Là,il venait juste de lâcher le fromage. Le renard, ce sera pour la prochaine fois.
Olympus E20, fic.équiv. 140mm, flash, f4, 1/640, ISO 80, non recadrée.
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau). Je n'ai jamais été fichu de prendre une jolie photo animalière comme celle-là :-( Bonne journée, Dominique
http://cjoint.com/?dFunGMFAm5
Là,il venait juste de lâcher le fromage.
Le renard, ce sera pour la prochaine fois.
Olympus E20, fic.équiv. 140mm, flash, f4, 1/640, ISO 80, non recadrée.
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement
méfiants.
Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très
actuelle, ce genre de requête...).
En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille
(que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des
tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris
et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
Je n'ai jamais été fichu de prendre une jolie photo animalière comme
celle-là :-(
Bonne journée,
Dominique
Là,il venait juste de lâcher le fromage. Le renard, ce sera pour la prochaine fois.
Olympus E20, fic.équiv. 140mm, flash, f4, 1/640, ISO 80, non recadrée.
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau). Je n'ai jamais été fichu de prendre une jolie photo animalière comme celle-là :-( Bonne journée, Dominique
Ghost-Rider
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau). Je n'ai jamais été fichu de prendre une jolie photo animalière comme celle-là :-( Bonne journée, Dominique
Merci pour tes compliments.
En effet, il ne s'agit ni d'un corbeau freux (bec noir et non gris), ni d'un grand corbeau, ni, à mon avis d'un choucas des tours (nuque noire et taille plus importante), mais bien d'une corneille, jeune sans doute, à voir le plumage et les pattes, bravo.
Tu as parfaitement compris mes motivations pour publier cette photo: les corneilles sont très méfiantes et elles ne se laissent pas approcher: dès qu'on s'arrête à quelques mètres d'elles, elles s'envolent, sauf celle-là qui m'a laissé venir à moins de deux mètres. Je me suis rapproché d'elle, à petits pas comptés, l'oeil sur le viseur, prenant photo sur photo, elle n'a pas bougé. Mais j'avais un imperméable noir, avec mon appareil noir, elle a dû me prendre pour un congénère.
Le problème, avec les oiseaux noirs (corneilles, merles etc..), c'est d'obtenir des détails dans le plumage sans brûler l'environnement, témoin cette autre photo de corneille, peu commode (1024x768, pour les détails), on voit bien le miroir brun de l'aile:
http://cjoint.com/?ebk7Slnwoz
Olympus E20, tripleur
Cordialement
Ghost Rider
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement
méfiants.
Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très
actuelle, ce genre de requête...).
En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille
(que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des
tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris
et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
Je n'ai jamais été fichu de prendre une jolie photo animalière comme
celle-là :-(
Bonne journée,
Dominique
Merci pour tes compliments.
En effet, il ne s'agit ni d'un corbeau freux (bec noir et non gris), ni
d'un grand corbeau, ni, à mon avis d'un choucas des tours (nuque noire
et taille plus importante), mais bien d'une corneille, jeune sans doute,
à voir le plumage et les pattes, bravo.
Tu as parfaitement compris mes motivations pour publier cette photo: les
corneilles sont très méfiantes et elles ne se laissent pas approcher:
dès qu'on s'arrête à quelques mètres d'elles, elles s'envolent, sauf
celle-là qui m'a laissé venir à moins de deux mètres. Je me suis
rapproché d'elle, à petits pas comptés, l'oeil sur le viseur, prenant
photo sur photo, elle n'a pas bougé.
Mais j'avais un imperméable noir, avec mon appareil noir, elle a dû me
prendre pour un congénère.
Le problème, avec les oiseaux noirs (corneilles, merles etc..), c'est
d'obtenir des détails dans le plumage sans brûler l'environnement,
témoin cette autre photo de corneille, peu commode (1024x768, pour les
détails), on voit bien le miroir brun de l'aile:
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau). Je n'ai jamais été fichu de prendre une jolie photo animalière comme celle-là :-( Bonne journée, Dominique
Merci pour tes compliments.
En effet, il ne s'agit ni d'un corbeau freux (bec noir et non gris), ni d'un grand corbeau, ni, à mon avis d'un choucas des tours (nuque noire et taille plus importante), mais bien d'une corneille, jeune sans doute, à voir le plumage et les pattes, bravo.
Tu as parfaitement compris mes motivations pour publier cette photo: les corneilles sont très méfiantes et elles ne se laissent pas approcher: dès qu'on s'arrête à quelques mètres d'elles, elles s'envolent, sauf celle-là qui m'a laissé venir à moins de deux mètres. Je me suis rapproché d'elle, à petits pas comptés, l'oeil sur le viseur, prenant photo sur photo, elle n'a pas bougé. Mais j'avais un imperméable noir, avec mon appareil noir, elle a dû me prendre pour un congénère.
Le problème, avec les oiseaux noirs (corneilles, merles etc..), c'est d'obtenir des détails dans le plumage sans brûler l'environnement, témoin cette autre photo de corneille, peu commode (1024x768, pour les détails), on voit bien le miroir brun de l'aile:
http://cjoint.com/?ebk7Slnwoz
Olympus E20, tripleur
Cordialement
Ghost Rider
dominique
Mais j'avais un imperméable noir, avec mon appareil noir, elle a dû me prendre pour un congénère.
Il arrive effectivement que, parfois, les animaux se laissent approcher
s'ils ne reconnaissent pas immédiatement un homme. Il m'est arrivé, il y a quelques années, de m'arrêter, en voiture, à la lisière d'une forêt. Une chouette effraie s'est posée à 4 ou 5 m de moi sur un petit poteau en bois. Ma fenêtre était ouverte mais elle n'a pas reconnu ma morphologie. J'ai pu l'observer plusieurs minutes (la seule fois de ma vie où j'ai pu correctement voir cet oiseau mythique)... mais je n'avais pas mon appareil !
Le problème, avec les oiseaux noirs (corneilles, merles etc..), c'est d'obtenir des détails dans le plumage sans brûler l'environnement, témoin cette autre photo de corneille, peu commode (1024x768, pour les détails), on voit bien le miroir brun de l'aile:
http://cjoint.com/?ebk7Slnwoz
On dirait qu'il a des dents, ton piaf :-) Qu'est-ce que tu lui avais fait : on a l'impression qu'elle va te bouffer :-) À quelle distance étais-tu ? Je suis impressionné. L'environnement brûlé met vraiment en valeur l'oiseau. Et hop, fond d'écran ! Dominique
Mais j'avais un imperméable noir, avec mon appareil noir, elle a dû me
prendre pour un congénère.
Il arrive effectivement que, parfois, les animaux se laissent approcher
s'ils ne reconnaissent pas immédiatement un homme.
Il m'est arrivé, il y a quelques années, de m'arrêter, en voiture, à la
lisière d'une forêt. Une chouette effraie s'est posée à 4 ou 5 m de moi
sur un petit poteau en bois. Ma fenêtre était ouverte mais elle n'a pas
reconnu ma morphologie. J'ai pu l'observer plusieurs minutes (la seule
fois de ma vie où j'ai pu correctement voir cet oiseau mythique)... mais
je n'avais pas mon appareil !
Le problème, avec les oiseaux noirs (corneilles, merles etc..), c'est
d'obtenir des détails dans le plumage sans brûler l'environnement,
témoin cette autre photo de corneille, peu commode (1024x768, pour les
détails), on voit bien le miroir brun de l'aile:
http://cjoint.com/?ebk7Slnwoz
On dirait qu'il a des dents, ton piaf :-)
Qu'est-ce que tu lui avais fait : on a l'impression qu'elle va te
bouffer :-)
À quelle distance étais-tu ? Je suis impressionné.
L'environnement brûlé met vraiment en valeur l'oiseau. Et hop, fond
d'écran !
Dominique
Mais j'avais un imperméable noir, avec mon appareil noir, elle a dû me prendre pour un congénère.
Il arrive effectivement que, parfois, les animaux se laissent approcher
s'ils ne reconnaissent pas immédiatement un homme. Il m'est arrivé, il y a quelques années, de m'arrêter, en voiture, à la lisière d'une forêt. Une chouette effraie s'est posée à 4 ou 5 m de moi sur un petit poteau en bois. Ma fenêtre était ouverte mais elle n'a pas reconnu ma morphologie. J'ai pu l'observer plusieurs minutes (la seule fois de ma vie où j'ai pu correctement voir cet oiseau mythique)... mais je n'avais pas mon appareil !
Le problème, avec les oiseaux noirs (corneilles, merles etc..), c'est d'obtenir des détails dans le plumage sans brûler l'environnement, témoin cette autre photo de corneille, peu commode (1024x768, pour les détails), on voit bien le miroir brun de l'aile:
http://cjoint.com/?ebk7Slnwoz
On dirait qu'il a des dents, ton piaf :-) Qu'est-ce que tu lui avais fait : on a l'impression qu'elle va te bouffer :-) À quelle distance étais-tu ? Je suis impressionné. L'environnement brûlé met vraiment en valeur l'oiseau. Et hop, fond d'écran ! Dominique
Ghost-Rider
Il arrive effectivement que, parfois, les animaux se laissent approcher s'ils ne reconnaissent pas immédiatement un homme. Il m'est arrivé, il y a quelques années, de m'arrêter, en voiture, à la lisière d'une forêt. Une chouette effraie s'est posée à 4 ou 5 m de moi sur un petit poteau en bois. Ma fenêtre était ouverte mais elle n'a pas reconnu ma morphologie. J'ai pu l'observer plusieurs minutes (la seule fois de ma vie où j'ai pu correctement voir cet oiseau mythique)... mais je n'avais pas mon appareil !
C'est pour ça que j'ai toujours mon appareil avec moi. Hier, quand j'ai pris cette corneille sur son arbre dans le parc de Sceaux, je n'avais pas pris mon tripleur; manque de pot, sur le grand canal, il y avait, ensemble, un grèbe huppé et un cygne ! J'ai pris quelques photos, mais j'ai regretté de ne pas avoir le bon matériel. L'autre jour, je poursuivais un troglodyte et je vois un faucon crécerelle se poser à 30 mètres de moi. Deux photos plus loin il était déjà reparti. Prendre en photo une chouette effraie, c'est mon rêve ! La seule que j'ai à mon palmarès, c'est une chouette, hulotte je crois:
http://cjoint.com/?ebnMxKOGt4
Spotmatic + 500 à miroir. Je l'ai vue, j'ai pris une photo, une seule et elle s'est envolée.
On dirait qu'il a des dents, ton piaf :-) Qu'est-ce que tu lui avais fait : on a l'impression qu'elle va te bouffer :-) À quelle distance étais-tu ? Je suis impressionné. L'environnement brûlé met vraiment en valeur l'oiseau. Et hop, fond d'écran ! Dominique
Effectivement, on dirait qu'il a des dents et qu'il veut s'en servir. J'étais à 4 ou 5 mètres, avançant doucement tout en prenant des photos sans discontinuer avec le E20 et le tripleur, focale équivalente 420 mm, mesure ponctuelle sur le plumage, d'où fond brûlé. Plein format.
Cordialement
Ghost Rider
Il arrive effectivement que, parfois, les animaux se laissent approcher
s'ils ne reconnaissent pas immédiatement un homme.
Il m'est arrivé, il y a quelques années, de m'arrêter, en voiture, à la
lisière d'une forêt. Une chouette effraie s'est posée à 4 ou 5 m de moi
sur un petit poteau en bois. Ma fenêtre était ouverte mais elle n'a pas
reconnu ma morphologie. J'ai pu l'observer plusieurs minutes (la seule
fois de ma vie où j'ai pu correctement voir cet oiseau mythique)... mais
je n'avais pas mon appareil !
C'est pour ça que j'ai toujours mon appareil avec moi. Hier, quand j'ai
pris cette corneille sur son arbre dans le parc de Sceaux, je n'avais
pas pris mon tripleur; manque de pot, sur le grand canal, il y avait,
ensemble, un grèbe huppé et un cygne ! J'ai pris quelques photos, mais
j'ai regretté de ne pas avoir le bon matériel.
L'autre jour, je poursuivais un troglodyte et je vois un faucon
crécerelle se poser à 30 mètres de moi. Deux photos plus loin il était
déjà reparti.
Prendre en photo une chouette effraie, c'est mon rêve !
La seule que j'ai à mon palmarès, c'est une chouette, hulotte je crois:
http://cjoint.com/?ebnMxKOGt4
Spotmatic + 500 à miroir. Je l'ai vue, j'ai pris une photo, une seule et
elle s'est envolée.
On dirait qu'il a des dents, ton piaf :-)
Qu'est-ce que tu lui avais fait : on a l'impression qu'elle va te
bouffer :-)
À quelle distance étais-tu ? Je suis impressionné.
L'environnement brûlé met vraiment en valeur l'oiseau. Et hop, fond
d'écran !
Dominique
Effectivement, on dirait qu'il a des dents et qu'il veut s'en servir.
J'étais à 4 ou 5 mètres, avançant doucement tout en prenant des photos
sans discontinuer avec le E20 et le tripleur, focale équivalente 420 mm,
mesure ponctuelle sur le plumage, d'où fond brûlé. Plein format.
Il arrive effectivement que, parfois, les animaux se laissent approcher s'ils ne reconnaissent pas immédiatement un homme. Il m'est arrivé, il y a quelques années, de m'arrêter, en voiture, à la lisière d'une forêt. Une chouette effraie s'est posée à 4 ou 5 m de moi sur un petit poteau en bois. Ma fenêtre était ouverte mais elle n'a pas reconnu ma morphologie. J'ai pu l'observer plusieurs minutes (la seule fois de ma vie où j'ai pu correctement voir cet oiseau mythique)... mais je n'avais pas mon appareil !
C'est pour ça que j'ai toujours mon appareil avec moi. Hier, quand j'ai pris cette corneille sur son arbre dans le parc de Sceaux, je n'avais pas pris mon tripleur; manque de pot, sur le grand canal, il y avait, ensemble, un grèbe huppé et un cygne ! J'ai pris quelques photos, mais j'ai regretté de ne pas avoir le bon matériel. L'autre jour, je poursuivais un troglodyte et je vois un faucon crécerelle se poser à 30 mètres de moi. Deux photos plus loin il était déjà reparti. Prendre en photo une chouette effraie, c'est mon rêve ! La seule que j'ai à mon palmarès, c'est une chouette, hulotte je crois:
http://cjoint.com/?ebnMxKOGt4
Spotmatic + 500 à miroir. Je l'ai vue, j'ai pris une photo, une seule et elle s'est envolée.
On dirait qu'il a des dents, ton piaf :-) Qu'est-ce que tu lui avais fait : on a l'impression qu'elle va te bouffer :-) À quelle distance étais-tu ? Je suis impressionné. L'environnement brûlé met vraiment en valeur l'oiseau. Et hop, fond d'écran ! Dominique
Effectivement, on dirait qu'il a des dents et qu'il veut s'en servir. J'étais à 4 ou 5 mètres, avançant doucement tout en prenant des photos sans discontinuer avec le E20 et le tripleur, focale équivalente 420 mm, mesure ponctuelle sur le plumage, d'où fond brûlé. Plein format.
Cordialement
Ghost Rider
markorki
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
excellente identification...
j'aimerais être capable d'en faire autant pour l'arbre aux si jolis bourgeons... une idée, quelqu'un ??
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement
méfiants.
Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très
actuelle, ce genre de requête...).
En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille
(que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des
tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris
et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
excellente identification...
j'aimerais être capable d'en faire autant pour l'arbre aux si jolis
bourgeons... une idée, quelqu'un ??
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
excellente identification...
j'aimerais être capable d'en faire autant pour l'arbre aux si jolis bourgeons... une idée, quelqu'un ??
dominique
sur le grand canal, il y avait, ensemble, un grèbe huppé et un cygne !
À la période des amours, les grèbes ne sont pas trop farouches mais il vaut mieux avoir le bon téléobjectif et le pied... Autrement, même si les grèbes sont hardis, ils ne sont quand même pas intrépides. Ce n'est pas des mésanges. Tiens, en voilà des piafs qui sont gonflés. Rien ne les arrête. Au printemps dernier, j'en ai eu une qui est venue becqueter une bestiole sur mon dos !
La seule que j'ai à mon palmarès, c'est une chouette, hulotte je crois:
http://cjoint.com/?ebnMxKOGt4
Je ne suis pas sûr que ce soit une hulotte mais c'est difficile à dire.
Bon après-midi, Dominique
sur le grand canal, il y avait,
ensemble, un grèbe huppé et un cygne !
À la période des amours, les grèbes ne sont pas trop farouches mais il
vaut mieux avoir le bon téléobjectif et le pied... Autrement, même si
les grèbes sont hardis, ils ne sont quand même pas intrépides. Ce n'est
pas des mésanges.
Tiens, en voilà des piafs qui sont gonflés. Rien ne les arrête. Au
printemps dernier, j'en ai eu une qui est venue becqueter une bestiole
sur mon dos !
La seule que j'ai à mon palmarès, c'est une chouette, hulotte je crois:
http://cjoint.com/?ebnMxKOGt4
Je ne suis pas sûr que ce soit une hulotte mais c'est difficile à dire.
sur le grand canal, il y avait, ensemble, un grèbe huppé et un cygne !
À la période des amours, les grèbes ne sont pas trop farouches mais il vaut mieux avoir le bon téléobjectif et le pied... Autrement, même si les grèbes sont hardis, ils ne sont quand même pas intrépides. Ce n'est pas des mésanges. Tiens, en voilà des piafs qui sont gonflés. Rien ne les arrête. Au printemps dernier, j'en ai eu une qui est venue becqueter une bestiole sur mon dos !
La seule que j'ai à mon palmarès, c'est une chouette, hulotte je crois:
http://cjoint.com/?ebnMxKOGt4
Je ne suis pas sûr que ce soit une hulotte mais c'est difficile à dire.
Bon après-midi, Dominique
dominique
j'aimerais être capable d'en faire autant pour l'arbre aux si jolis bourgeons... une idée, quelqu'un ??
C'est un arbre à akène. je dirais un hêtre. Dominique
j'aimerais être capable d'en faire autant pour l'arbre aux si jolis
bourgeons... une idée, quelqu'un ??
C'est un arbre à akène. je dirais un hêtre.
Dominique
C'est un arbre à akène. je dirais un hêtre. Dominique
Google et mon "Guide de la Faune et de la Flore" semblent bien te donner raison. Bravo.
Ghost Rider
dominique
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
excellente identification...
Ce n'est pas très dur d'identifier des oiseaux. Ça réclame seulement beaucoup d'observation aux jumelles, outil de base absolument indispensable. Je passe énormément de temps à observer des oiseaux très connus : mésanges, moineaux, merles, corvidés, tourterelles, pigeons, rouge-queue noirs, bergeronnettes... À bien connaître la silhouette et le comportement de ces oiseaux courants, ça me permet de repérer immédiatement un oiseau qui est d'une autre espèce et que je connais moins bien voire pas du tout. Ensuite, on va voir des oiseaux dans un parc, même en ville, avec un livre assez simple sur les oiseaux des parcs et jardins. On peut y voir quantité de passereaux finalement communs mais timides. Il faut aller les chercher. On essaye de les identifier correctement avec le livre. Puis, quand l'habitude vient, on passe à la gamme de livre supérieure. Je conseille la bible : « Le guide ornitho » dit « le Svensson » du nom d'un de ses auteurs. Il y a « le Peterson » qui est tout aussi bon. Ces deux ouvrages sont édités par Delachaux et Niestlé. Ils sont d'un abord complexe, mais quand on en a bien saisi la structure, ils sont indispensables. Je les déconseille toutefois à un débutant. Enfin, quand on a choisi un livre d'ornithologie qui nous convient, on n'en change plus ! Il faut aller en direct à la page qui semble parler de l'oiseau qu'on voit... et qui ne va pas nous attendre. Bonne journée, Dominique PS : l'époque est idéale pour voir des oiseaux. En effet, ils commencent leurs parades amoureuses ou leur nid (hier, j'ai observé un couple de pinsons des arbres faisant leur nid pendant une bonne heure) mais les arbres n'ont pas encore de feuilles. Dans 2 ou 3 semaines, ce sera trop tard. les oiseaux pourront se cacher.
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement
méfiants.
Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très
actuelle, ce genre de requête...).
En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune
corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un
choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec
n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
excellente identification...
Ce n'est pas très dur d'identifier des oiseaux. Ça réclame seulement
beaucoup d'observation aux jumelles, outil de base absolument indispensable.
Je passe énormément de temps à observer des oiseaux très connus :
mésanges, moineaux, merles, corvidés, tourterelles, pigeons, rouge-queue
noirs, bergeronnettes... À bien connaître la silhouette et le
comportement de ces oiseaux courants, ça me permet de repérer
immédiatement un oiseau qui est d'une autre espèce et que je connais
moins bien voire pas du tout.
Ensuite, on va voir des oiseaux dans un parc, même en ville, avec un
livre assez simple sur les oiseaux des parcs et jardins. On peut y voir
quantité de passereaux finalement communs mais timides. Il faut aller
les chercher. On essaye de les identifier correctement avec le livre.
Puis, quand l'habitude vient, on passe à la gamme de livre supérieure.
Je conseille la bible : « Le guide ornitho » dit « le Svensson » du nom
d'un de ses auteurs. Il y a « le Peterson » qui est tout aussi bon. Ces
deux ouvrages sont édités par Delachaux et Niestlé. Ils sont d'un abord
complexe, mais quand on en a bien saisi la structure, ils sont
indispensables. Je les déconseille toutefois à un débutant.
Enfin, quand on a choisi un livre d'ornithologie qui nous convient, on
n'en change plus ! Il faut aller en direct à la page qui semble parler
de l'oiseau qu'on voit... et qui ne va pas nous attendre.
Bonne journée,
Dominique
PS : l'époque est idéale pour voir des oiseaux. En effet, ils commencent
leurs parades amoureuses ou leur nid (hier, j'ai observé un couple de
pinsons des arbres faisant leur nid pendant une bonne heure) mais les
arbres n'ont pas encore de feuilles. Dans 2 ou 3 semaines, ce sera trop
tard. les oiseaux pourront se cacher.
Très jolie photo, difficile à prendre. Les corvidés sont terriblement méfiants. Il aurait sans doute fallu demander ses papiers au volatile (très actuelle, ce genre de requête...). En effet, de ce que j'en vois, soit il s'agit d'une très jeune corneille (que faisait-elle dehors à cette heure ?) soit c'est un choucas des tours. Mais ce n'est assurément pas un corbeau : le bec n'est pas gris et il est trop pointu (le bec, pas l'oiseau).
excellente identification...
Ce n'est pas très dur d'identifier des oiseaux. Ça réclame seulement beaucoup d'observation aux jumelles, outil de base absolument indispensable. Je passe énormément de temps à observer des oiseaux très connus : mésanges, moineaux, merles, corvidés, tourterelles, pigeons, rouge-queue noirs, bergeronnettes... À bien connaître la silhouette et le comportement de ces oiseaux courants, ça me permet de repérer immédiatement un oiseau qui est d'une autre espèce et que je connais moins bien voire pas du tout. Ensuite, on va voir des oiseaux dans un parc, même en ville, avec un livre assez simple sur les oiseaux des parcs et jardins. On peut y voir quantité de passereaux finalement communs mais timides. Il faut aller les chercher. On essaye de les identifier correctement avec le livre. Puis, quand l'habitude vient, on passe à la gamme de livre supérieure. Je conseille la bible : « Le guide ornitho » dit « le Svensson » du nom d'un de ses auteurs. Il y a « le Peterson » qui est tout aussi bon. Ces deux ouvrages sont édités par Delachaux et Niestlé. Ils sont d'un abord complexe, mais quand on en a bien saisi la structure, ils sont indispensables. Je les déconseille toutefois à un débutant. Enfin, quand on a choisi un livre d'ornithologie qui nous convient, on n'en change plus ! Il faut aller en direct à la page qui semble parler de l'oiseau qu'on voit... et qui ne va pas nous attendre. Bonne journée, Dominique PS : l'époque est idéale pour voir des oiseaux. En effet, ils commencent leurs parades amoureuses ou leur nid (hier, j'ai observé un couple de pinsons des arbres faisant leur nid pendant une bonne heure) mais les arbres n'ont pas encore de feuilles. Dans 2 ou 3 semaines, ce sera trop tard. les oiseaux pourront se cacher.
Jean-Francois BILLAUD
dominique écrivait :
Ensuite, on va voir des oiseaux dans un parc, même en ville, avec un livre assez simple sur les oiseaux des parcs et jardins. On peut y voir quantité de passereaux finalement communs mais timides. Il faut aller les chercher. On essaye de les identifier correctement avec le livre. Puis, quand l'habitude vient, on passe à la gamme de livre supérieu re. Je conseille la bible : « Le guide ornitho » dit « le Svensson » du nom d'un de ses auteurs. Il y a « le Peterson » qui est tout aussi bon. Ces deux ouvrages sont édités par Delachaux et Niestlé. Ils sont d'un abord complexe, mais quand on en a bien saisi la structure, ils sont indispensables. Je les déconseille toutefois à un débutant.
Voir aussi le « Guide Heinzel des oiseaux d'Europe » chez le même éditeur.
JFB
PS Les étangs de la Brenne (36) c'est pas mal du tout en ce moment.
dominique écrivait :
Ensuite, on va voir des oiseaux dans un parc, même en ville, avec un
livre assez simple sur les oiseaux des parcs et jardins. On peut y voir
quantité de passereaux finalement communs mais timides. Il faut aller
les chercher. On essaye de les identifier correctement avec le livre.
Puis, quand l'habitude vient, on passe à la gamme de livre supérieu re.
Je conseille la bible : « Le guide ornitho » dit « le Svensson » du nom
d'un de ses auteurs. Il y a « le Peterson » qui est tout aussi bon. Ces
deux ouvrages sont édités par Delachaux et Niestlé. Ils sont d'un abord
complexe, mais quand on en a bien saisi la structure, ils sont
indispensables. Je les déconseille toutefois à un débutant.
Voir aussi le « Guide Heinzel des oiseaux d'Europe » chez le
même éditeur.
JFB
PS Les étangs de la Brenne (36) c'est pas mal du tout en ce moment.
Ensuite, on va voir des oiseaux dans un parc, même en ville, avec un livre assez simple sur les oiseaux des parcs et jardins. On peut y voir quantité de passereaux finalement communs mais timides. Il faut aller les chercher. On essaye de les identifier correctement avec le livre. Puis, quand l'habitude vient, on passe à la gamme de livre supérieu re. Je conseille la bible : « Le guide ornitho » dit « le Svensson » du nom d'un de ses auteurs. Il y a « le Peterson » qui est tout aussi bon. Ces deux ouvrages sont édités par Delachaux et Niestlé. Ils sont d'un abord complexe, mais quand on en a bien saisi la structure, ils sont indispensables. Je les déconseille toutefois à un débutant.
Voir aussi le « Guide Heinzel des oiseaux d'Europe » chez le même éditeur.
JFB
PS Les étangs de la Brenne (36) c'est pas mal du tout en ce moment.