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CPE et mondialisation de l'émotion ...

31 réponses
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demos
Mes chers amis, il faut tirer deux enseignements majeurs de la crise du CPE.

Le premier à les traits affligés, le visage souvent dépité de nombreux
étudiants en apprenant l'abrogation de l'article 8 de la loi sur légalité
des chances. Certains commentateurs semblent s'en étonner, mais pas Demos.
Jeunes inconsolables, non parce qu'ils douteraient que le terme
«remplacement » employé par le Premier ministre cache un CPE bis sous
quelques mesures sournoises, mais parce que cette contestation - de la plus
haute importance - n'en demeure pas moins le prétexte à une critique globale
qui couve depuis des mois sans cesser de grossir : celle du modèle
néolibéral. La crise du CPE, mes chers amis, c'est l'arbre qui cache la
forêt.
Si depuis trois mois, il stigmatisait le triomphe néolibéral en France,
aujourd'hui le CPE n'existe plus. Il n'existe plus certes, mais la
précarité oui, mais l'injustice oui, mais l'exclusion oui et cela les jeunes
le savent, le sachant ils sont tristes comme le lutin Demos est triste; ils
sont frustrés comme lui par cette demi victoire. Ils sont frustrés car ils
se régalaient à surfer sur la vague enthousiasmante qui ne reconnaît dans le
réel que ce qui peut se réaliser par liberté. Ils ont eu trois mois pour
questionner leur conscience et répugnent maintenant à se livrer à une
indigestion de réel. Ils ont goûté à l'ivresse de porter leur enthousiasme
autre part que dans le nihilisme idiot et affligeant des néolibéraux qui
n'offrent aux salariés en général et à la jeunesse en particulier aucune
autres perspectives qu'une existence précaire, que l'exploitation ou
l'assistanat, que la soumission ou la clochardisation de la rébellion.
Mes chers amis, non seulement la jeunesse de ce pays est remplie de projets,
mais elle est motivée dès qu'il s'agit de réformes ambitieuses.
Je pense aux 86% de jeunes de moins de 26 ans favorables à la
création d'un service civil obligatoire de solidarité par exemple. (1)
Les jeunes, mes chers amis, refusent la peste et le choléra qu'on leur
propose soutenus par une population largement associée à leur résistance
Les jeunes que les néolibéraux présentent comme une charge pour la société
ne sont pas des boulets à traîner. Au contraire, les véritables forces de
progrès de ce pays les tiennent pour une fierté et une richesse au service
de notre société capable de bousculer les mentalités et de réunir les
conditions d'un monde meilleurs. C'est toute la différence...!

De la crise franco-américaine au sujet de la guerre illégale d'Irak, en
passant par le vote noniste du référendum européen, la révolte des
banlieues, et maintenant la crise du CPE, pointe le second enseignement de
cette crise constructive.
La France est devenue la figure emblématique de la résistance à la
globalisation libérale. C'est un pays à soumettre, un pays à réduire voire,
à abattre. Mais cette offensive néolibérale orchestrée par les USA est aussi
un challenge pour nous. Ce n'est pas un handicap comme ces oiseaux de
malheur néolibéraux s'évertuent à le criailler de leur petites ambitions.
L'histoire prouvera que nous ne seront pas tombés dans l'erreur historique
de l'utopie capitaliste. Les néolibéraux sont anesthésiés par l'illusion du
succès en oubliant que la crise française n'intéresserait pas le monde sans
être en même temps, le reflet d'une crise profonde à vocation planétaire;
une crise que la société occidentale refuse d'admettre face à la
globalisation libérale. Comme si les Européens ou les Américains pouvaient
s'intéresser à la crise française du CPE si cette crise n'était pas aussi
pleinement la leur. Et l'exemple affligeant de la façon rocambolesque dont
les médias étrangers traitent l'information depuis plusieurs mois, montre à
quel point les néolibéraux sont impuissants malgré leur efforts de
désinformation à contrecarrer cette évidence.

Face à cette mascarade médiatique de plus en plus contestée, de moins en
moins tolérable, la France, loin de se ridiculiser, vient d'insuffler une
dimension internationale au courant anti-néolibéral en donnant l'exemple de
ce qu'il faut faire concrètement pour endiguer ses ambitions démesurées.
Un vent de « mondialisation de la résistance » vient de souffler sur la
planète comme le tsunami a entraîné après son passage et pendant quelques
mois une « mondialisation de l'émotion « .
D'une contestation nationale, limitée aux frontières de pays qui agissent
isolés - comme par exemple le Venezuela - ou limitée à l'action associative
fusse à vocation internationale - comme l'ONG Attac affaiblie par son refus
obstiné à se former en parti politique international - le Peuple de France a
choisi la voie du « bon sens » de penser une autre réalité que celle imposée
par la droite néolibérale.

Mais il faut clarifier pour être compris du plus grand nombre. Il ne serait
pas honnête de prétendre proposer le modèle français comme réponse unique
aux côtés néfastes de la mondialisation. Certes, je le tiens
incontestablement
supérieur en terme de progrès au modèle étasunien, mais je
ne prétends pas qu'il doive s'imposer. Sinon, cela reviendrait à cautionner
la politique agressive que les USA appliquent depuis 30 ans à l'encontre de
ceux qui contestent leur vision du monde. Au contraire, un pays comme la
Suède par exemple, possède un modèle progressiste dont nous aurions tout
intérêt à nous inspirer tant du côté de la décrispation des moeurs que de la
façon de faire la politique.
Mais l'urgence n'est pas d'imposer un modèle ou un autre, l'urgence est de
provoquer un débat international sur le devenir de la mondialisation; sur la
question essentielle de savoir si le néolibéralisme est une fatalité du XXIè
siècle ou si un autre monde est possible; à quelles conditions; de quels
sacrifices ne pourrions nous éventuellement faire l'économie et pourquoi.
C'est cette prise de conscience internationale que la crise du CPE a fait
surgir de façon presque instantanée.
Mes chers amis, le néolibéralisme n'a pas le monopole de la mondialisation !

J'ai lu sur un forum international au milieu d'un flot d'insultes
(le plus souvent proférées par des Français eux même expatriés au
demeurant), j'ai lu que la France est le dernier rempart de l'humanité. J'ai
vu aussi pour la première fois à Paris, John Monks, secrétaire général de la
Confédération européenne des syndicats (CES), et des manifs de soutien
devant l'ambassade de France de plusieurs capitales.
Ce que nous allons provoquer à court terme, c'est un débat à l'échelle
planétaire car il n'est pas pensable d'admettre sans la moindre réflexion
que le néolibéralisme soit une fatalité pour l'humanité.
Ce qui nous allons faire en 2007, c'est élire un candidat capable de
présenter un programme à vocation européenne voire à vocation
internationale. Nous élirons un homme ou une femme qui s'engage à se rendre
au Conseil de l'Europe, à l'Onu, partout dans le monde pour porter,
promouvoir et encourager, à partir d'institutions internationales
existantes, une réflexion à l'échelle internationale sur l'avenir de la
société occidentale, et promouvoir ce qui est bon dans notre modèle au lieu
de laisser le champs libre à ses détracteurs.
Un élu capable de tisser des liens avec les pays et les courants de pensée
de toutes obédiences qui s'opposent aux néolibéralisme.Un élu capable
d'avoir le courage de rompre avec des partenaires qui s'évertuent à ne
concevoir leur relations qu'a travers l'économie de guerre.

Combien de temps encore, le politique acceptera t-il de se plier aux
exigences du marché alors que l'Occident est de plus en plus riche, alors
que la planète est en passe de subir un désastre écologique sans précédent à
cause de cette course effrénée à l'auto-destruction ..?
S'il apparaît évident que les élus sont impuissants - le cas de Jean
Lassalle prouve tout de même que certains ne supportent plus cette
impuissance à réguler la loi du marché - aucune puissance financière n'est
capable de s'opposer à la volonté des Peuples. A ce sujet, William Pfaff,
auteur d'un article paru dans International Herald Tribune du 30 mars 2006
intitulé « Capitalism under fire » eut cette phrase au sujet de la jeunesse
française « Leur prise de position qui peut sembler rétrograde ou même
ludique pourrait s'avérer prophétique ». A suivre ...


-----------------------------------------------
Une calotte, une mandale, une mornifle peut être ? Ou, pour les natures
suicidaires, une talmouse ...
Demos le blog ... http://www.blogg.org/blog-31810.html ...
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10 réponses

1 2 3 4
Avatar
becan
Il y a des forums politiques pour ces délires

"demos" <http://www.blogg.org/blog-31810.html> a écrit dans le message de
news: 443bb98c$0$21264$

Mes chers amis, il faut tirer deux enseignements majeurs de la crise du
CPE.

Le premier à les traits affligés, le visage souvent dépité de nombreux
étudiants en apprenant l'abrogation de l'article 8 de la loi sur légalité
des chances. Certains commentateurs semblent s'en étonner, mais pas Demos.
Jeunes inconsolables, non parce qu'ils douteraient que le terme
«remplacement » employé par le Premier ministre cache un CPE bis sous
quelques mesures sournoises, mais parce que cette contestation - de la
plus
haute importance - n'en demeure pas moins le prétexte à une critique
globale
qui couve depuis des mois sans cesser de grossir : celle du modèle
néolibéral. La crise du CPE, mes chers amis, c'est l'arbre qui cache la
forêt.
Si depuis trois mois, il stigmatisait le triomphe néolibéral en France,
aujourd'hui le CPE n'existe plus. Il n'existe plus certes, mais la
précarité oui, mais l'injustice oui, mais l'exclusion oui et cela les
jeunes
le savent, le sachant ils sont tristes comme le lutin Demos est triste;
ils
sont frustrés comme lui par cette demi victoire. Ils sont frustrés car ils
se régalaient à surfer sur la vague enthousiasmante qui ne reconnaît dans
le
réel que ce qui peut se réaliser par liberté. Ils ont eu trois mois pour
questionner leur conscience et répugnent maintenant à se livrer à une
indigestion de réel. Ils ont goûté à l'ivresse de porter leur enthousiasme
autre part que dans le nihilisme idiot et affligeant des néolibéraux qui
n'offrent aux salariés en général et à la jeunesse en particulier aucune
autres perspectives qu'une existence précaire, que l'exploitation ou
l'assistanat, que la soumission ou la clochardisation de la rébellion.
Mes chers amis, non seulement la jeunesse de ce pays est remplie de
projets,
mais elle est motivée dès qu'il s'agit de réformes ambitieuses.
Je pense aux 86% de jeunes de moins de 26 ans favorables à la
création d'un service civil obligatoire de solidarité par exemple. (1)
Les jeunes, mes chers amis, refusent la peste et le choléra qu'on leur
propose soutenus par une population largement associée à leur résistance
Les jeunes que les néolibéraux présentent comme une charge pour la société
ne sont pas des boulets à traîner. Au contraire, les véritables forces de
progrès de ce pays les tiennent pour une fierté et une richesse au service
de notre société capable de bousculer les mentalités et de réunir les
conditions d'un monde meilleurs. C'est toute la différence...!

De la crise franco-américaine au sujet de la guerre illégale d'Irak, en
passant par le vote noniste du référendum européen, la révolte des
banlieues, et maintenant la crise du CPE, pointe le second enseignement de
cette crise constructive.
La France est devenue la figure emblématique de la résistance à la
globalisation libérale. C'est un pays à soumettre, un pays à réduire
voire,
à abattre. Mais cette offensive néolibérale orchestrée par les USA est
aussi
un challenge pour nous. Ce n'est pas un handicap comme ces oiseaux de
malheur néolibéraux s'évertuent à le criailler de leur petites ambitions.
L'histoire prouvera que nous ne seront pas tombés dans l'erreur historique
de l'utopie capitaliste. Les néolibéraux sont anesthésiés par l'illusion
du
succès en oubliant que la crise française n'intéresserait pas le monde
sans
être en même temps, le reflet d'une crise profonde à vocation planétaire;
une crise que la société occidentale refuse d'admettre face à la
globalisation libérale. Comme si les Européens ou les Américains pouvaient
s'intéresser à la crise française du CPE si cette crise n'était pas aussi
pleinement la leur. Et l'exemple affligeant de la façon rocambolesque dont
les médias étrangers traitent l'information depuis plusieurs mois, montre
à
quel point les néolibéraux sont impuissants malgré leur efforts de
désinformation à contrecarrer cette évidence.

Face à cette mascarade médiatique de plus en plus contestée, de moins en
moins tolérable, la France, loin de se ridiculiser, vient d'insuffler une
dimension internationale au courant anti-néolibéral en donnant l'exemple
de
ce qu'il faut faire concrètement pour endiguer ses ambitions démesurées.
Un vent de « mondialisation de la résistance » vient de souffler sur la
planète comme le tsunami a entraîné après son passage et pendant quelques
mois une « mondialisation de l'émotion « .
D'une contestation nationale, limitée aux frontières de pays qui agissent
isolés - comme par exemple le Venezuela - ou limitée à l'action
associative
fusse à vocation internationale - comme l'ONG Attac affaiblie par son
refus
obstiné à se former en parti politique international - le Peuple de France
a
choisi la voie du « bon sens » de penser une autre réalité que celle
imposée
par la droite néolibérale.

Mais il faut clarifier pour être compris du plus grand nombre. Il ne
serait
pas honnête de prétendre proposer le modèle français comme réponse unique
aux côtés néfastes de la mondialisation. Certes, je le tiens
incontestablement
supérieur en terme de progrès au modèle étasunien, mais je
ne prétends pas qu'il doive s'imposer. Sinon, cela reviendrait à
cautionner
la politique agressive que les USA appliquent depuis 30 ans à l'encontre
de
ceux qui contestent leur vision du monde. Au contraire, un pays comme la
Suède par exemple, possède un modèle progressiste dont nous aurions tout
intérêt à nous inspirer tant du côté de la décrispation des moeurs que de
la
façon de faire la politique.
Mais l'urgence n'est pas d'imposer un modèle ou un autre, l'urgence est de
provoquer un débat international sur le devenir de la mondialisation; sur
la
question essentielle de savoir si le néolibéralisme est une fatalité du
XXIè
siècle ou si un autre monde est possible; à quelles conditions; de quels
sacrifices ne pourrions nous éventuellement faire l'économie et pourquoi.
C'est cette prise de conscience internationale que la crise du CPE a fait
surgir de façon presque instantanée.
Mes chers amis, le néolibéralisme n'a pas le monopole de la mondialisation
!

J'ai lu sur un forum international au milieu d'un flot d'insultes
(le plus souvent proférées par des Français eux même expatriés au
demeurant), j'ai lu que la France est le dernier rempart de l'humanité.
J'ai
vu aussi pour la première fois à Paris, John Monks, secrétaire général de
la
Confédération européenne des syndicats (CES), et des manifs de soutien
devant l'ambassade de France de plusieurs capitales.
Ce que nous allons provoquer à court terme, c'est un débat à l'échelle
planétaire car il n'est pas pensable d'admettre sans la moindre réflexion
que le néolibéralisme soit une fatalité pour l'humanité.
Ce qui nous allons faire en 2007, c'est élire un candidat capable de
présenter un programme à vocation européenne voire à vocation
internationale. Nous élirons un homme ou une femme qui s'engage à se
rendre
au Conseil de l'Europe, à l'Onu, partout dans le monde pour porter,
promouvoir et encourager, à partir d'institutions internationales
existantes, une réflexion à l'échelle internationale sur l'avenir de la
société occidentale, et promouvoir ce qui est bon dans notre modèle au
lieu
de laisser le champs libre à ses détracteurs.
Un élu capable de tisser des liens avec les pays et les courants de pensée
de toutes obédiences qui s'opposent aux néolibéralisme.Un élu capable
d'avoir le courage de rompre avec des partenaires qui s'évertuent à ne
concevoir leur relations qu'a travers l'économie de guerre.

Combien de temps encore, le politique acceptera t-il de se plier aux
exigences du marché alors que l'Occident est de plus en plus riche, alors
que la planète est en passe de subir un désastre écologique sans précédent
à
cause de cette course effrénée à l'auto-destruction ..?
S'il apparaît évident que les élus sont impuissants - le cas de Jean
Lassalle prouve tout de même que certains ne supportent plus cette
impuissance à réguler la loi du marché - aucune puissance financière n'est
capable de s'opposer à la volonté des Peuples. A ce sujet, William Pfaff,
auteur d'un article paru dans International Herald Tribune du 30 mars 2006
intitulé « Capitalism under fire » eut cette phrase au sujet de la
jeunesse
française « Leur prise de position qui peut sembler rétrograde ou même
ludique pourrait s'avérer prophétique ». A suivre ...


-----------------------------------------------
Une calotte, une mandale, une mornifle peut être ? Ou, pour les natures
suicidaires, une talmouse ...
Demos le blog ... http://www.blogg.org/blog-31810.html ...
-----------------------------------------------




Avatar
demos
Le CPE interesse hautement la branche juridique, cher ami ...

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Une calotte, une mandale, une mornifle peut être ? Ou, pour les natures
suicidaires, une talmouse ...
Demos le blog ... http://www.blogg.org/blog-31810.html ...
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Spyou
demos a écrit :
Mes chers amis, non seulement la jeunesse de ce pays est remplie de projets,
mais elle est motivée dès qu'il s'agit de réformes ambitieuses.



Pourtant, personne, dans cette jeunesse, n'est capable de proposer une
alternative au CPE.

Ils sont frustré car ils s'imaginent qu'il suffit de hurler "NON" pour
que les solutions alternatives satisfaisantes pour tous (ca n'existe
pas) tombent du ciel.

Le CPE n'est plus .. et comme vous le dites fort bien, le probleme de la
précarité générale reste entier.

Les jeunes que les néolibéraux présentent comme une charge pour la société
ne sont pas des boulets à traîner. Au contraire, les véritables forces de
progrès de ce pays les tiennent pour une fierté et une richesse au service
de notre société capable de bousculer les mentalités et de réunir les
conditions d'un monde meilleurs. C'est toute la différence...!



Restons factuels .. qu'est-ce qui, aujourd'hui, encourage une entreprise
a embaucher un jeune ?

Qu'adviendra-t-il, demain, si on force la mains aux grandes entreprises
(qui ont tous les moyens logistiques et legaux de délocaliser) en
matiere d'embauche des jeunes ?

Le probleme n'est pas une simple question de neoliberalisme
Avatar
demos
"Spyou" a écrit dans le message de news:
443be7fd$0$1108$
demos a écrit :
Mes chers amis, non seulement la jeunesse de ce pays est remplie de
projets,
mais elle est motivée dès qu'il s'agit de réformes ambitieuses.



Pourtant, personne, dans cette jeunesse, n'est capable de proposer une
alternative au CPE.

Ils sont frustré car ils s'imaginent qu'il suffit de hurler "NON" pour que
les solutions alternatives satisfaisantes pour tous (ca n'existe pas)
tombent du ciel.

Le CPE n'est plus .. et comme vous le dites fort bien, le probleme de la
précarité générale reste entier.

Les jeunes que les néolibéraux présentent comme une charge pour la
société
ne sont pas des boulets à traîner. Au contraire, les véritables forces de
progrès de ce pays les tiennent pour une fierté et une richesse au
service
de notre société capable de bousculer les mentalités et de réunir les
conditions d'un monde meilleurs. C'est toute la différence...!



Restons factuels .. qu'est-ce qui, aujourd'hui, encourage une entreprise a
embaucher un jeune ?

Qu'adviendra-t-il, demain, si on force la mains aux grandes entreprises
(qui ont tous les moyens logistiques et legaux de délocaliser) en matiere
d'embauche des jeunes ?

Le probleme n'est pas une simple question de neoliberalisme



C'est pourtant les entreprises confrontées au néolibéralisme qui réclame ces
réformes négatives ...
A une époque, le législateur et la jurisprudence sont venus au secours de
l'actionnaire maltraité des Conseils d'administration, mais aujourd'hui,
j'ai la conviction que le législateur devrait rapidement agir pour défendre
l'entité Entreprise et ceux qui lui permette de faire des profits, les
salariés ...

-----------------------------------------------
Une calotte, une mandale, une mornifle peut être ? Ou, pour les natures
suicidaires, une talmouse ...
Demos le blog ... http://www.blogg.org/blog-31810.html ...
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Avatar
Serge
"becan" a écrit dans le message de news:
443bdc49$0$6642$
Il y a des forums politiques pour ces délires



Bonjour,

Dans un pareil cas merci de ne pas reprendre l'intégralité des
élucubrations du post initial !

Ayant bloqué les écrits de cette personne, cela m'évite de devoir les
lire "malgré moi" et surtout de les télécharger !

Par ailleurs, dans votre intérêt, évitez de laisser votre adresse mail
en clair dans les news, sauf à aimer le SPAM !

Serge
Avatar
demos
"Serge" a écrit dans le message de news:
443bf6e4$0$300$

"becan" a écrit dans le message de news:
443bdc49$0$6642$
Il y a des forums politiques pour ces délires



Bonjour,

Dans un pareil cas merci de ne pas reprendre l'intégralité des
élucubrations du post initial !

Ayant bloqué les écrits de cette personne, cela m'évite de devoir les lire
"malgré moi" et surtout de les télécharger !

Par ailleurs, dans votre intérêt, évitez de laisser votre adresse mail en
clair dans les news, sauf à aimer le SPAM !

Serge



Malheureusement, vous semblez dans l'impossiblité de ne pas le faire savoir
...

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Une calotte, une mandale, une mornifle peut être ? Ou, pour les natures
suicidaires, une talmouse ...
Demos le blog ... http://www.blogg.org/blog-31810.html ...
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Avatar
Spyou
demos a écrit :
A une époque, le législateur et la jurisprudence sont venus au secours de
l'actionnaire maltraité des Conseils d'administration, mais aujourd'hui,
j'ai la conviction que le législateur devrait rapidement agir pour défendre
l'entité Entreprise et ceux qui lui permette de faire des profits, les
salariés ...



Le probleme reste entier ... la solution de baisser les charges
patronales et/ou salariales n'est pas envisagable car entrainerai une
enorme protestation de nos amis syndicalistes, le gel des dividendes
n'est pas non plus possible (les actionnaires auront tres vite fait de
sortir leurs billes et d'aller les mettre ailleurs) .. so, what ?
Avatar
Charles S.
Le Tue, 11 Apr 2006 18:55:31 +0200, demos a écrit :

Le CPE interesse hautement la branche juridique, cher ami ...



Pourquoi pas? Ainsi je dirai plutôt qu'existent des forums psy pour ce
genre de deversement de mots, d'expressions, de phrases...
--

Charles S.
Avatar
Charles S.
Le Tue, 11 Apr 2006 19:31:40 +0200, Spyou a écrit :

Le CPE n'est plus .. et comme vous le dites fort bien, le probleme de la
précarité générale reste entier.



Ah bon? On m'aurait donc caché quelquechose? Où puisje déposer plainte
pour "défaut de conseil"?

Restons factuels .. qu'est-ce qui, aujourd'hui, encourage une entreprise
a embaucher un jeune ?



Faire une loi qui interdise le chomage et les délocalisations et rende le
CDI obligatoire. Simple, non? Demandez à Olivier, il est prêt à nous
mitonner ça.
--

Charles S.
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demos
"Charles S." a écrit dans le message de news:

Le Tue, 11 Apr 2006 18:55:31 +0200, demos a écrit :

Le CPE interesse hautement la branche juridique, cher ami ...



Pourquoi pas? Ainsi je dirai plutôt qu'existent des forums psy pour ce
genre de deversement de mots, d'expressions, de phrases...
--

Charles S.




C'est votre psychiatre qui vous l'a dit ...?

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suicidaires, une talmouse ...
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