Co-production polémique
d'un film sur la villa de BHL
NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
Un contrat signé entre France-5 et la société de production de
Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur
la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire
des professionnels.
Bernard-Henri Lévy (Sipa)
L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29
septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain,
la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant
une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la
rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain
et intellectuel à Tanger (Maroc).
Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs
s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur
ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique
un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
"Innaceptable"
En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est
qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours
de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot.
D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de
France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet
"inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire
"trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire
est dans la panade !". Publicité
Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide
financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au
documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer
seule le financement des 250 000 euros restants.
"Transparence"
Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de
France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant
de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais
contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une
ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait
aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a
appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à
Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en
bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire
le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale
transparence."
Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare
elle aussi "très surprise" par la polémique.
"Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée
Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur
Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43
mn, "Andrée Putman, ma vie..."
Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire
"absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
Co-production polémique d'un film sur la villa de BHL
Dis, tu veux pas arrêter de nous les briser avec tes crossposts de goret ?
fu2 fme
-- P.
spanish fly
President Helmut wrote:
Co-production polémique d'un film sur la villa de BHL
Raison de plus pour ne pas payer la redevance.
NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
Un contrat signé entre France-5 et la société de production de Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire des professionnels.
Bernard-Henri Lévy (Sipa)
L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29 septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain, la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain et intellectuel à Tanger (Maroc). Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
"Innaceptable"
En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot. D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet "inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire "trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire est dans la panade !". Publicité
Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer seule le financement des 250 000 euros restants.
"Transparence"
Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale transparence." Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare elle aussi "très surprise" par la polémique. "Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43 mn, "Andrée Putman, ma vie..." Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire "absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
President Helmut wrote:
Co-production polémique
d'un film sur la villa de BHL
Raison de plus pour ne pas payer la redevance.
NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
Un contrat signé entre France-5 et la société de production de
Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur
la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire
des professionnels.
Bernard-Henri Lévy (Sipa)
L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29
septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain,
la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant
une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la
rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain
et intellectuel à Tanger (Maroc).
Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs
s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur
ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique
un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
"Innaceptable"
En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est
qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours
de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot.
D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de
France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet
"inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire
"trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire
est dans la panade !". Publicité
Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide
financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au
documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer
seule le financement des 250 000 euros restants.
"Transparence"
Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de
France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant
de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais
contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une
ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait
aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a
appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à
Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en
bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire
le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale
transparence."
Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare
elle aussi "très surprise" par la polémique.
"Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée
Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur
Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43
mn, "Andrée Putman, ma vie..."
Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire
"absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
Co-production polémique d'un film sur la villa de BHL
Raison de plus pour ne pas payer la redevance.
NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
Un contrat signé entre France-5 et la société de production de Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire des professionnels.
Bernard-Henri Lévy (Sipa)
L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29 septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain, la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain et intellectuel à Tanger (Maroc). Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
"Innaceptable"
En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot. D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet "inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire "trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire est dans la panade !". Publicité
Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer seule le financement des 250 000 euros restants.
"Transparence"
Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale transparence." Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare elle aussi "très surprise" par la polémique. "Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43 mn, "Andrée Putman, ma vie..." Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire "absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
president_helmut
Pierre Cerf wrote in message news:...
President Helmut écrivait :
> Co-production polémique > d'un film sur la villa de BHL
Dis, tu veux pas arrêter de nous les briser avec tes crossposts de goret ?
Si tu en avais j'arrêterais...
Pierre Cerf <cerfp@tiscali.fr> wrote in message news:<pan.2004.10.16.12.59.42.754684@cheoime.ici>...
President Helmut écrivait :
> Co-production polémique
> d'un film sur la villa de BHL
Dis, tu veux pas arrêter de nous les briser avec tes crossposts de goret ?
> Co-production polémique > d'un film sur la villa de BHL
Dis, tu veux pas arrêter de nous les briser avec tes crossposts de goret ?
Si tu en avais j'arrêterais...
president_helmut
Raison de plus pour l'entarter pour la 12ème fois.
spanish fly wrote in message news:<4171c775$0$29522$...
President Helmut wrote: > Co-production polémique > d'un film sur la villa de BHL
Raison de plus pour ne pas payer la redevance.
> > NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37 > > Un contrat signé entre France-5 et la société de production de > Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur > la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire > des professionnels. > > > Bernard-Henri Lévy (Sipa) > > L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29 > septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain, > la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant > une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la > rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain > et intellectuel à Tanger (Maroc). > Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs > s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur > ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique > un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire. > > "Innaceptable" > > En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est > qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours > de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot. > D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de > France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet > "inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire > "trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire > est dans la panade !". Publicité > > > Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide > financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au > documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer > seule le financement des 250 000 euros restants. > > "Transparence" > > Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de > France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant > de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais > contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une > ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait > aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a > appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à > Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en > bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire > le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale > transparence." > Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare > elle aussi "très surprise" par la polémique. > "Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée > Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur > Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43 > mn, "Andrée Putman, ma vie..." > Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire > "absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
Raison de plus pour l'entarter pour la 12ème fois.
spanish fly <que@maxiderm.com> wrote in message news:<4171c775$0$29522$626a14ce@news.free.fr>...
President Helmut wrote:
> Co-production polémique
> d'un film sur la villa de BHL
Raison de plus pour ne pas payer la redevance.
>
> NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
>
> Un contrat signé entre France-5 et la société de production de
> Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur
> la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire
> des professionnels.
>
>
> Bernard-Henri Lévy (Sipa)
>
> L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29
> septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain,
> la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant
> une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la
> rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain
> et intellectuel à Tanger (Maroc).
> Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs
> s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur
> ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique
> un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
>
> "Innaceptable"
>
> En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est
> qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours
> de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot.
> D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de
> France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet
> "inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire
> "trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire
> est dans la panade !". Publicité
>
>
> Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide
> financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au
> documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer
> seule le financement des 250 000 euros restants.
>
> "Transparence"
>
> Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de
> France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant
> de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais
> contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une
> ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait
> aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a
> appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à
> Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en
> bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire
> le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale
> transparence."
> Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare
> elle aussi "très surprise" par la polémique.
> "Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée
> Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur
> Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43
> mn, "Andrée Putman, ma vie..."
> Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire
> "absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
Raison de plus pour l'entarter pour la 12ème fois.
spanish fly wrote in message news:<4171c775$0$29522$...
President Helmut wrote: > Co-production polémique > d'un film sur la villa de BHL
Raison de plus pour ne pas payer la redevance.
> > NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37 > > Un contrat signé entre France-5 et la société de production de > Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur > la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire > des professionnels. > > > Bernard-Henri Lévy (Sipa) > > L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29 > septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain, > la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant > une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la > rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain > et intellectuel à Tanger (Maroc). > Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs > s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur > ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique > un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire. > > "Innaceptable" > > En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est > qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours > de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot. > D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de > France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet > "inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire > "trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire > est dans la panade !". Publicité > > > Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide > financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au > documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer > seule le financement des 250 000 euros restants. > > "Transparence" > > Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de > France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant > de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais > contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une > ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait > aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a > appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à > Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en > bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire > le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale > transparence." > Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare > elle aussi "très surprise" par la polémique. > "Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée > Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur > Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43 > mn, "Andrée Putman, ma vie..." > Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire > "absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
Alex
Melmoth sur fsp... l'ancien castreur de boucs se dévoie ?
"MELMOTH" a écrit dans le message de news:
President Helmut nous susurrait, le 16/10/04, dans son message , les troubles mélismes suivants :
> Co-production polémique > d'un film sur la villa de BHL
HS sur frtp... Et quand on veut faire du crucipostage, on *apprend* à le faire...
Co-production polémique d'un film sur la villa de BHL
NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
Un contrat signé entre France-5 et la société de production de Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire des professionnels.
Bernard-Henri Lévy (Sipa)
Bernard-Henri Lévy, le Gerard Holtz de la philosophie.
L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29 septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain, la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain et intellectuel à Tanger (Maroc). Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
"Innaceptable"
En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot. D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet "inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire "trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire est dans la panade !". Publicité
Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer seule le financement des 250 000 euros restants.
"Transparence"
Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale transparence." Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare elle aussi "très surprise" par la polémique. "Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43 mn, "Andrée Putman, ma vie..." Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire "absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
President Helmut wrote:
Co-production polémique
d'un film sur la villa de BHL
NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
Un contrat signé entre France-5 et la société de production de
Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur
la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire
des professionnels.
Bernard-Henri Lévy (Sipa)
Bernard-Henri Lévy, le Gerard Holtz de la philosophie.
L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29
septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain,
la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant
une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la
rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain
et intellectuel à Tanger (Maroc).
Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs
s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur
ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique
un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
"Innaceptable"
En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est
qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours
de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot.
D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de
France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet
"inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire
"trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire
est dans la panade !". Publicité
Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide
financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au
documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer
seule le financement des 250 000 euros restants.
"Transparence"
Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de
France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant
de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais
contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une
ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait
aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a
appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à
Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en
bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire
le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale
transparence."
Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare
elle aussi "très surprise" par la polémique.
"Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée
Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur
Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43
mn, "Andrée Putman, ma vie..."
Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire
"absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires
Co-production polémique d'un film sur la villa de BHL
NOUVELOBS.COM | 15.10.04 | 14:37
Un contrat signé entre France-5 et la société de production de Bernard-Henri Lévy, engageant 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation de la maison marocaine de l'intellectuel, suscite l'ire des professionnels.
Bernard-Henri Lévy (Sipa)
Bernard-Henri Lévy, le Gerard Holtz de la philosophie.
L 'hebdomadaire Le Canard enchaîné avait révélé le mercredi 29 septembre, un contrat signé entre France-5 et les Films du lendemain, la société de production appartenant à Bernard-Henri Lévy, engageant une coproduction à 150.000 euros pour un documentaire sur la rénovation, par l'architecte Andrée Putman, de la maison de l'écrivain et intellectuel à Tanger (Maroc). Ce contrat a déclenché la polémique, certains producteurs s'interrogent sur le montage "étonnant" de ce plan de financement, sur ce "traitement de faveur" par France-5 qui, habituellement, applique un tarif moyen de 70.000 euros pour ce genre de documentaire.
"Innaceptable"
En l'espèce, la coproduction se monte à 150.000 euros, mais n'est qu'une partie du budget total estimé à 400.000 euros, du film en cours de tournage et dont la réalisation a été confiée à Benoît Jacquot. D'après Libération mercredi, Rony Brauman, administrateur de France-Télévisions, a même envisagé de démissionner. Il juge en effet "inacceptable" le montant de l'investissement dans ce documentaire "trois fois plus que d'habitude, alors que le milieu du documentaire est dans la panade !". Publicité
Selon Le Monde daté samedi 16 octobre, après s'être vu refuser l'aide financière de la Procirep (organisme d'aide sélective au documentaire), la société de Bernard-Henri Lévy a décidé d'assurer seule le financement des 250 000 euros restants.
"Transparence"
Cité par Le Monde, Jean-Pierre Cottet, l'ex-directeur général de France-5, qui a donné son aval au projet en novembre 2003, juste avant de rejoindre le groupe Lagardère, explique : "Au départ, j'avais contacté Bernard-Henri Lévy pour une série intitulée "Un écrivain, une ville" et je comptais lui proposer la ville de Tanger. Lui préférait aller dans une ville mexicaine et, au cours de la conversation, il m'a appris qu'Andrée Putman s'occupait de la réfection de sa maison à Tanger. J'ai alors trouvé passionnante l'idée de suivre de bout en bout le travail de cette grande dame de l'architecture et d'en faire le portrait. La production s'est ensuite faite dans la plus totale transparence." Geneviève Giard, directrice générale adjointe de France 5, se déclare elle aussi "très surprise" par la polémique. "Il ne s'agit pas d'un tournage sur la maison de BHL mais sur Andrée Putman, qui n'a jamais fait l'objet d'un film", dit-elle. Sauf sur Canal+ et Arte, qui lui a consacré le 28 août dernier un film de 43 mn, "Andrée Putman, ma vie..." Contacté par Le Monde, Bernard-Henri Lévy, estimant cette affaire "absurde", n'a pas souhaité faire davantage de commentaires