Si j'ai bien compris, le rapport du CNRS n'est pas un document habituel, comme il y en aurait pour chaque thèse, mais bien un document exceptionnel, suite à des doutes internes sur la validité des thèses. A ce moment-là: <CIT> Les frérots affirment que ce rapport n'existe pas, bien sûr ! ... alors que le CNRS confirme son existence et est prêt à le publier officiellement si il a l'accord de la Commission d'accès aux documents administratifs (Cada). </CIT> confirmer l'existence du rapport sans autre commentaire est équivalent à confirmer les bonnes feuilles produites par la presse. De là à penser que le fuitage vient directement du CNRS, il n'y a qu'un pas. Avec en plus l'espoir d'obtenir l'autorisation de le publier.
Si j'ai bien compris, le rapport du CNRS n'est pas un document
habituel, comme il y en aurait pour chaque thèse, mais bien un document
exceptionnel, suite à des doutes internes sur la validité des thèses.
A ce moment-là:
<CIT>
Les frérots affirment que ce rapport n'existe pas, bien sûr ! ... alors
que le CNRS confirme son existence et est prêt à le publier
officiellement si il a l'accord de la Commission d'accès aux documents
administratifs (Cada).
</CIT>
confirmer l'existence du rapport sans autre commentaire est équivalent
à confirmer les bonnes feuilles produites par la presse. De là à penser
que le fuitage vient directement du CNRS, il n'y a qu'un pas. Avec en
plus l'espoir d'obtenir l'autorisation de le publier.
Si j'ai bien compris, le rapport du CNRS n'est pas un document habituel, comme il y en aurait pour chaque thèse, mais bien un document exceptionnel, suite à des doutes internes sur la validité des thèses. A ce moment-là: <CIT> Les frérots affirment que ce rapport n'existe pas, bien sûr ! ... alors que le CNRS confirme son existence et est prêt à le publier officiellement si il a l'accord de la Commission d'accès aux documents administratifs (Cada). </CIT> confirmer l'existence du rapport sans autre commentaire est équivalent à confirmer les bonnes feuilles produites par la presse. De là à penser que le fuitage vient directement du CNRS, il n'y a qu'un pas. Avec en plus l'espoir d'obtenir l'autorisation de le publier.