Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec le
principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble que
le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec le
principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble que
le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec le
principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble que
le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
<nicolas.degand@laposte.net> wrote:
Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
Azathoth wrote:On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
Merci bien. Je vais lire ça à tête reposée.
Azathoth wrote:
On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
<nicolas.degand@laposte.net> wrote:
Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
Merci bien. Je vais lire ça à tête reposée.
Azathoth wrote:On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
Merci bien. Je vais lire ça à tête reposée.
On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
<nicolas.degand@laposte.net> wrote:
Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
On Tue, 08 Jun 2004 19:55:05 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:Je suis très mauvais en droit (et je ne suis pas forcément d'accord avec
le principe exposé, mais bon il l'est en toutes lettres) mais il me semble
que le passage suivant du préambule de la Constitution de 1946 interdit a
fortiori toute privatisation de services publics et conduire à de jolis
cafouillis en matière de monopoles :
"9. Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les
caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit
devenir la propriété de la collectivité."
Par quelle entourloupe jurisprudentielle parvient on à écarter son
application ou à en faire l'interprétation actuelle ?
Une précision : l'alinéa 9 du préambule de la Constitution de 1946
n'interdit pas "toute privatisation de services publics" car il ne
concerne que certains services publics (service public national /
monopole de fait).
L'astuce (si l'on peut dire) tient donc à la qualification juridique
d'un service public dont on envisage(ait) la privatisation.
Vous trouverez un bon début de réflexion sur ce site :
http://www.opuscitatum.com
à la page :
http://minilien.com/?eEXJwOo989
La question que vous abordez est un peu complèxe (d'autant plus
qu'elle nécessite une très bonne connaissance de la notion de "service
public"). Ceci explique sûrment que vous vous affirmiez un peu dépassé
dans votre intervention initiale. Il faut savoir qu'à l'université,
cette question n'est traitée complètement qu'en maîtrise en droit
(mention droit public) dans le cadre d'un cours intitulé "Droit public
économique". Vous voyez, vous n'avez pas de complèxe à avoir :)
2° Les privatisations : Là ça limite sacrément. On voit mal comment l'Etat
pourrait descendre en dessous de 50 % dans France Télécom. La seule
solution serait d'abandonner la notion de mission de service public
national en matière de téléphonie.
2° Les privatisations : Là ça limite sacrément. On voit mal comment l'Etat
pourrait descendre en dessous de 50 % dans France Télécom. La seule
solution serait d'abandonner la notion de mission de service public
national en matière de téléphonie.
2° Les privatisations : Là ça limite sacrément. On voit mal comment l'Etat
pourrait descendre en dessous de 50 % dans France Télécom. La seule
solution serait d'abandonner la notion de mission de service public
national en matière de téléphonie.
On Wed, 09 Jun 2004 01:43:21 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:2° Les privatisations : Là ça limite sacrément. On voit mal comment l'Etat
pourrait descendre en dessous de 50 % dans France Télécom. La seule
solution serait d'abandonner la notion de mission de service public
national en matière de téléphonie.
Les adorateurs du marché libre sont plus malins que tu ne le penses.
il suffit de lire la nouvelle mouture de l'article L35-2 du code des
PTT qui prend en compte les dernière recommandations des
gurus de Bruxelles.
En substance, les différentes composantes du service public des
télécommunications sont soumises à appel de candidatures entre
les différents acteurs du marché, est c'est seulement en cas de
carence que le ministre désigne d'office un opérateur.
Donc, ce sera purement par hasard ;-), que désormais FT sera
désigné comme opérateur obligé sur les composantes les
moins rentables du service public et par conséquent, il serait
inopportun qu'un état libéral se soucie du capital de cette société
parmi tant d'autres.
On Wed, 09 Jun 2004 01:43:21 +0200, Nicolas DEGAND
<nicolas.degand@laposte.net> wrote:
2° Les privatisations : Là ça limite sacrément. On voit mal comment l'Etat
pourrait descendre en dessous de 50 % dans France Télécom. La seule
solution serait d'abandonner la notion de mission de service public
national en matière de téléphonie.
Les adorateurs du marché libre sont plus malins que tu ne le penses.
il suffit de lire la nouvelle mouture de l'article L35-2 du code des
PTT qui prend en compte les dernière recommandations des
gurus de Bruxelles.
En substance, les différentes composantes du service public des
télécommunications sont soumises à appel de candidatures entre
les différents acteurs du marché, est c'est seulement en cas de
carence que le ministre désigne d'office un opérateur.
Donc, ce sera purement par hasard ;-), que désormais FT sera
désigné comme opérateur obligé sur les composantes les
moins rentables du service public et par conséquent, il serait
inopportun qu'un état libéral se soucie du capital de cette société
parmi tant d'autres.
On Wed, 09 Jun 2004 01:43:21 +0200, Nicolas DEGAND
wrote:2° Les privatisations : Là ça limite sacrément. On voit mal comment l'Etat
pourrait descendre en dessous de 50 % dans France Télécom. La seule
solution serait d'abandonner la notion de mission de service public
national en matière de téléphonie.
Les adorateurs du marché libre sont plus malins que tu ne le penses.
il suffit de lire la nouvelle mouture de l'article L35-2 du code des
PTT qui prend en compte les dernière recommandations des
gurus de Bruxelles.
En substance, les différentes composantes du service public des
télécommunications sont soumises à appel de candidatures entre
les différents acteurs du marché, est c'est seulement en cas de
carence que le ministre désigne d'office un opérateur.
Donc, ce sera purement par hasard ;-), que désormais FT sera
désigné comme opérateur obligé sur les composantes les
moins rentables du service public et par conséquent, il serait
inopportun qu'un état libéral se soucie du capital de cette société
parmi tant d'autres.