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imprimante

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Bour-Brown
Ca y est, j'ai changé d'imprimante !

Avant, j'avais une Epson Stylus 600, mais la semaine dernière buse bouchée,
nettoyage à en vider les cartouches, rien à faire. Et comme elle avait quand
même cinq ou six ans...

Je ne voulais plus prendre Epson, malgré la qualité de ses impressions. Je
trouve qu'il y a trop de modèles, de type d'encre, de papiers, de formats,
de modes d'impression, ça change tout les bouts de champ. Et en plus, le
suivi chez Epson ne m'a pas convenu : quand je pense qu'avec leur
infrastructure ils n'ont jamais sorti de pilote XP pour la 600, si c'est
leur façon de faire sentir que leurs modèles sont obsolètes, je me suis dit
qu'en cas de buse bouchée d'ici quelques années ils y accorderont le même
genre d'intérêt.

Alors j'ai choisi la Pixma 4000 de Canon. On peut changer soi-même la tête
(d'ailleurs au départ faut l'installer, c'est dire la simplicité de la
manoeuvre), c'est silencieux, très rapide et sans doute la moins chère à
l'utilisation. Les cartouches sont d'un modèle courant (j'ai regardé avant)
et l'encre doit être de qualité pour pouvoir faire avec le modèle supérieur
des goutte de 1 picolitre.

Premières impressions : ça speede, les options de base sont simples, le
résultat est soigné. Ca marche bien sur papier ordinaire, très bien sur le
papier Canon, et assez bien sur le papier couché Epson qu'il me reste. Les
premiers résultats me paraissent soutenus, trop sombres, sans défauts
particuliers. Bon, si on chipote, sur papier ordinaire en qualité standard
il peut arriver au noir de diffuser un peu dans la couleur, j'ai aussi
deviné parfois le passage des têtes dans les surfaces sombres, mais ça
s'estompent au fil du séchage donc ça va.

Le problème, maintenant, c'est qu'il faut tout refaire.

Par exemple il me faut de nouveau déterminer la meilleure résolution à
donner à l'image selon la taille et le type d'impression avant de l'envoyer
à l'imprimante (ici les dpi sont importants) :

- déjà à cause d'un problème de recouvrement mal géré par le pilote,
effectivement quand on imprime des motifs de plus en plus serrés et que
l'imprimante décroche, au lieu de terminer par une valeur moyenne on termine
par du saturé. Pas top, l'encre recouvre tout le papier. Vaut donc mieux
dans certains cas faire la réduc avec Photoshop.

- de plus, si je veux pouvoir faire un sharpening contrôlé et efficace, il
ne faut pas que je laisse l'imprimante faire n'importe quelle réduction.

Donc plutôt que d'avoir à réinventer la roue, si quelqu'un a des liens ou
des commentaires sur l'impression de photos avec ce modèle je suis preneur,
pour le moment je n'ai rien trouvé de concluant sur le net.

Merci.

10 réponses

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fred.bleu11

Le problème, maintenant, c'est qu'il faut tout refaire.

Par exemple il me faut de nouveau déterminer la meilleure résolution à
donner à l'image selon la taille et le type d'impression avant de l'envoyer
à l'imprimante (ici les dpi sont importants) :


la pilote de la s900 travaillait à 220 dpi. bon d'une manière générale,
compter entre 200 minimum et 300 dpi


- déjà à cause d'un problème de recouvrement mal géré par le pilote,
effectivement quand on imprime des motifs de plus en plus serrés et que
l'imprimante décroche, au lieu de terminer par une valeur moyenne on termine
par du saturé. Pas top, l'encre recouvre tout le papier. Vaut donc mieux
dans certains cas faire la réduc avec Photoshop.


là, j'ai pas compris!

- de plus, si je veux pouvoir faire un sharpening contrôlé et efficace, il
ne faut pas que je laisse l'imprimante faire n'importe quelle réduction.


quel rapport ?


Donc plutôt que d'avoir à réinventer la roue, si quelqu'un a des liens ou
des commentaires sur l'impression de photos avec ce modèle




ben il y des forums sur dpreview. mais bon, j'ai pas tout compris

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Bour-Brown
fred.bleu11 a écrit
( )

la pilote de la s900 travaillait à 220 dpi. bon d'une manière générale,
compter entre 200 minimum et 300 dpi


Super.

Comme elle est présentée ayant la même résolution que la mienne, je vais
commencer mes premiers essais avec cette valeur, j'affinerai par la suite.


- déjà à cause d'un problème de recouvrement mal géré par le pilote,
effectivement quand on imprime des motifs de plus en plus serrés et que
l'imprimante décroche, au lieu de terminer par une valeur moyenne on
termine par du saturé. Pas top, l'encre recouvre tout le papier. Vaut
donc mieux dans certains cas faire la réduc avec Photoshop.


là, j'ai pas compris!


Imagine des bandes blanches et noires dont l'écart diminue progressivement,
des bandes qui se resserrent de plus en plus. A la limite de l'impression
comme à la limite de la perception, on devrait obtenir un gris moyen. Tu
peux jeter un oeil là, c'est expliqué en anglais mais tu verras la mire dont
je parle :
http://www.normankoren.com/Tutorials/MTF.html

Avec mon imprimante ça ne marche pas comme ça, il semble que tout va bien
jusqu'à que les bandes noires atteignent l'épaisseur d'une goutte, mais
comme après elles se resserrent en gardant cette épaisseur, à la fin elles
se touchent et les bandes blanches ont disparu. Bref, le gris devient de
plus en plus sombre jusqu'au noir. Il faudrait que le pilote, avant la
limite de résolution, commence déjà un «dithering» qui respecterait la
valeur relative.

En faisant la réduction d'une telle mire avec Photoshop, c'est bel et
bien du gris que j'obtiens. Donc si j'ai des zones contrastées serré (style
gravier ou herbe), je me dis qu'il vaut peut-être mieux réduire d'abord pour
envoyer la valeur moyenne plutôt que de laisser faire l'imprimante qui
risque de foncer l'ensemble.


- de plus, si je veux pouvoir faire un sharpening contrôlé et efficace,
il ne faut pas que je laisse l'imprimante faire n'importe quelle
réduction.


quel rapport ?


Quand je fais une accentuation sur une image finale, je contrôle par un % et
un rayon. Plus mon impression aura de dpi, plus mon rayon d'accentuation
pourra être grand pour un même résultat visuel dans la mesure où il sera
réduit d'autant...


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Papy Bernard
Slt,
De "Bour-Brown"
J'ai lu tes messages ainsi que celui de fred et suis allé faire un tour sur
:
http://www.normankoren.com/Tutorials/MTF.html.

Tout cela me laisse perplexe.

Je m'explique.

Je me suis fais une mire de paires de traits noirs et blanc de 1 pixel.
J'ai cherché à reproduire 1 pixel = 1 point imprimé (un trait noir, un trait
blanc). Aussi bien horizontalement que verticalement. Sans interférences qui
donneraient des gris !!!!!
Sur trois imprimantes Epson, la seule *résolution* qui me restitue 1 point
pour 1 pixel est de 180 dpi, et encore pas dans le sens vertical.
150, 200 dpi me donnent des interférences. 360 dpi me donnent un gris
merdique.

Conclusion : cela me laisse perplexe quant aux différentes
accentuations/interpolations et autres considérations sur la qualité
annoncée des imprimantes par rapport à l'image elle-même et surtout aux avis
péremptoires de certains. A quoi bon des images de dizaines de mégapixels
pour du 10x15 ????

Votre avis m'intéresse.

--
A+
Papy Bernard (RTCien malgré lui)
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Bour-Brown
Papy Bernard a écrit
( 420d1968$0$17290$ )

Je me suis fais une mire de paires de traits noirs et blanc de 1 pixel.
J'ai cherché à reproduire 1 pixel = 1 point imprimé (un trait noir, un
trait blanc). [...]
Sur trois imprimantes Epson, la seule *résolution* qui me restitue 1 point
pour 1 pixel est de 180 dpi, et encore pas dans le sens vertical.


Si ça se trouve, c'est 144 dpi en hauteur et 180 dpi en largeur... Pour ma
Stylus600, je sais que 180 dpi marchait bien, et j'utilisais 240 dpi en
haute résolution, mais c'était du pif, rien de sérieux.

Pour l'Epson 2200, j'ai trouvé 288 dpi, voir sur le site en anglais d'un
type qui va essayer avec des points dans différentes matrices, ça a l'air
correct :
http://www.rags-int-inc.com/PhotoTechStuff/Epson2200/

Pour l'IP4000 je continue à chercher quelque chose du même genre et si je
trouve j'en parlerai ici. Sinon faudra que j'essaie avec les matrices de
points, mais y a du boulot, d'autant que les choses en noir & blanc peuvent
être différentes qu'en couleur - les têtes font respectivement 320 et 256
buses - et encore différentes en hauteur et en largeur.

Ah là là, pourquoi donc les constructeurs ne disent-ils rien sur ce genre de
chose dans leurs manuels ? Un simple encart technique tout à la fin m'aurait
suffi...

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Papy Bernard
Slt,
De "Bour-Brown"
En tout cas, ça marche avec la mienne.

Effectivement, sous Photoshop je me suis fait un damier de pixels en RVB
(un

blanc, un noir, un blanc, un noir... ) et j'ai imprimé, sur papier couché,
aux résolutions suivantes : 320, 300, 256, 244 et 240 dpi. Et bien, avec
la

loupe je retrouve le damier à exactement 300 dpi - hélas très foncé, les
points noirs masquant presque les points blancs. A noter que les points
noirs semblent encore dessinés, sans doute formés de plusieurs gouttes :
http://cjoint.com/?cmopCegSW7
(pris avec le A1 + 6 dioptries, 222 x 222, 12 ko)


Je ne pense pas que la qualité du papier joue sur la production
d'interférences. Je pense plutôt à un problème de pilote d'imprimante.

Je me propose de t'envoyer sous un seul fichier *.ZIP (12ko) trois mires de
ma création (qui valent ce qu'elles valent hein!) que j'ai utilisé pour
évaluer mes imprimantes Epson. Résultat : la seule résolution capable de
reproduire 1 pixel = 1 point a été de 180 dpi. (Essais raélisés sous
PaintShop Pro)

Je sais par ailleurs que sur une HP la mire de traits N&B passe bien sans
interférences sous 300 dpi.
Si tu en es d'accord, tu me laisses ici un Email valide.

A+
Papy Bernard (RTCien malgré lui)

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Bour-Brown
Papy Bernard a écrit
( 420e92e1$0$2164$ )

Je ne pense pas que la qualité du papier joue sur la production
d'interférences.


J'ai pris du papier couché simplement pour que le dessin soit plus net. Sur
le papier ordinaire, ça bave davantage, ça se mélange vite, le contraste
est moins fort, donc si on veut y aller à la loupe j'ai préféré un papier de
qualité pour que ça soit tranché.


Je pense plutôt à un problème de pilote d'imprimante.


Entièrement d'accord.

A l'échelle d'un écran noir et blanc, le problème d'interférence est facile
à observer : les lignes obliques créent des effets d'escalier, et quand
certaines marches de ces escaliers se retrouvent distribuées selon des
droites ou des courbes, on voit très nettement apparaître des motifs. Plus
la résolution augmente, plus les interférences se multiplient. Actuellement,
les imprimantes travaillent toujours selon un mode matriciel, en fonction
d'une grille qui est très serrée, mais qui ne change rien à la nature de la
chose. Autrement dit, ce n'est pas en augmentant la définition qu'on
résoudra ce problème.

Sur nos écrans on est capable de réduire les effets d'escalier en faisant
maintenant de l'antialiasing en temps réel, une sorte de lissage. Au niveau
des frontières, les pixels se nuancent et ça atténue sérieusement le
problème - les trois composantes couleur d'un pixel peuvent varier
sur 256 niveaux. Sur une imprimante à jet d'encre, les pixels sont en
général constitués d'une distribution de gouttes de couleur pure ou pâle.
Quand ils sont grands, on peut y mettre beaucoup de gouttes, donc avoir la
teinte voulue, mais quand ils se réduisent ça devient vite du «tout ou
rien».

Et pour faire des nuances avec du «tout ou rien», bonjour. Je me souviens du
système de trames pour en faire avec ma première imprimante à aiguilles ou
sur un écran seize couleurs, je répartissais les points selon de petites
matrices, c'était toute une histoire. (quand ça marchait, qu'est-ce que
j'étais fier !) Je me souviens aussi des premières images en diffusion
d'erreur, sur du Mac je crois, j'avais trouvé ça absolument génial et
j'avais programmé la chose, ça marchait super bien.

Les constructeurs ont développé ce savoir-faire, et effectivement nos
pilotes d'imprimante nous proposent de telles options, mais si c'est
efficace sur les plages colorées, ça ne résout pas pour autant le problème
de nos mires.


Si tu en es d'accord, tu me laisses ici un Email valide.


Pas de problème, il suffit de remplacer «wnd» dans mon adresse e-mail par
«wanadoo».

Jusqu'à présent j'avais posté avec l'adresse exacte, mais je suis envahi de
tellement de spam que j'ai décidé ce mois-ci de faire cette modif pour voir
la différence.

Avatar
Bour-Brown
Résumé des opérations :

Papy Bernard avait proposé
( 420e92e1$0$2164$ )

Je me propose de t'envoyer sous un seul fichier *.ZIP (12ko) trois mires
de ma création (qui valent ce qu'elles valent hein!) que j'ai utilisé pour
évaluer mes imprimantes Epson. Résultat : la seule résolution capable de
reproduire 1 pixel = 1 point a été de 180 dpi. (Essais réalisés sous
PaintShop Pro)

Je sais par ailleurs que sur une HP la mire de traits N&B passe bien sans
interférences sous 300 dpi.


Bien reçu.

Les mires sont de simples lignes d'un pixel d'épaisseur et espacées d'un
pixel, en noir et en couleur, horizontales ou verticales, soit seules,
soit déjà superposées à un réseau similaire à angle droit, histoire de
tester en une seule passe les deux directions. J'ai donc imprimé tout ça en
variant les résolutions.

- il y en a qui passent plutôt bien (200, 240 et donc 400 et 480) et
d'autres vraiment horribles (160, 180, 220, 225, 250, 256, 320, 450, 512).

- à 300 dpi ça sort parfaitement, à l'oeil nu on devine les lignes, à la
loupe on les voit distinctement, et il n'y a aucune interférence. En 150 dpi
on retrouve distinctement ce qu'on a à l'écran, c'est comme une loupe x 2,
normal. En 600 dpi, on a les couleurs uniformes du mélange optique, mais à
la loupe il n'y a plus de lignes, plutôt des chapelets de gouttes plus ou
moins dispersées.

Le résultat peut varier en fonction des réglages choisis. Il y a plusieurs
qualités - brouillon, standard ou haute - et plusieurs papiers - ordinaire,
haute résolution ou pro - ce qui ramène au final à une répartition selon
cinq niveaux auxquels on peut d'ailleurs avoir accès via un menu
personnalisé. Par exemple en qualité la plus élevée, surprise : l'imprimante
est capable de séparer les lignes horizontales en 600 dpi !

Avatar
Papy Bernard
Slt,
De "Bour-Brown"

Bien reçu.

Les mires sont de simples lignes d'un pixel d'épaisseur et espacées d'un
pixel, en noir et en couleur, horizontales ou verticales, soit seules,
soit déjà superposées à un réseau similaire à angle droit, histoire de
tester en une seule passe les deux directions. J'ai donc imprimé tout ça
en

variant les résolutions.
....

personnalisé. Par exemple en qualité la plus élevée, surprise :
l'imprimante

est capable de séparer les lignes horizontales en 600 dpi !


Remarques :

1/ Cela donne quand même la reproduction d' 1 pixel = .04 mm !!!!!
Si la performance de l'imprimante est à saluer, où est l'utilité ?
2/ Et en vertical, qu'est-ce que cela donne ?

--
A+
Papy Bernard (RTCien malgré lui)

Avatar
Bour-Brown
Papy Bernard a écrit
( 4210937f$0$6626$ )

1/ Cela donne quand même la reproduction d' 1 pixel = .04 mm !!!!!
Si la performance de l'imprimante est à saluer, où est l'utilité ?


Et bien, de pouvoir faire différents tons, j'imagine.

Sous forte lumière, à 300 dpi je distingue les lignes à l'oeil nu (je ne
dis pas que je les compte, hein). Entre 400 et 450, je n'en suis plus
capable, mais je peux encore donner l'orientation de celles-ci, je devine
la texture fibreuse si je puis dire. A 600 dpi je suspecte la couleur de ne
pas être unie et d'être un mélange optique, mais j'ai beau tourner la
feuille je suis incapable de deviner l'orientation des lignes, donc là j'ai
décroché. Bref, pour moi 600 dpi est une résolution plus que suffisante...
...si l'impression était en tons continus.

Hélas, l'impression n'est pas en tons continus, c'est une combinaison de
gouttes colorées, trois couleurs primaires + noir. Ca veut dire qu'avec
600 gouttes par pouce, pour faire des teintes en 300 dpi on fait de petits
blocs de quatre gouttes, et chacune ne peut prendre que cinq états (J,M,C,N
& B). Voilà peu de nuances, surtout pour les tons clairs.

Donc si l'imprimante atteint des résolutions de 1200 x 2400 gouttes par
pouce, ce n'est pas pour m'imprimer des lignes à 600 dpi - c'est vrai que je
ne saurais qu'en faire - mais bien pour avoir plus de nuances, ici par
exemple 32 gouttelettes par pixel. Il n'y a pas de mystère, pour faire mieux
il faut ajouter des encres - bonjour les têtes à huit cartouches - soit
augmenter la résolution.


2/ Et en vertical, qu'est-ce que cela donne ?


De la bouillie de points, mais sans interférences gênantes - une sorte de
diffusion d'erreur je dirais.

Avatar
daniel.patin
je rebondis sur votre sujet pour vous donner quelques retours
d'expérience au boulot. j'imprime toute la journée des tissus dont la
contexture doit etre reproduite en fonction de la resolution du tissu.
une resolution 'x' differente de 'y', tout le temps.
la resolution 'y' est la plus délicate. donc systematiquement, je choisi
comme resolution d'impression celle qui combine la plus proche de
l'imprimante et du tissu, en trichant sur celle de ce dernier pour
conserver une resolution sous multiple de celle de l'imprimante choisie.
en gros sur une 1440 dpi, je prendrais 1440, 720, 360, etc...
ce qui permet d'eviter tout effet de tramage sur l'impression. par
contre dans le cas de tissus un peu brouillés (tissus emerisés), cela a
moins d'importance.
donc, on peut dire que les aplats sont tres sensibles à la resolution,
mais les images de style photo le sont moins. mais si on adopte une
resolution (et par delà celle ci, la dimension de l'impression) de la
photo en adequation avec celle de l'imprimante, c'est sur que les
problemes seront diminués.

--
daniel.patin et non pas marcel.dugenou
(quoique, il y a des jours, je me demande....)
mon blog :
http://leinad.blogspirit.com