Red hat logo Les gouvernements de cette région du globe commencent en effet à voir dans l'open sources un moyen de dynamiser leurs économies et une manière d'améliorer l'innovation technologique dans ces contrées, a expliqué Szulik. Les responsables sud-coréens, nippons, australiens et chinois ont été des " porte-paroles positifs " pour l'adoption croissante de Linux et des logiciels libres en Asie, a t-il remarqué.

Selon ses propos relayés par InfoWorld, dans la région, la plupart de l'activité de Red Hat, tout comme dans le reste du monde, est la transition de systèmes Unix vers le système d'exploitation Linux. Les clients sont le plus souvent des services financiers, télécoms, technologiques et le gouvernement, a indiqué Szulik.

A la fin du mois d'août, le revenu de Red Hat pour les six premiers mois de l'année fiscale en cours était de 246 millions de dollars, soit 34 % de plus que l'année précédente à la même époque. Environ 85 % de ses revenus proviennent des souscriptions au support logiciel et autres formations. En sus de continuer à profiter des opportunités de remplacements des systèmes Unix sur les serveurs par des systèmes Linux, Red Hat prévoit de nouveaux revenus liés à ses acquisitions comme JBoss par exemple, racheté en juin 2006.

La firme prévoit de dévoiler, dans les mois à venir, de nouvelles technologies qui aideront les clients à construire au niveau mondial des infrastructures informatiques virtualisées.