Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
http://www.ssi.gouv.fr/fr/confiance/certificats.html
Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
http://www.ssi.gouv.fr/fr/confiance/certificats.html
Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
http://www.ssi.gouv.fr/fr/confiance/certificats.html
"Francois Grieu" a écrit dans le message de news:Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
http://www.ssi.gouv.fr/fr/confiance/certificats.html
Le dépouillement d'un scrutin doit pouvoir être contrôlé par n'importe quel
citoyen. Or tous les citoyens n'ont pas la compétence technique leur
permettant de contrôler le fonctionnement d'une machine à voter. S'ils
doivent déléguer, selon le principe démocratique ils devraient aussi élire
ceux qui sont chargé du contrôle.
D'une part, rien ne justifie leur utilisation, puisque le système manuel
fonctionne très bien et ne manque pas de volontaires. D'autre part, il y a
déjà eu des ratés aux Etats-Unis notamment. Le recomptage laborieux a
donné, hazard? un président de droite.
Donc les raisons de ne pas avoir confiance, et même d'avoir peur, sont
nombreuses. Enfin, il ne me semble pas qu'on puisse valablement obliger les
électeurs à l'utiliser. La contestation la plus efficace est donc peut-être
le boycott.
"Francois Grieu" <fgrieu@gmail.com> a écrit dans le message de news:
fgrieu-F0A5D4.17204706042007@news-1.proxad.net
Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
http://www.ssi.gouv.fr/fr/confiance/certificats.html
Le dépouillement d'un scrutin doit pouvoir être contrôlé par n'importe quel
citoyen. Or tous les citoyens n'ont pas la compétence technique leur
permettant de contrôler le fonctionnement d'une machine à voter. S'ils
doivent déléguer, selon le principe démocratique ils devraient aussi élire
ceux qui sont chargé du contrôle.
D'une part, rien ne justifie leur utilisation, puisque le système manuel
fonctionne très bien et ne manque pas de volontaires. D'autre part, il y a
déjà eu des ratés aux Etats-Unis notamment. Le recomptage laborieux a
donné, hazard? un président de droite.
Donc les raisons de ne pas avoir confiance, et même d'avoir peur, sont
nombreuses. Enfin, il ne me semble pas qu'on puisse valablement obliger les
électeurs à l'utiliser. La contestation la plus efficace est donc peut-être
le boycott.
"Francois Grieu" a écrit dans le message de news:Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
http://www.ssi.gouv.fr/fr/confiance/certificats.html
Le dépouillement d'un scrutin doit pouvoir être contrôlé par n'importe quel
citoyen. Or tous les citoyens n'ont pas la compétence technique leur
permettant de contrôler le fonctionnement d'une machine à voter. S'ils
doivent déléguer, selon le principe démocratique ils devraient aussi élire
ceux qui sont chargé du contrôle.
D'une part, rien ne justifie leur utilisation, puisque le système manuel
fonctionne très bien et ne manque pas de volontaires. D'autre part, il y a
déjà eu des ratés aux Etats-Unis notamment. Le recomptage laborieux a
donné, hazard? un président de droite.
Donc les raisons de ne pas avoir confiance, et même d'avoir peur, sont
nombreuses. Enfin, il ne me semble pas qu'on puisse valablement obliger les
électeurs à l'utiliser. La contestation la plus efficace est donc peut-être
le boycott.
> Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
> Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
> Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
> Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
> la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
> exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
> pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
> des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
> sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
> significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
Machine à voter ou pas il y a de l'informatique dedans. Autrement dit
absolument rien ne nous garantit que le nom du votant + pour qui il a voté
ne seront pas enregistrés discrètement à toutes fins utiles...
> Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
> la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
> exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
> pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
> des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
> sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
> significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
Machine à voter ou pas il y a de l'informatique dedans. Autrement dit
absolument rien ne nous garantit que le nom du votant + pour qui il a voté
ne seront pas enregistrés discrètement à toutes fins utiles...
> Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
> la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
> exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
> pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
> des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
> sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
> significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
Machine à voter ou pas il y a de l'informatique dedans. Autrement dit
absolument rien ne nous garantit que le nom du votant + pour qui il a voté
ne seront pas enregistrés discrètement à toutes fins utiles...
Dasn l'article <461a720e$0$3274$,
"Corinne" a érit:Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
Machine à voter ou pas il y a de l'informatique dedans. Autrement dit
absolument rien ne nous garantit que le nom du votant + pour qui il a voté
ne seront pas enregistrés discrètement à toutes fins utiles...
En fait il est raisonablement sur que ce n'est pas enregsitré DANS la
machine, car la machine ignore le nom du votant: il n'est normalement
enregistré nulle par l'ordre des votants. Par contre il suffit d'un
enregistrement sonore de ce qui se dit, où le nom des votants apparait,
et la confidentialité du vote n'est plus assurée dès lors que la machine
(ou un autre appareil espionnant la machine à distance) enregistrerais
les votes individuels.
Aussi, plus simplement, rien ne garanti que le comptage effectué par
la machine reflète exactement les choix des électeurs.
Hélas toutes ces considérations sont sans grande valeur juridique.
François Grieu
Dasn l'article <461a720e$0$3274$426a34cc@news.free.fr>,
"Corinne" <invalid@invalid.dr> a érit:
Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
Machine à voter ou pas il y a de l'informatique dedans. Autrement dit
absolument rien ne nous garantit que le nom du votant + pour qui il a voté
ne seront pas enregistrés discrètement à toutes fins utiles...
En fait il est raisonablement sur que ce n'est pas enregsitré DANS la
machine, car la machine ignore le nom du votant: il n'est normalement
enregistré nulle par l'ordre des votants. Par contre il suffit d'un
enregistrement sonore de ce qui se dit, où le nom des votants apparait,
et la confidentialité du vote n'est plus assurée dès lors que la machine
(ou un autre appareil espionnant la machine à distance) enregistrerais
les votes individuels.
Aussi, plus simplement, rien ne garanti que le comptage effectué par
la machine reflète exactement les choix des électeurs.
Hélas toutes ces considérations sont sans grande valeur juridique.
François Grieu
Dasn l'article <461a720e$0$3274$,
"Corinne" a érit:Je cherche aussi quel fondement juridique il y aurait à contester
la confiance que l'on peut avoir dans une machine à voter, par
exemple au motif qu'elle n'a pas été approuvée par les (voire,
pas déclarée aux) services de la DCSSI, en charge de la sécurité
des systèmes informatiques, qui en tout cas n'ont attesté de la
sécurité d'aucune des machines à voter dont l'emploi très
significatif est annoncé pour les prochaines présidentielles.
Machine à voter ou pas il y a de l'informatique dedans. Autrement dit
absolument rien ne nous garantit que le nom du votant + pour qui il a voté
ne seront pas enregistrés discrètement à toutes fins utiles...
En fait il est raisonablement sur que ce n'est pas enregsitré DANS la
machine, car la machine ignore le nom du votant: il n'est normalement
enregistré nulle par l'ordre des votants. Par contre il suffit d'un
enregistrement sonore de ce qui se dit, où le nom des votants apparait,
et la confidentialité du vote n'est plus assurée dès lors que la machine
(ou un autre appareil espionnant la machine à distance) enregistrerais
les votes individuels.
Aussi, plus simplement, rien ne garanti que le comptage effectué par
la machine reflète exactement les choix des électeurs.
Hélas toutes ces considérations sont sans grande valeur juridique.
François Grieu
Peut etre le fait que le signataire de l'arreté (le ministre de
l'intérieur)soit également candidat ? Juge et partie !
Daniel
P.S. Il existe peut etre un moyen "militant" d'empécher le fonctionnement
de ses machines; c'est pour les élections législatives de présenter plus
de 50 listes (vu qu'apparemment la machine ne doit savoir gérer que 50
listes). Sauf erreur (a verifier) se présenter à la députation ne coute
pas un centime. Il suffit que 50 citoyens fasse acte de candidature... et
la machine a voter déclare forfait...
Peut etre le fait que le signataire de l'arreté (le ministre de
l'intérieur)soit également candidat ? Juge et partie !
Daniel
P.S. Il existe peut etre un moyen "militant" d'empécher le fonctionnement
de ses machines; c'est pour les élections législatives de présenter plus
de 50 listes (vu qu'apparemment la machine ne doit savoir gérer que 50
listes). Sauf erreur (a verifier) se présenter à la députation ne coute
pas un centime. Il suffit que 50 citoyens fasse acte de candidature... et
la machine a voter déclare forfait...
Peut etre le fait que le signataire de l'arreté (le ministre de
l'intérieur)soit également candidat ? Juge et partie !
Daniel
P.S. Il existe peut etre un moyen "militant" d'empécher le fonctionnement
de ses machines; c'est pour les élections législatives de présenter plus
de 50 listes (vu qu'apparemment la machine ne doit savoir gérer que 50
listes). Sauf erreur (a verifier) se présenter à la députation ne coute
pas un centime. Il suffit que 50 citoyens fasse acte de candidature... et
la machine a voter déclare forfait...
"Daniel" a écrit dans le
message de news:Peut etre le fait que le signataire de l'arreté (le ministre de
l'intérieur)soit également candidat ? Juge et partie !
Daniel
P.S. Il existe peut etre un moyen "militant" d'empécher le fonctionnement
de ses machines; c'est pour les élections législatives de présenter plus de
50 listes (vu qu'apparemment la machine ne doit savoir gérer que 50
listes). Sauf erreur (a verifier) se présenter à la députation ne coute pas
un centime. Il suffit que 50 citoyens fasse acte de candidature... et la
machine a voter déclare forfait...
Quel esprit tordu :-)))
"Daniel" <enleveravantlefetapresleyf1tayantispams@wanadoo.fr> a écrit dans le
message de news: mn.4d917d74eb45ae8f.50167@wanadoo.fr...
Peut etre le fait que le signataire de l'arreté (le ministre de
l'intérieur)soit également candidat ? Juge et partie !
Daniel
P.S. Il existe peut etre un moyen "militant" d'empécher le fonctionnement
de ses machines; c'est pour les élections législatives de présenter plus de
50 listes (vu qu'apparemment la machine ne doit savoir gérer que 50
listes). Sauf erreur (a verifier) se présenter à la députation ne coute pas
un centime. Il suffit que 50 citoyens fasse acte de candidature... et la
machine a voter déclare forfait...
Quel esprit tordu :-)))
"Daniel" a écrit dans le
message de news:Peut etre le fait que le signataire de l'arreté (le ministre de
l'intérieur)soit également candidat ? Juge et partie !
Daniel
P.S. Il existe peut etre un moyen "militant" d'empécher le fonctionnement
de ses machines; c'est pour les élections législatives de présenter plus de
50 listes (vu qu'apparemment la machine ne doit savoir gérer que 50
listes). Sauf erreur (a verifier) se présenter à la députation ne coute pas
un centime. Il suffit que 50 citoyens fasse acte de candidature... et la
machine a voter déclare forfait...
Quel esprit tordu :-)))
Il ne s'agit pas "d'esprit tordu" mais de la défense de la démocratie...
les machines à voter sans support matériel ne permettent pas de contrôler
la sincérité du vote et sont la porte grande ouverte à la fraude
électorale.
C'est justement pour éviter la fraude électorale que dans les années 80 le
ministre de l'intérieur de l'époque Pierre Joxe a fait modifier certaine
modalité du vote : depuis cette époque les urnes sont transparentes pour
éviter leur bourrage et l'électeur signe lui même le cahier d'émargement
afin d'éviter de faire voter les électeurs absents.
Les votes truqués dans le Val de Marne, les faux électeurs parisiens et
autre fait du même genre c'est pas si vieux.
Daniel
Il ne s'agit pas "d'esprit tordu" mais de la défense de la démocratie...
les machines à voter sans support matériel ne permettent pas de contrôler
la sincérité du vote et sont la porte grande ouverte à la fraude
électorale.
C'est justement pour éviter la fraude électorale que dans les années 80 le
ministre de l'intérieur de l'époque Pierre Joxe a fait modifier certaine
modalité du vote : depuis cette époque les urnes sont transparentes pour
éviter leur bourrage et l'électeur signe lui même le cahier d'émargement
afin d'éviter de faire voter les électeurs absents.
Les votes truqués dans le Val de Marne, les faux électeurs parisiens et
autre fait du même genre c'est pas si vieux.
Daniel
Il ne s'agit pas "d'esprit tordu" mais de la défense de la démocratie...
les machines à voter sans support matériel ne permettent pas de contrôler
la sincérité du vote et sont la porte grande ouverte à la fraude
électorale.
C'est justement pour éviter la fraude électorale que dans les années 80 le
ministre de l'intérieur de l'époque Pierre Joxe a fait modifier certaine
modalité du vote : depuis cette époque les urnes sont transparentes pour
éviter leur bourrage et l'électeur signe lui même le cahier d'émargement
afin d'éviter de faire voter les électeurs absents.
Les votes truqués dans le Val de Marne, les faux électeurs parisiens et
autre fait du même genre c'est pas si vieux.
Daniel
En fait il est raisonablement sur que ce n'est pas enregsitré DANS la
machine, car la machine ignore le nom du votant: il n'est normalement
enregistré nulle par l'ordre des votants. Par contre il suffit d'un
enregistrement sonore de ce qui se dit, où le nom des votants apparait,
et la confidentialité du vote n'est plus assurée dès lors que la machine
(ou un autre appareil espionnant la machine à distance) enregistrerais
les votes individuels.
En fait il est raisonablement sur que ce n'est pas enregsitré DANS la
machine, car la machine ignore le nom du votant: il n'est normalement
enregistré nulle par l'ordre des votants. Par contre il suffit d'un
enregistrement sonore de ce qui se dit, où le nom des votants apparait,
et la confidentialité du vote n'est plus assurée dès lors que la machine
(ou un autre appareil espionnant la machine à distance) enregistrerais
les votes individuels.
En fait il est raisonablement sur que ce n'est pas enregsitré DANS la
machine, car la machine ignore le nom du votant: il n'est normalement
enregistré nulle par l'ordre des votants. Par contre il suffit d'un
enregistrement sonore de ce qui se dit, où le nom des votants apparait,
et la confidentialité du vote n'est plus assurée dès lors que la machine
(ou un autre appareil espionnant la machine à distance) enregistrerais
les votes individuels.