Bonjour à tous.
Habituellement, je n'interviens pas sur ce NG où l'on trouve plus de
polémique stérile que de renseignement objectif.
Toutefois, le nombre de 35000 interventions par mois, soit 15 % du parc par
an vient d'une source à priori bien informée.
Tilt. Pendant des années, j'ai exercé mes talents dans le recueil et la
synthèse des informations de fiabilité pour un grand groupe d'électronique.
Si l'on passe sur la rusticité du calcul s'agissant de fiabilité, l'ordre de
grandeur est celui de la télévision à lampes des années 60/70, le début de la
couleur en France.
Souvenez-vous : à l'époque, à tous les coins de rue on trouvait un revendeur
d'une marque et chacun avait son - ou ses - technicien(s). Au volant d'une
petite camionette peinte aux couleurs de la marque, ils arpentaient les
routes pour dépanner le client au rythme de - ordre de grandeur - un millier
d'interventions par an.
Le coût de cette armée en marche n'était que partiellement reporté chez le
constructeur, mais s'est néanmoins révélé insupportable. Divers mécanismes
(regroupements, progrès des composants, actions qualité volontaires, etc...)
ont conduit en quelques decennies à une diminution du taux de défaillance de
plusieurs ordres de grandeur. Aujourd'hui, vous avez du mal à trouver un
technicien et on vous échange assez volontiers votre appareil : c'est plus
économique que de l'ouvrir !
Gageons que le processus vécu en électronique se reproduira dans ce domaine
de la communication. L'adsl n'est qu'une étape : les solutions de demain ne
sont peut-être pas encore connues. Qui parlait d'écran plat en 1970 à part
les auteurs de science-fiction ?
L'amélioration drastique des appareils n'est pas tout. Le défaut ressenti par
le client peut être le fait de l'appareil, de l'environnement ou du client
lui-même. La maturité d'une technique comprend la maîtrise du produit, mais
aussi l'adaptation de son environneent et la formation - lente hélas ! - du
client.
Quelles réflexions / insultes / sarcasmes vous inspirent ces idées du petit
matin ?
Bonjour à tous.
Habituellement, je n'interviens pas sur ce NG où l'on trouve plus de
polémique stérile que de renseignement objectif.
Toutefois, le nombre de 35000 interventions par mois, soit 15 % du parc par
an vient d'une source à priori bien informée.
Tilt. Pendant des années, j'ai exercé mes talents dans le recueil et la
synthèse des informations de fiabilité pour un grand groupe d'électronique.
Si l'on passe sur la rusticité du calcul s'agissant de fiabilité, l'ordre de
grandeur est celui de la télévision à lampes des années 60/70, le début de la
couleur en France.
Souvenez-vous : à l'époque, à tous les coins de rue on trouvait un revendeur
d'une marque et chacun avait son - ou ses - technicien(s). Au volant d'une
petite camionette peinte aux couleurs de la marque, ils arpentaient les
routes pour dépanner le client au rythme de - ordre de grandeur - un millier
d'interventions par an.
Le coût de cette armée en marche n'était que partiellement reporté chez le
constructeur, mais s'est néanmoins révélé insupportable. Divers mécanismes
(regroupements, progrès des composants, actions qualité volontaires, etc...)
ont conduit en quelques decennies à une diminution du taux de défaillance de
plusieurs ordres de grandeur. Aujourd'hui, vous avez du mal à trouver un
technicien et on vous échange assez volontiers votre appareil : c'est plus
économique que de l'ouvrir !
Gageons que le processus vécu en électronique se reproduira dans ce domaine
de la communication. L'adsl n'est qu'une étape : les solutions de demain ne
sont peut-être pas encore connues. Qui parlait d'écran plat en 1970 à part
les auteurs de science-fiction ?
L'amélioration drastique des appareils n'est pas tout. Le défaut ressenti par
le client peut être le fait de l'appareil, de l'environnement ou du client
lui-même. La maturité d'une technique comprend la maîtrise du produit, mais
aussi l'adaptation de son environneent et la formation - lente hélas ! - du
client.
Quelles réflexions / insultes / sarcasmes vous inspirent ces idées du petit
matin ?
Bonjour à tous.
Habituellement, je n'interviens pas sur ce NG où l'on trouve plus de
polémique stérile que de renseignement objectif.
Toutefois, le nombre de 35000 interventions par mois, soit 15 % du parc par
an vient d'une source à priori bien informée.
Tilt. Pendant des années, j'ai exercé mes talents dans le recueil et la
synthèse des informations de fiabilité pour un grand groupe d'électronique.
Si l'on passe sur la rusticité du calcul s'agissant de fiabilité, l'ordre de
grandeur est celui de la télévision à lampes des années 60/70, le début de la
couleur en France.
Souvenez-vous : à l'époque, à tous les coins de rue on trouvait un revendeur
d'une marque et chacun avait son - ou ses - technicien(s). Au volant d'une
petite camionette peinte aux couleurs de la marque, ils arpentaient les
routes pour dépanner le client au rythme de - ordre de grandeur - un millier
d'interventions par an.
Le coût de cette armée en marche n'était que partiellement reporté chez le
constructeur, mais s'est néanmoins révélé insupportable. Divers mécanismes
(regroupements, progrès des composants, actions qualité volontaires, etc...)
ont conduit en quelques decennies à une diminution du taux de défaillance de
plusieurs ordres de grandeur. Aujourd'hui, vous avez du mal à trouver un
technicien et on vous échange assez volontiers votre appareil : c'est plus
économique que de l'ouvrir !
Gageons que le processus vécu en électronique se reproduira dans ce domaine
de la communication. L'adsl n'est qu'une étape : les solutions de demain ne
sont peut-être pas encore connues. Qui parlait d'écran plat en 1970 à part
les auteurs de science-fiction ?
L'amélioration drastique des appareils n'est pas tout. Le défaut ressenti par
le client peut être le fait de l'appareil, de l'environnement ou du client
lui-même. La maturité d'une technique comprend la maîtrise du produit, mais
aussi l'adaptation de son environneent et la formation - lente hélas ! - du
client.
Quelles réflexions / insultes / sarcasmes vous inspirent ces idées du petit
matin ?
Quant aux fausses pannes, il y en aura encore beaucoup, mais dans 10 ans
et quelques, les utilisateurs seront beaucoup plus "aware", à part une
minorité de type réfractaires du même genre qui ceux qui n'ont jamais su
changer une roue de secours ou même ouvrir le capot de leur voiture.
Ceux-là devront toujours payer un meccano pour la moindre intervention.
Quant aux fausses pannes, il y en aura encore beaucoup, mais dans 10 ans
et quelques, les utilisateurs seront beaucoup plus "aware", à part une
minorité de type réfractaires du même genre qui ceux qui n'ont jamais su
changer une roue de secours ou même ouvrir le capot de leur voiture.
Ceux-là devront toujours payer un meccano pour la moindre intervention.
Quant aux fausses pannes, il y en aura encore beaucoup, mais dans 10 ans
et quelques, les utilisateurs seront beaucoup plus "aware", à part une
minorité de type réfractaires du même genre qui ceux qui n'ont jamais su
changer une roue de secours ou même ouvrir le capot de leur voiture.
Ceux-là devront toujours payer un meccano pour la moindre intervention.
Jil S a écrit :Quant aux fausses pannes, il y en aura encore beaucoup, mais dans 10 ans et
quelques, les utilisateurs seront beaucoup plus "aware", à part une
minorité de type réfractaires du même genre qui ceux qui n'ont jamais su
changer une roue de secours ou même ouvrir le capot de leur voiture.
Ceux-là devront toujours payer un meccano pour la moindre intervention.
Pour ceux là, il y a les "abonnements services inclus".
Pour l'automobile ça existe déjà :
- vous changez les pneus et choisissez certaines marques, vous avez une
"assistance changement de roue" et un meccano vient gratuitement vous mettre
en place la roue de secours en cas de crevaison.
- vous tombez en panne, en général votre assurance auto comporte une
assistance et on vous envoie un meccano sous 1 heure en cas de panne.
Pour l'ADSL aussi, on commence à voir les abonnements de service pour une
dizaine d'euros par mois en plus de l'abonnement (ou inclus dans un
abonnement qui est plus cher à la base).
Jil S a écrit :
Quant aux fausses pannes, il y en aura encore beaucoup, mais dans 10 ans et
quelques, les utilisateurs seront beaucoup plus "aware", à part une
minorité de type réfractaires du même genre qui ceux qui n'ont jamais su
changer une roue de secours ou même ouvrir le capot de leur voiture.
Ceux-là devront toujours payer un meccano pour la moindre intervention.
Pour ceux là, il y a les "abonnements services inclus".
Pour l'automobile ça existe déjà :
- vous changez les pneus et choisissez certaines marques, vous avez une
"assistance changement de roue" et un meccano vient gratuitement vous mettre
en place la roue de secours en cas de crevaison.
- vous tombez en panne, en général votre assurance auto comporte une
assistance et on vous envoie un meccano sous 1 heure en cas de panne.
Pour l'ADSL aussi, on commence à voir les abonnements de service pour une
dizaine d'euros par mois en plus de l'abonnement (ou inclus dans un
abonnement qui est plus cher à la base).
Jil S a écrit :Quant aux fausses pannes, il y en aura encore beaucoup, mais dans 10 ans et
quelques, les utilisateurs seront beaucoup plus "aware", à part une
minorité de type réfractaires du même genre qui ceux qui n'ont jamais su
changer une roue de secours ou même ouvrir le capot de leur voiture.
Ceux-là devront toujours payer un meccano pour la moindre intervention.
Pour ceux là, il y a les "abonnements services inclus".
Pour l'automobile ça existe déjà :
- vous changez les pneus et choisissez certaines marques, vous avez une
"assistance changement de roue" et un meccano vient gratuitement vous mettre
en place la roue de secours en cas de crevaison.
- vous tombez en panne, en général votre assurance auto comporte une
assistance et on vous envoie un meccano sous 1 heure en cas de panne.
Pour l'ADSL aussi, on commence à voir les abonnements de service pour une
dizaine d'euros par mois en plus de l'abonnement (ou inclus dans un
abonnement qui est plus cher à la base).
c'est pour celà qu'on voit maintenant des incapables arrêtés au sommet
d'une côte ou en plein virage qui sont en train d'appeler leur
assistance avec leur gsm
c'est pour celà qu'on voit maintenant des incapables arrêtés au sommet
d'une côte ou en plein virage qui sont en train d'appeler leur
assistance avec leur gsm
c'est pour celà qu'on voit maintenant des incapables arrêtés au sommet
d'une côte ou en plein virage qui sont en train d'appeler leur
assistance avec leur gsm
Bonjour à tous.
Habituellement, je n'interviens pas sur ce NG où l'on trouve plus de
polémique stérile que de renseignement objectif.
Toutefois, le nombre de 35000 interventions par mois, soit 15 % du parc par
an vient d'une source à priori bien informée.
Tilt. Pendant des années, j'ai exercé mes talents dans le recueil et la
synthèse des informations de fiabilité pour un grand groupe d'électronique.
Si l'on passe sur la rusticité du calcul s'agissant de fiabilité, l'ordre de
grandeur est celui de la télévision à lampes des années 60/70, le début de la
couleur en France.
Souvenez-vous : à l'époque, à tous les coins de rue on trouvait un revendeur
d'une marque et chacun avait son - ou ses - technicien(s). Au volant d'une
petite camionette peinte aux couleurs de la marque, ils arpentaient les
routes pour dépanner le client au rythme de - ordre de grandeur - un millier
d'interventions par an.
Le coût de cette armée en marche n'était que partiellement reporté chez le
constructeur, mais s'est néanmoins révélé insupportable. Divers mécanismes
(regroupements, progrès des composants, actions qualité volontaires, etc...)
ont conduit en quelques decennies à une diminution du taux de défaillance de
plusieurs ordres de grandeur. Aujourd'hui, vous avez du mal à trouver un
technicien et on vous échange assez volontiers votre appareil : c'est plus
économique que de l'ouvrir !
Gageons que le processus vécu en électronique se reproduira dans ce domaine
de la communication. L'adsl n'est qu'une étape : les solutions de demain ne
sont peut-être pas encore connues. Qui parlait d'écran plat en 1970 à part
les auteurs de science-fiction ?
L'amélioration drastique des appareils n'est pas tout. Le défaut ressenti par
le client peut être le fait de l'appareil, de l'environnement ou du client
lui-même. La maturité d'une technique comprend la maîtrise du produit, mais
aussi l'adaptation de son environneent et la formation - lente hélas ! - du
client.
Quelles réflexions / insultes / sarcasmes vous inspirent ces idées du petit
matin ?
Bonjour à tous.
Habituellement, je n'interviens pas sur ce NG où l'on trouve plus de
polémique stérile que de renseignement objectif.
Toutefois, le nombre de 35000 interventions par mois, soit 15 % du parc par
an vient d'une source à priori bien informée.
Tilt. Pendant des années, j'ai exercé mes talents dans le recueil et la
synthèse des informations de fiabilité pour un grand groupe d'électronique.
Si l'on passe sur la rusticité du calcul s'agissant de fiabilité, l'ordre de
grandeur est celui de la télévision à lampes des années 60/70, le début de la
couleur en France.
Souvenez-vous : à l'époque, à tous les coins de rue on trouvait un revendeur
d'une marque et chacun avait son - ou ses - technicien(s). Au volant d'une
petite camionette peinte aux couleurs de la marque, ils arpentaient les
routes pour dépanner le client au rythme de - ordre de grandeur - un millier
d'interventions par an.
Le coût de cette armée en marche n'était que partiellement reporté chez le
constructeur, mais s'est néanmoins révélé insupportable. Divers mécanismes
(regroupements, progrès des composants, actions qualité volontaires, etc...)
ont conduit en quelques decennies à une diminution du taux de défaillance de
plusieurs ordres de grandeur. Aujourd'hui, vous avez du mal à trouver un
technicien et on vous échange assez volontiers votre appareil : c'est plus
économique que de l'ouvrir !
Gageons que le processus vécu en électronique se reproduira dans ce domaine
de la communication. L'adsl n'est qu'une étape : les solutions de demain ne
sont peut-être pas encore connues. Qui parlait d'écran plat en 1970 à part
les auteurs de science-fiction ?
L'amélioration drastique des appareils n'est pas tout. Le défaut ressenti par
le client peut être le fait de l'appareil, de l'environnement ou du client
lui-même. La maturité d'une technique comprend la maîtrise du produit, mais
aussi l'adaptation de son environneent et la formation - lente hélas ! - du
client.
Quelles réflexions / insultes / sarcasmes vous inspirent ces idées du petit
matin ?
Bonjour à tous.
Habituellement, je n'interviens pas sur ce NG où l'on trouve plus de
polémique stérile que de renseignement objectif.
Toutefois, le nombre de 35000 interventions par mois, soit 15 % du parc par
an vient d'une source à priori bien informée.
Tilt. Pendant des années, j'ai exercé mes talents dans le recueil et la
synthèse des informations de fiabilité pour un grand groupe d'électronique.
Si l'on passe sur la rusticité du calcul s'agissant de fiabilité, l'ordre de
grandeur est celui de la télévision à lampes des années 60/70, le début de la
couleur en France.
Souvenez-vous : à l'époque, à tous les coins de rue on trouvait un revendeur
d'une marque et chacun avait son - ou ses - technicien(s). Au volant d'une
petite camionette peinte aux couleurs de la marque, ils arpentaient les
routes pour dépanner le client au rythme de - ordre de grandeur - un millier
d'interventions par an.
Le coût de cette armée en marche n'était que partiellement reporté chez le
constructeur, mais s'est néanmoins révélé insupportable. Divers mécanismes
(regroupements, progrès des composants, actions qualité volontaires, etc...)
ont conduit en quelques decennies à une diminution du taux de défaillance de
plusieurs ordres de grandeur. Aujourd'hui, vous avez du mal à trouver un
technicien et on vous échange assez volontiers votre appareil : c'est plus
économique que de l'ouvrir !
Gageons que le processus vécu en électronique se reproduira dans ce domaine
de la communication. L'adsl n'est qu'une étape : les solutions de demain ne
sont peut-être pas encore connues. Qui parlait d'écran plat en 1970 à part
les auteurs de science-fiction ?
L'amélioration drastique des appareils n'est pas tout. Le défaut ressenti par
le client peut être le fait de l'appareil, de l'environnement ou du client
lui-même. La maturité d'une technique comprend la maîtrise du produit, mais
aussi l'adaptation de son environneent et la formation - lente hélas ! - du
client.
Quelles réflexions / insultes / sarcasmes vous inspirent ces idées du petit
matin ?
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
D'abord, est-on sur que
la quantité des pannes est plus faible aujourd'hui qu'hier ?
Ensuite, un accès Internet, si on défini le point de départ au
répartiteur/dslam et le point d'arrivé au modem/routeur chez le client, c'est
une multitude de points que je qualifie de vivants qui sont loin de
ressembler au processus de fabrication d'un TV.
Et chaque point de chaque
abonné vit et vieilli différemment. En quelque sorte c'est un organisme
vivant. Le réseau se dégrade plus vite qu'il n'est réparé ou entretenu alors
que l'utilisation qui en est faite va en se densifiant.
Pas possible de
savoir de quoi sera fait le futur, mais si je devais faire des projections à
partir de se que je vois et connais, le réparateurs ont encore quelques
belles années devant eux.
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
D'abord, est-on sur que
la quantité des pannes est plus faible aujourd'hui qu'hier ?
Ensuite, un accès Internet, si on défini le point de départ au
répartiteur/dslam et le point d'arrivé au modem/routeur chez le client, c'est
une multitude de points que je qualifie de vivants qui sont loin de
ressembler au processus de fabrication d'un TV.
Et chaque point de chaque
abonné vit et vieilli différemment. En quelque sorte c'est un organisme
vivant. Le réseau se dégrade plus vite qu'il n'est réparé ou entretenu alors
que l'utilisation qui en est faite va en se densifiant.
Pas possible de
savoir de quoi sera fait le futur, mais si je devais faire des projections à
partir de se que je vois et connais, le réparateurs ont encore quelques
belles années devant eux.
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
D'abord, est-on sur que
la quantité des pannes est plus faible aujourd'hui qu'hier ?
Ensuite, un accès Internet, si on défini le point de départ au
répartiteur/dslam et le point d'arrivé au modem/routeur chez le client, c'est
une multitude de points que je qualifie de vivants qui sont loin de
ressembler au processus de fabrication d'un TV.
Et chaque point de chaque
abonné vit et vieilli différemment. En quelque sorte c'est un organisme
vivant. Le réseau se dégrade plus vite qu'il n'est réparé ou entretenu alors
que l'utilisation qui en est faite va en se densifiant.
Pas possible de
savoir de quoi sera fait le futur, mais si je devais faire des projections à
partir de se que je vois et connais, le réparateurs ont encore quelques
belles années devant eux.
bahn po a écrit :
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
Lorsque la défaillance se situe dans l'alimentation de la box, on se
trouve, au contraire, très proche.
bahn po a écrit :
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
Lorsque la défaillance se situe dans l'alimentation de la box, on se
trouve, au contraire, très proche.
bahn po a écrit :
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
Lorsque la défaillance se situe dans l'alimentation de la box, on se
trouve, au contraire, très proche.
Au contraire, j'y vois deux processus indudtriels assez proches. Il n'y a
rien de vivant dans un téléviseur ni dans une ligne téléphonique. On y trouve
des semiconductrurs, des conducteurs, des jonctions soumis à des contraintes
de température, de corrosion, de vibrations, etc...
Au contraire, j'y vois deux processus indudtriels assez proches. Il n'y a
rien de vivant dans un téléviseur ni dans une ligne téléphonique. On y trouve
des semiconductrurs, des conducteurs, des jonctions soumis à des contraintes
de température, de corrosion, de vibrations, etc...
Au contraire, j'y vois deux processus indudtriels assez proches. Il n'y a
rien de vivant dans un téléviseur ni dans une ligne téléphonique. On y trouve
des semiconductrurs, des conducteurs, des jonctions soumis à des contraintes
de température, de corrosion, de vibrations, etc...
VieuxGeo a écrit:bahn po a écrit :
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
Lorsque la défaillance se situe dans l'alimentation de la box, on se
trouve, au contraire, très proche.
Sur les 35.000 interventions, combien se terminent en échange d'alimentation ?
VieuxGeo a écrit:
bahn po a écrit :
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
Lorsque la défaillance se situe dans l'alimentation de la box, on se
trouve, au contraire, très proche.
Sur les 35.000 interventions, combien se terminent en échange d'alimentation ?
VieuxGeo a écrit:bahn po a écrit :
C'est bien beau, sauf que tu compares l'incomparable.
Lorsque la défaillance se situe dans l'alimentation de la box, on se
trouve, au contraire, très proche.
Sur les 35.000 interventions, combien se terminent en échange d'alimentation ?
VieuxGeo avait prétendu :
Au contraire, j'y vois deux processus indudtriels assez proches. Il n'y a
rien de vivant dans un téléviseur ni dans une ligne téléphonique. On y
trouve des semiconductrurs, des conducteurs, des jonctions soumis à des
contraintes de température, de corrosion, de vibrations, etc...
Tu vis dans un arbre ? Mon TV est posé sur un meuble et ne bouge absolument
pas. Je chauffe l'hiver et aère l'été mon chez moi. Ca ne rouille pas, si ça
s'oxyde, alors je ne le vois pas.
Par contre les lignes téléphoniques sont parfois accrochées à des poteaux et
subissent des contraintes physiques 24/24, 365 1/4 par an. Le chaud le froid,
le sec l'humide le mouillé, les arbres, les plombs de chasse. Un répartiteur
voit passer des centaines d'individus tous les ans, des "agressions" de
montages et démontages qui suivent le progrés.Une armoire de quartier subit
le même sort ou se retrouve à l'abandon, comme le boitier dans la rue. Les
gaines techniques voient des bidouilleurs en tous genres, des civilisés aux
plus sauvages. C'est un (très) court descriptif d'une partie du réseau. Et
crois moi, ça ne va pas en s'améliorant. Rien à voir avec l'histoire du TV.
VieuxGeo avait prétendu :
Au contraire, j'y vois deux processus indudtriels assez proches. Il n'y a
rien de vivant dans un téléviseur ni dans une ligne téléphonique. On y
trouve des semiconductrurs, des conducteurs, des jonctions soumis à des
contraintes de température, de corrosion, de vibrations, etc...
Tu vis dans un arbre ? Mon TV est posé sur un meuble et ne bouge absolument
pas. Je chauffe l'hiver et aère l'été mon chez moi. Ca ne rouille pas, si ça
s'oxyde, alors je ne le vois pas.
Par contre les lignes téléphoniques sont parfois accrochées à des poteaux et
subissent des contraintes physiques 24/24, 365 1/4 par an. Le chaud le froid,
le sec l'humide le mouillé, les arbres, les plombs de chasse. Un répartiteur
voit passer des centaines d'individus tous les ans, des "agressions" de
montages et démontages qui suivent le progrés.Une armoire de quartier subit
le même sort ou se retrouve à l'abandon, comme le boitier dans la rue. Les
gaines techniques voient des bidouilleurs en tous genres, des civilisés aux
plus sauvages. C'est un (très) court descriptif d'une partie du réseau. Et
crois moi, ça ne va pas en s'améliorant. Rien à voir avec l'histoire du TV.
VieuxGeo avait prétendu :
Au contraire, j'y vois deux processus indudtriels assez proches. Il n'y a
rien de vivant dans un téléviseur ni dans une ligne téléphonique. On y
trouve des semiconductrurs, des conducteurs, des jonctions soumis à des
contraintes de température, de corrosion, de vibrations, etc...
Tu vis dans un arbre ? Mon TV est posé sur un meuble et ne bouge absolument
pas. Je chauffe l'hiver et aère l'été mon chez moi. Ca ne rouille pas, si ça
s'oxyde, alors je ne le vois pas.
Par contre les lignes téléphoniques sont parfois accrochées à des poteaux et
subissent des contraintes physiques 24/24, 365 1/4 par an. Le chaud le froid,
le sec l'humide le mouillé, les arbres, les plombs de chasse. Un répartiteur
voit passer des centaines d'individus tous les ans, des "agressions" de
montages et démontages qui suivent le progrés.Une armoire de quartier subit
le même sort ou se retrouve à l'abandon, comme le boitier dans la rue. Les
gaines techniques voient des bidouilleurs en tous genres, des civilisés aux
plus sauvages. C'est un (très) court descriptif d'une partie du réseau. Et
crois moi, ça ne va pas en s'améliorant. Rien à voir avec l'histoire du TV.