Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
courrier en me réclamant un supplément de facture d'environ 50 Euros
suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
courrier en me réclamant un supplément de facture d'environ 50 Euros
suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
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suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
courrier en me réclamant un supplément de facture d'environ 50 Euros
suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
courrier en me réclamant un supplément de facture d'environ 50 Euros
suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
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suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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Est ce que tu as un email d'eux récapitulant ta commande et tes achats
et les réductions auxquelles tu as eu droit ?
Tu avais posté le même message il y a 10 jours, depuis cette date est
ce que tu as pu les joindre pour leur parler ?
--
Olivier Ligny
www.virgal.net (mondes virtuels 3D)
Est ce que tu as un email d'eux récapitulant ta commande et tes achats
et les réductions auxquelles tu as eu droit ?
Tu avais posté le même message il y a 10 jours, depuis cette date est
ce que tu as pu les joindre pour leur parler ?
--
Olivier Ligny
www.virgal.net (mondes virtuels 3D)
Est ce que tu as un email d'eux récapitulant ta commande et tes achats
et les réductions auxquelles tu as eu droit ?
Tu avais posté le même message il y a 10 jours, depuis cette date est
ce que tu as pu les joindre pour leur parler ?
--
Olivier Ligny
www.virgal.net (mondes virtuels 3D)
Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
courrier en me réclamant un supplément de facture d'environ 50 Euros
suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
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suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
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A+
Lancelot
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en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
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suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
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Lancelot
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Lancelot wrote:Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
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A+
Lancelot
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Je rebondi sur ce problème ...
Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
Je me rappelle avoir lu que toute trace écrite est une preuve, quelque
soit le support, mais on peut toujours contester la validité d'un
e-mail non chiffré ... ou d'une copie d'écran ...
Thibaut
Lancelot wrote:
Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
courrier en me réclamant un supplément de facture d'environ 50 Euros
suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
A+
Lancelot
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Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
Je me rappelle avoir lu que toute trace écrite est une preuve, quelque
soit le support, mais on peut toujours contester la validité d'un
e-mail non chiffré ... ou d'une copie d'écran ...
Thibaut
Lancelot wrote:Bonjour,
en profitant de diverses réductions j'ai commandé un toner pour une
imprimante laser à un prix très interessant (24 euros)
j'ai la preuve puisque j'ai fait une copie d'écran
j'ai réglé immédiatement par chèque envoyé par courrier
j'ai bien reçu la marchandise mais cette societé me relance par
courrier en me réclamant un supplément de facture d'environ 50 Euros
suis-je en droit de les envoyer balader ?
avec quels arguments ?
merci d'avance
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Lancelot
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Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
Je me rappelle avoir lu que toute trace écrite est une preuve, quelque
soit le support, mais on peut toujours contester la validité d'un
e-mail non chiffré ... ou d'une copie d'écran ...
Thibaut
D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une preuve
contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me rappelle avoir lu que toute trace écrite est une preuve, quelque
soit le support, mais on peut toujours contester la validité d'un
e-mail non chiffré ... ou d'une copie d'écran ...
On peut forcément toujours contester même l'incontestable, sinon il n'y
aurait jamais de litiges.
Thibaut
--
D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$1@amma.irisa.fr,
Thibaut Henin <thenin@irisa.fr> écrit:
Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une preuve
contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me rappelle avoir lu que toute trace écrite est une preuve, quelque
soit le support, mais on peut toujours contester la validité d'un
e-mail non chiffré ... ou d'une copie d'écran ...
On peut forcément toujours contester même l'incontestable, sinon il n'y
aurait jamais de litiges.
Thibaut
--
D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une preuve
contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me rappelle avoir lu que toute trace écrite est une preuve, quelque
soit le support, mais on peut toujours contester la validité d'un
e-mail non chiffré ... ou d'une copie d'écran ...
On peut forcément toujours contester même l'incontestable, sinon il n'y
aurait jamais de litiges.
Thibaut
--
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était
fausse). Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un
e-mail ... c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la
partie adverse, comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est
et comment ça a lieu.
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était
fausse). Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un
e-mail ... c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la
partie adverse, comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est
et comment ça a lieu.
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était
fausse). Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un
e-mail ... c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la
partie adverse, comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est
et comment ça a lieu.
Moisse wrote:D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:
D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$1@amma.irisa.fr,
Thibaut Henin <thenin@irisa.fr> écrit:
Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:
D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$1@amma.irisa.fr,
Thibaut Henin <thenin@irisa.fr> écrit:
Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:
D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$1@amma.irisa.fr,
Thibaut Henin <thenin@irisa.fr> écrit:
Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.
Moisse wrote:D'une plume alerte, dans le message fhrioo$e3u$,
Thibaut Henin écrit:Qu'en est-il du statu de "preuve" d'une copie d'écran (facilement
falsifiable) et d'un mail (facilement falsifiable si on utilise pas de
cryptographie) ?
La preuve est admissible tant que quelqu'un n'administre pas une
preuve contraire ou une action en faux.
Il faut distinguer toutefois la preuve des conditions d'obtention de
ladite.
C'est le juge qui se forge sa conviction.
Je me perd en lisant la phrase ... Alors, un exemple :)
Je vais au tribunal, et dans mes pieces, j'ai une copie papier d'un
e-mail que je dit avoir reçu de l'autre partie.
L'autre partie dit "mais on a rien envoyé nous !".
La preuve est donc admissible (ils ont pas prouvé qu'elle était fausse).
Par contre, le juge va sûrement dire "heu, vous avez qu'un e-mail ...
c'est un peu léger ça". Mais il peut condamner ou pas la partie adverse,
comme il le sent ? c'est ça ?
Le coup de "une action en faux", par contre, je vois pas ce que c'est et
comment ça a lieu.