers donne...la capacité d'aller encore plus loin dans la consolidation du serveur standard et remplit plusieurs pré-requis sophistiqués dans le domaine de la virtualisation. "
Red Hat a par ailleurs indiqué qu'il avait réalisé des " améliorations étendues " du kernel, du réseau et des sous-systèmes I/O depuis la sortie de la quatrième version. D'après le vice-président senior du groupe, Tim Yeaton : " Nous continuons de proposer des coûts réduits en optimisant les performances, la performance et la disponiblité. "
Rappelons que ce mois-ci a été difficile pour la firme. Tout d'abord, le groupe Oracle s'est clairement positionné sur son marché en indiquant qu'il proposerait du support pour les clients de Red Hat et qu'il offrirait une version gratuite de son système d'exploitation open source. Par ailleurs, son concurrent Novell a été choisi par Microsoft comme distribution Linux idéale si les clients souhaitent opérer sur un environnement avec les deux systèmes : Windows et Linux.
