Nicolas Sarkozy rendra la justice dans le jardin de l'Elysée
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Frisouille
Réforme instutionnelle : Nicolas Sarkozy rendra la justice dans le
jardin de l'Elysée
du Rédacteur Suprême
Face aux dérèglements chroniques et alors que les experts réfléchissent
à la redéfinition de la carte judiciaire, Nicolas Sarkozy vient de
décider d'une grande réforme qui tendra à simplifier les codes de
procédures. Le plus petit président de l'histoire de France sera en
effet seul habilité à rendre la justice dès le 1er janvier 2008.
Nicolas Sarkozy rendra ses décisions sous un chêne centenaire du jardin
de l'Elysée.
"Le Président tenait absolument au symbole du chêne qu'il se rappelle
avoir vu dans ses livres d'écolier", commente Gabriel Dubonchoix,
responsable des nouveaux aménagements du palais de l'Elysée, "il a donc
fallu s'adapter".
Une bâche et des chaises de jardin seront installées pour que les
manants qui auront saisi la justice sarkozienne puissent écouter les
verdicts. "Nous avions prévu des prie-dieu dans un premier temps mais
notre Président bien-aimé les trouvait trop ostentatoires et a préféré
un mobilier incarnant mieux la modestie de la République", explique
Gabriel Dubonchoix.
Pour les affaires impliquant des VIP, un mobilier plus cossu est prévu
avec fauteuils transats et cendriers adaptés aux cigares.
Nicolas Sarkozy jugera sur la base d'un dossier établi par les services
de justice déjà existants : les juges d'instruction et avocats seront
appelés à remplir les mêmes tâches que celles prévues dans les codes de
procédures civile et pénale "obsolètes" en vigueur. Les services
centraux du ministère de la justice devront fournir au Président des
synthèses lui permettant de "faciliter sa prise de décision".
La réforme permettra en revanche de désengorger les tribunaux d'instance
et de grande instance, qui verront leurs missions "redéployées" vers le
suivi de l'application des peines, un secteur dont tout le monde sait
qu'il manque aujourd'hui cruellement de moyens.
Les cours d'appel seront quant à elles supprimées puisque les décisions
de Nicolas Sarkozy seront rendues en premier et dernier ressorts.
Les jurés populaires seront eux aussi supprimés, devenant inutiles du
fait de la légitimité de Nicolas Sarkozy à s'exprimer au nom du peuple
français grâce au mandat qui lui a été confié par le suffrage universel.
Simplification ultime des procédures civiles : seuls les litiges pour
des montants supérieurs à 50 000 euros seront jugés, les autres seront
laissés à la libre appréciation des parties pour accord amiable. "La loi
du plus fort permettra très rapidement de réguler les litiges pour ces
petits montants inférieurs à 50 000 euros, c'est-à-dire à peine
l'équivalent de deux semaines de vacances en Amérique profonde",
analyse-t-on à la chancellerie.
Les récidivistes ne comparaîtront bien entendu pas sous le chêne de
Nicolas Sarkozy puisqu'ils seront automatiquement condamnés. Le plus
petit président de l'histoire de France réfléchirait aussi au
rétablissement de la peine de mort pour limiter la récidive.
La tâche des services de Rachida Dati reste ample pour parvenir à une
mise en place effective au 1er janvier 2008, exigée par le Président de
la République. A ce titre, des ajustements constitutionnels "mineurs"
devront être entérinés avant Noël pour régler en particulier la question
"procédurière" de la séparation des pouvoirs : comme ils seront tous
concentrés dans les mains de Nicolas Sarkozy, qui est indivisible, "le
problème est en fait déjà résolu", susurre un membre du cabinet
masochiste de Madame Dati.
Dans sa sagesse, enfin, Nicolas Sarkozy pourrait saisir l'occasion de
ces ajustements pour supprimer le Conseil Constitutionnel, "une
institution du passé", devenu inutile dans un pays où le Président sera
devenu infaillible.
Il ne restera plus, à partir de 2009, qu'à régler d'autres sujets
mineurs comme l'éventuelle succession à venir du Président élu le 6 mai
2007. "La réforme judiciaire en marche repose sur la clairvoyance
exceptionnelle de Nicolas Sakorzy", explique Rachida Dati, "il faut donc
dès maintenant penser à préserver l'avenir de nos institutions en
amenant une évolution de la durée de son mandat, qui deviendrait à vie,
et surtout former dès aujourd'hui Louis, le fruit des entrailles de
Cécilia, à succéder dignement aux lourdes charges qui seront les siennes
après le règne terrestre de son père".
On Sun, 26 Aug 2007 21:07:24 +0100, Frisouille vous nous avez raconté
Réforme instutionnelle : Nicolas Sarkozy rendra la justice dans le jardin de l'Elysée
du Rédacteur Suprême
Face aux dérèglements chroniques et alors que les experts réfléchissent à la redéfinition de la carte judiciaire, Nicolas Sarkozy vient de décider d'une grande réforme qui tendra à simplifier les codes de procédures. Le plus petit président de l'histoire de France sera en effet seul habilité à rendre la justice dès le 1er janvier 2008.
Nicolas Sarkozy rendra ses décisions sous un chêne centenaire du jardin de l'Elysée.
"Le Président tenait absolument au symbole du chêne qu'il se rappelle avoir vu dans ses livres d'écolier", commente Gabriel Dubonchoix, responsable des nouveaux aménagements du palais de l'Elysée, "il a donc fallu s'adapter".
Une bâche et des chaises de jardin seront installées pour que les manants qui auront saisi la justice sarkozienne puissent écouter les verdicts. "Nous avions prévu des prie-dieu dans un premier temps mais notre Président bien-aimé les trouvait trop ostentatoires et a préféré un mobilier incarnant mieux la modestie de la République", explique Gabriel Dubonchoix.
Pour les affaires impliquant des VIP, un mobilier plus cossu est prévu avec fauteuils transats et cendriers adaptés aux cigares.
Nicolas Sarkozy jugera sur la base d'un dossier établi par les services de justice déjà existants : les juges d'instruction et avocats seront appelés à remplir les mêmes tâches que celles prévues dans les codes de procédures civile et pénale "obsolètes" en vigueur. Les services centraux du ministère de la justice devront fournir au Président des synthèses lui permettant de "faciliter sa prise de décision".
La réforme permettra en revanche de désengorger les tribunaux d'instance et de grande instance, qui verront leurs missions "redéployées" vers le suivi de l'application des peines, un secteur dont tout le monde sait qu'il manque aujourd'hui cruellement de moyens.
Les cours d'appel seront quant à elles supprimées puisque les décisions de Nicolas Sarkozy seront rendues en premier et dernier ressorts.
Les jurés populaires seront eux aussi supprimés, devenant inutiles du fait de la légitimité de Nicolas Sarkozy à s'exprimer au nom du peuple français grâce au mandat qui lui a été confié par le suffrage universel.
Simplification ultime des procédures civiles : seuls les litiges pour des montants supérieurs à 50 000 euros seront jugés, les autres seront laissés à la libre appréciation des parties pour accord amiable. "La loi du plus fort permettra très rapidement de réguler les litiges pour ces petits montants inférieurs à 50 000 euros, c'est-à-dire à peine l'équivalent de deux semaines de vacances en Amérique profonde", analyse-t-on à la chancellerie.
Les récidivistes ne comparaîtront bien entendu pas sous le chêne de Nicolas Sarkozy puisqu'ils seront automatiquement condamnés. Le plus petit président de l'histoire de France réfléchirait aussi au rétablissement de la peine de mort pour limiter la récidive.
La tâche des services de Rachida Dati reste ample pour parvenir à une mise en place effective au 1er janvier 2008, exigée par le Président de la République. A ce titre, des ajustements constitutionnels "mineurs" devront être entérinés avant Noël pour régler en particulier la question "procédurière" de la séparation des pouvoirs : comme ils seront tous concentrés dans les mains de Nicolas Sarkozy, qui est indivisible, "le problème est en fait déjà résolu", susurre un membre du cabinet masochiste de Madame Dati.
Dans sa sagesse, enfin, Nicolas Sarkozy pourrait saisir l'occasion de ces ajustements pour supprimer le Conseil Constitutionnel, "une institution du passé", devenu inutile dans un pays où le Président sera devenu infaillible.
Il ne restera plus, à partir de 2009, qu'à régler d'autres sujets mineurs comme l'éventuelle succession à venir du Président élu le 6 mai 2007. "La réforme judiciaire en marche repose sur la clairvoyance exceptionnelle de Nicolas Sakorzy", explique Rachida Dati, "il faut donc dès maintenant penser à préserver l'avenir de nos institutions en amenant une évolution de la durée de son mandat, qui deviendrait à vie, et surtout former dès aujourd'hui Louis, le fruit des entrailles de Cécilia, à succéder dignement aux lourdes charges qui seront les siennes après le règne terrestre de son père".
EXCELLENT !
On Sun, 26 Aug 2007 21:07:24 +0100, Frisouille <Frisouille@gmail.fr>
vous nous avez raconté
Réforme instutionnelle : Nicolas Sarkozy rendra la justice dans le
jardin de l'Elysée
du Rédacteur Suprême
Face aux dérèglements chroniques et alors que les experts réfléchissent
à la redéfinition de la carte judiciaire, Nicolas Sarkozy vient de
décider d'une grande réforme qui tendra à simplifier les codes de
procédures. Le plus petit président de l'histoire de France sera en
effet seul habilité à rendre la justice dès le 1er janvier 2008.
Nicolas Sarkozy rendra ses décisions sous un chêne centenaire du jardin
de l'Elysée.
"Le Président tenait absolument au symbole du chêne qu'il se rappelle
avoir vu dans ses livres d'écolier", commente Gabriel Dubonchoix,
responsable des nouveaux aménagements du palais de l'Elysée, "il a donc
fallu s'adapter".
Une bâche et des chaises de jardin seront installées pour que les
manants qui auront saisi la justice sarkozienne puissent écouter les
verdicts. "Nous avions prévu des prie-dieu dans un premier temps mais
notre Président bien-aimé les trouvait trop ostentatoires et a préféré
un mobilier incarnant mieux la modestie de la République", explique
Gabriel Dubonchoix.
Pour les affaires impliquant des VIP, un mobilier plus cossu est prévu
avec fauteuils transats et cendriers adaptés aux cigares.
Nicolas Sarkozy jugera sur la base d'un dossier établi par les services
de justice déjà existants : les juges d'instruction et avocats seront
appelés à remplir les mêmes tâches que celles prévues dans les codes de
procédures civile et pénale "obsolètes" en vigueur. Les services
centraux du ministère de la justice devront fournir au Président des
synthèses lui permettant de "faciliter sa prise de décision".
La réforme permettra en revanche de désengorger les tribunaux d'instance
et de grande instance, qui verront leurs missions "redéployées" vers le
suivi de l'application des peines, un secteur dont tout le monde sait
qu'il manque aujourd'hui cruellement de moyens.
Les cours d'appel seront quant à elles supprimées puisque les décisions
de Nicolas Sarkozy seront rendues en premier et dernier ressorts.
Les jurés populaires seront eux aussi supprimés, devenant inutiles du
fait de la légitimité de Nicolas Sarkozy à s'exprimer au nom du peuple
français grâce au mandat qui lui a été confié par le suffrage universel.
Simplification ultime des procédures civiles : seuls les litiges pour
des montants supérieurs à 50 000 euros seront jugés, les autres seront
laissés à la libre appréciation des parties pour accord amiable. "La loi
du plus fort permettra très rapidement de réguler les litiges pour ces
petits montants inférieurs à 50 000 euros, c'est-à-dire à peine
l'équivalent de deux semaines de vacances en Amérique profonde",
analyse-t-on à la chancellerie.
Les récidivistes ne comparaîtront bien entendu pas sous le chêne de
Nicolas Sarkozy puisqu'ils seront automatiquement condamnés. Le plus
petit président de l'histoire de France réfléchirait aussi au
rétablissement de la peine de mort pour limiter la récidive.
La tâche des services de Rachida Dati reste ample pour parvenir à une
mise en place effective au 1er janvier 2008, exigée par le Président de
la République. A ce titre, des ajustements constitutionnels "mineurs"
devront être entérinés avant Noël pour régler en particulier la question
"procédurière" de la séparation des pouvoirs : comme ils seront tous
concentrés dans les mains de Nicolas Sarkozy, qui est indivisible, "le
problème est en fait déjà résolu", susurre un membre du cabinet
masochiste de Madame Dati.
Dans sa sagesse, enfin, Nicolas Sarkozy pourrait saisir l'occasion de
ces ajustements pour supprimer le Conseil Constitutionnel, "une
institution du passé", devenu inutile dans un pays où le Président sera
devenu infaillible.
Il ne restera plus, à partir de 2009, qu'à régler d'autres sujets
mineurs comme l'éventuelle succession à venir du Président élu le 6 mai
2007. "La réforme judiciaire en marche repose sur la clairvoyance
exceptionnelle de Nicolas Sakorzy", explique Rachida Dati, "il faut donc
dès maintenant penser à préserver l'avenir de nos institutions en
amenant une évolution de la durée de son mandat, qui deviendrait à vie,
et surtout former dès aujourd'hui Louis, le fruit des entrailles de
Cécilia, à succéder dignement aux lourdes charges qui seront les siennes
après le règne terrestre de son père".
On Sun, 26 Aug 2007 21:07:24 +0100, Frisouille vous nous avez raconté
Réforme instutionnelle : Nicolas Sarkozy rendra la justice dans le jardin de l'Elysée
du Rédacteur Suprême
Face aux dérèglements chroniques et alors que les experts réfléchissent à la redéfinition de la carte judiciaire, Nicolas Sarkozy vient de décider d'une grande réforme qui tendra à simplifier les codes de procédures. Le plus petit président de l'histoire de France sera en effet seul habilité à rendre la justice dès le 1er janvier 2008.
Nicolas Sarkozy rendra ses décisions sous un chêne centenaire du jardin de l'Elysée.
"Le Président tenait absolument au symbole du chêne qu'il se rappelle avoir vu dans ses livres d'écolier", commente Gabriel Dubonchoix, responsable des nouveaux aménagements du palais de l'Elysée, "il a donc fallu s'adapter".
Une bâche et des chaises de jardin seront installées pour que les manants qui auront saisi la justice sarkozienne puissent écouter les verdicts. "Nous avions prévu des prie-dieu dans un premier temps mais notre Président bien-aimé les trouvait trop ostentatoires et a préféré un mobilier incarnant mieux la modestie de la République", explique Gabriel Dubonchoix.
Pour les affaires impliquant des VIP, un mobilier plus cossu est prévu avec fauteuils transats et cendriers adaptés aux cigares.
Nicolas Sarkozy jugera sur la base d'un dossier établi par les services de justice déjà existants : les juges d'instruction et avocats seront appelés à remplir les mêmes tâches que celles prévues dans les codes de procédures civile et pénale "obsolètes" en vigueur. Les services centraux du ministère de la justice devront fournir au Président des synthèses lui permettant de "faciliter sa prise de décision".
La réforme permettra en revanche de désengorger les tribunaux d'instance et de grande instance, qui verront leurs missions "redéployées" vers le suivi de l'application des peines, un secteur dont tout le monde sait qu'il manque aujourd'hui cruellement de moyens.
Les cours d'appel seront quant à elles supprimées puisque les décisions de Nicolas Sarkozy seront rendues en premier et dernier ressorts.
Les jurés populaires seront eux aussi supprimés, devenant inutiles du fait de la légitimité de Nicolas Sarkozy à s'exprimer au nom du peuple français grâce au mandat qui lui a été confié par le suffrage universel.
Simplification ultime des procédures civiles : seuls les litiges pour des montants supérieurs à 50 000 euros seront jugés, les autres seront laissés à la libre appréciation des parties pour accord amiable. "La loi du plus fort permettra très rapidement de réguler les litiges pour ces petits montants inférieurs à 50 000 euros, c'est-à-dire à peine l'équivalent de deux semaines de vacances en Amérique profonde", analyse-t-on à la chancellerie.
Les récidivistes ne comparaîtront bien entendu pas sous le chêne de Nicolas Sarkozy puisqu'ils seront automatiquement condamnés. Le plus petit président de l'histoire de France réfléchirait aussi au rétablissement de la peine de mort pour limiter la récidive.
La tâche des services de Rachida Dati reste ample pour parvenir à une mise en place effective au 1er janvier 2008, exigée par le Président de la République. A ce titre, des ajustements constitutionnels "mineurs" devront être entérinés avant Noël pour régler en particulier la question "procédurière" de la séparation des pouvoirs : comme ils seront tous concentrés dans les mains de Nicolas Sarkozy, qui est indivisible, "le problème est en fait déjà résolu", susurre un membre du cabinet masochiste de Madame Dati.
Dans sa sagesse, enfin, Nicolas Sarkozy pourrait saisir l'occasion de ces ajustements pour supprimer le Conseil Constitutionnel, "une institution du passé", devenu inutile dans un pays où le Président sera devenu infaillible.
Il ne restera plus, à partir de 2009, qu'à régler d'autres sujets mineurs comme l'éventuelle succession à venir du Président élu le 6 mai 2007. "La réforme judiciaire en marche repose sur la clairvoyance exceptionnelle de Nicolas Sakorzy", explique Rachida Dati, "il faut donc dès maintenant penser à préserver l'avenir de nos institutions en amenant une évolution de la durée de son mandat, qui deviendrait à vie, et surtout former dès aujourd'hui Louis, le fruit des entrailles de Cécilia, à succéder dignement aux lourdes charges qui seront les siennes après le règne terrestre de son père".