"JFG" a écrit dans le message de news: 46ea7c1b$0$27397$
mauvaise journée pour la radio.... :-(
trop facile ! elle a été virée depuis longtemps la radio l'a presque oubliée la mauvaise journée est là depuis longtemps avec la disparition de voix différente, non standardisées
sur Europe, ils annoncent qu'elle devait faire partie de l'équipe de laurent bafie
s.
"JFG" <nospam@rien.fr> a écrit dans le message de news:
46ea7c1b$0$27397$ba4acef3@news.orange.fr...
mauvaise journée pour la radio.... :-(
trop facile !
elle a été virée depuis longtemps
la radio l'a presque oubliée
la mauvaise journée est là depuis longtemps
avec la disparition de voix différente, non standardisées
sur Europe, ils annoncent qu'elle devait faire partie de l'équipe de laurent
bafie
"JFG" a écrit dans le message de news: 46ea7c1b$0$27397$
mauvaise journée pour la radio.... :-(
trop facile ! elle a été virée depuis longtemps la radio l'a presque oubliée la mauvaise journée est là depuis longtemps avec la disparition de voix différente, non standardisées
sur Europe, ils annoncent qu'elle devait faire partie de l'équipe de laurent bafie
"Une voix de fumeuse noctambule à vous faire déjanter le transistor. Un esprit à décaper le gnangnan latent. Ça, c'était Supernana. Sacrée bonne femme, qui fut l'opulente égérie des années radios libres, héroïne de feu la sulfureuse Carbone 14, que les fans des années 80 forcément pleureront.
La belle, qui sévit, un temps, sur Skyrock et devait reprendre du micro sur Europe 1, s'est fait la belle hier, emportée à 53 ans, par une longue maladie, comme on dit. Et il y a gros à parier qu'il n'y aura plus de nana super capable de vous rabrouer en direct quelque mâle arrogant d'un bon : «Tape ta queue sur le téléphone qu'on l'entende, mon gros !»
Oui, c'était un temps déraisonnable où une bande de jeunes qui s'appelaient Jean-Yves Lafesse, David Grossexe (le comédien Jean-François Galotte), ou Robert Lehaineux (le Michel Fizbin de la télé associative Zaléa) avait pris les clés des ondes.
Une nuit de 1981, alors que Lafesse dissertait sur Carbone 14 des gros et des grosses, Supernana appela la station : «Je suis grosse, belle, curieuse, et je baise. D'ailleurs, je vais venir séduire.» L'avait pas menti, la gosse née dans le Nord, ci-devant employée du Crédit lyonnais. A 4 heures, elle est là. Fait le siège. Et très vite empêche les auditeurs de dormir dans Poubelle Night, où elle conjugue suavité et salacité, pendant que la station enfile les canulars : fornication en direct (avec un couple payé pour), annonce de la mort de Mick Jagger.
«On ne cherchait pas à provoquer, mais à faire comprendre qu'il ne faut pas croire tout ce que l'on entend. C'est vieux tout ça.» confiait-elle à Libé, en 2001. Sans nostalgie mais avec un regret : «Aujourd'hui les nanas, on ne les laisse pas parler. Ou elles font de la pub, ou on les fait passer pour des idiotes.» "
"Une voix de fumeuse noctambule à vous faire déjanter le transistor. Un
esprit à décaper le gnangnan latent. Ça, c'était Supernana. Sacrée bonne
femme, qui fut l'opulente égérie des années radios libres, héroïne de feu la
sulfureuse Carbone 14, que les fans des années 80 forcément pleureront.
La belle, qui sévit, un temps, sur Skyrock et devait reprendre du micro sur
Europe 1, s'est fait la belle hier, emportée à 53 ans, par une longue
maladie, comme on dit. Et il y a gros à parier qu'il n'y aura plus de nana
super capable de vous rabrouer en direct quelque mâle arrogant d'un bon :
«Tape ta queue sur le téléphone qu'on l'entende, mon gros !»
Oui, c'était un temps déraisonnable où une bande de jeunes qui s'appelaient
Jean-Yves Lafesse, David Grossexe (le comédien Jean-François Galotte), ou
Robert Lehaineux (le Michel Fizbin de la télé associative Zaléa) avait pris
les clés des ondes.
Une nuit de 1981, alors que Lafesse dissertait sur Carbone 14 des gros et
des grosses, Supernana appela la station : «Je suis grosse, belle, curieuse,
et je baise. D'ailleurs, je vais venir séduire.» L'avait pas menti, la gosse
née dans le Nord, ci-devant employée du Crédit lyonnais. A 4 heures, elle
est là. Fait le siège. Et très vite empêche les auditeurs de dormir dans
Poubelle Night, où elle conjugue suavité et salacité, pendant que la station
enfile les canulars : fornication en direct (avec un couple payé pour),
annonce de la mort de Mick Jagger.
«On ne cherchait pas à provoquer, mais à faire comprendre qu'il ne faut pas
croire tout ce que l'on entend. C'est vieux tout ça.» confiait-elle à Libé,
en 2001. Sans nostalgie mais avec un regret : «Aujourd'hui les nanas, on ne
les laisse pas parler. Ou elles font de la pub, ou on les fait passer pour
des idiotes.» "
"Une voix de fumeuse noctambule à vous faire déjanter le transistor. Un esprit à décaper le gnangnan latent. Ça, c'était Supernana. Sacrée bonne femme, qui fut l'opulente égérie des années radios libres, héroïne de feu la sulfureuse Carbone 14, que les fans des années 80 forcément pleureront.
La belle, qui sévit, un temps, sur Skyrock et devait reprendre du micro sur Europe 1, s'est fait la belle hier, emportée à 53 ans, par une longue maladie, comme on dit. Et il y a gros à parier qu'il n'y aura plus de nana super capable de vous rabrouer en direct quelque mâle arrogant d'un bon : «Tape ta queue sur le téléphone qu'on l'entende, mon gros !»
Oui, c'était un temps déraisonnable où une bande de jeunes qui s'appelaient Jean-Yves Lafesse, David Grossexe (le comédien Jean-François Galotte), ou Robert Lehaineux (le Michel Fizbin de la télé associative Zaléa) avait pris les clés des ondes.
Une nuit de 1981, alors que Lafesse dissertait sur Carbone 14 des gros et des grosses, Supernana appela la station : «Je suis grosse, belle, curieuse, et je baise. D'ailleurs, je vais venir séduire.» L'avait pas menti, la gosse née dans le Nord, ci-devant employée du Crédit lyonnais. A 4 heures, elle est là. Fait le siège. Et très vite empêche les auditeurs de dormir dans Poubelle Night, où elle conjugue suavité et salacité, pendant que la station enfile les canulars : fornication en direct (avec un couple payé pour), annonce de la mort de Mick Jagger.
«On ne cherchait pas à provoquer, mais à faire comprendre qu'il ne faut pas croire tout ce que l'on entend. C'est vieux tout ça.» confiait-elle à Libé, en 2001. Sans nostalgie mais avec un regret : «Aujourd'hui les nanas, on ne les laisse pas parler. Ou elles font de la pub, ou on les fait passer pour des idiotes.» "
y'avait eu un projet de Webradio ou elle devait intervenir. ça ne s'est pas fait?
On Sun, 16 Sep 2007 20:52:02 +0100, "Saint Esprit" wrote:
"Une voix de fumeuse noctambule à vous faire déjanter le transistor. Un esprit à décaper le gnangnan latent. Ça, c'était Supernana. Sacrée bonne femme, qui fut l'opulente égérie des années radios libres, héroïne de feu la sulfureuse Carbone 14, que les fans des années 80 forcément pleureront.
La belle, qui sévit, un temps, sur Skyrock et devait reprendre du micro sur Europe 1, s'est fait la belle hier, emportée à 53 ans, par une longue maladie, comme on dit. Et il y a gros à parier qu'il n'y aura plus de nana super capable de vous rabrouer en direct quelque mâle arrogant d'un bon : «Tape ta queue sur le téléphone qu'on l'entende, mon gros !»
Oui, c'était un temps déraisonnable où une bande de jeunes qui s'appelaient Jean-Yves Lafesse, David Grossexe (le comédien Jean-François Galotte), ou Robert Lehaineux (le Michel Fizbin de la télé associative Zaléa) avait pris les clés des ondes.
Une nuit de 1981, alors que Lafesse dissertait sur Carbone 14 des gros et des grosses, Supernana appela la station : «Je suis grosse, belle, curieuse, et je baise. D'ailleurs, je vais venir séduire.» L'avait pas menti, la gosse née dans le Nord, ci-devant employée du Crédit lyonnais. A 4 heures, elle est là. Fait le siège. Et très vite empêche les auditeurs de dormir dans Poubelle Night, où elle conjugue suavité et salacité, pendant que la station enfile les canulars : fornication en direct (avec un couple payé pour), annonce de la mort de Mick Jagger.
«On ne cherchait pas à provoquer, mais à faire comprendre qu'il ne faut pas croire tout ce que l'on entend. C'est vieux tout ça.» confiait-elle à Libé, en 2001. Sans nostalgie mais avec un regret : «Aujourd'hui les nanas, on ne les laisse pas parler. Ou elles font de la pub, ou on les fait passer pour des idiotes.» "
"Une voix de fumeuse noctambule à vous faire déjanter le transistor. Un
esprit à décaper le gnangnan latent. Ça, c'était Supernana. Sacrée bonne
femme, qui fut l'opulente égérie des années radios libres, héroïne de feu la
sulfureuse Carbone 14, que les fans des années 80 forcément pleureront.
La belle, qui sévit, un temps, sur Skyrock et devait reprendre du micro sur
Europe 1, s'est fait la belle hier, emportée à 53 ans, par une longue
maladie, comme on dit. Et il y a gros à parier qu'il n'y aura plus de nana
super capable de vous rabrouer en direct quelque mâle arrogant d'un bon :
«Tape ta queue sur le téléphone qu'on l'entende, mon gros !»
Oui, c'était un temps déraisonnable où une bande de jeunes qui s'appelaient
Jean-Yves Lafesse, David Grossexe (le comédien Jean-François Galotte), ou
Robert Lehaineux (le Michel Fizbin de la télé associative Zaléa) avait pris
les clés des ondes.
Une nuit de 1981, alors que Lafesse dissertait sur Carbone 14 des gros et
des grosses, Supernana appela la station : «Je suis grosse, belle, curieuse,
et je baise. D'ailleurs, je vais venir séduire.» L'avait pas menti, la gosse
née dans le Nord, ci-devant employée du Crédit lyonnais. A 4 heures, elle
est là. Fait le siège. Et très vite empêche les auditeurs de dormir dans
Poubelle Night, où elle conjugue suavité et salacité, pendant que la station
enfile les canulars : fornication en direct (avec un couple payé pour),
annonce de la mort de Mick Jagger.
«On ne cherchait pas à provoquer, mais à faire comprendre qu'il ne faut pas
croire tout ce que l'on entend. C'est vieux tout ça.» confiait-elle à Libé,
en 2001. Sans nostalgie mais avec un regret : «Aujourd'hui les nanas, on ne
les laisse pas parler. Ou elles font de la pub, ou on les fait passer pour
des idiotes.» "
y'avait eu un projet de Webradio ou elle devait intervenir. ça ne s'est pas fait?
On Sun, 16 Sep 2007 20:52:02 +0100, "Saint Esprit" wrote:
"Une voix de fumeuse noctambule à vous faire déjanter le transistor. Un esprit à décaper le gnangnan latent. Ça, c'était Supernana. Sacrée bonne femme, qui fut l'opulente égérie des années radios libres, héroïne de feu la sulfureuse Carbone 14, que les fans des années 80 forcément pleureront.
La belle, qui sévit, un temps, sur Skyrock et devait reprendre du micro sur Europe 1, s'est fait la belle hier, emportée à 53 ans, par une longue maladie, comme on dit. Et il y a gros à parier qu'il n'y aura plus de nana super capable de vous rabrouer en direct quelque mâle arrogant d'un bon : «Tape ta queue sur le téléphone qu'on l'entende, mon gros !»
Oui, c'était un temps déraisonnable où une bande de jeunes qui s'appelaient Jean-Yves Lafesse, David Grossexe (le comédien Jean-François Galotte), ou Robert Lehaineux (le Michel Fizbin de la télé associative Zaléa) avait pris les clés des ondes.
Une nuit de 1981, alors que Lafesse dissertait sur Carbone 14 des gros et des grosses, Supernana appela la station : «Je suis grosse, belle, curieuse, et je baise. D'ailleurs, je vais venir séduire.» L'avait pas menti, la gosse née dans le Nord, ci-devant employée du Crédit lyonnais. A 4 heures, elle est là. Fait le siège. Et très vite empêche les auditeurs de dormir dans Poubelle Night, où elle conjugue suavité et salacité, pendant que la station enfile les canulars : fornication en direct (avec un couple payé pour), annonce de la mort de Mick Jagger.
«On ne cherchait pas à provoquer, mais à faire comprendre qu'il ne faut pas croire tout ce que l'on entend. C'est vieux tout ça.» confiait-elle à Libé, en 2001. Sans nostalgie mais avec un regret : «Aujourd'hui les nanas, on ne les laisse pas parler. Ou elles font de la pub, ou on les fait passer pour des idiotes.» "