Bonjour à tous,
Je me retrouve face à un problème de licence donc je ne suis pas
certain de mesurer l'ampleur.
Dans mon entreprise j'ai conçu un logiciel à usage interne uniquement
écrit en Python + wxPython.
Ce logiciel et ces sources ne sera diffusé et utilisé qu'en interne,
jusque là il n'y a pas de problème avec les licences Python et
wxPython.
Mais j'ai dernièrement inclus un module sous licence QPL et là ça se
complique.
La licence QPL m'impose (si j'ai bien compris) de redistribuer mon
logiciel et ces sources, hors cela m'est impossible car ce logiciel
utilise des méthodes de calcul que mon entreprise souhaite garder
secrète!
La solution serait sans doute de ré-écrire un module en remplacement
de celui sous licence QPL mais cela n'est pas possible pour le moment.
Alors j'ai pensé à la solution suivante :
Créer un module sous licence BSD par exemple utilisant le module sous
licence QPL et diffusé ce nouveau module pour le respect de la QPL. Et
utiliser mon nouveau module en BSD dans mon application ce qui
m'autorise à ne pas diffuser mon logiciel ou ces sources.
Pensez-vous que cela peut fonctionner comme ça?
Bonjour à tous,
Je me retrouve face à un problème de licence donc je ne suis pas
certain de mesurer l'ampleur.
Dans mon entreprise j'ai conçu un logiciel à usage interne uniquement
écrit en Python + wxPython.
Ce logiciel et ces sources ne sera diffusé et utilisé qu'en interne,
jusque là il n'y a pas de problème avec les licences Python et
wxPython.
Mais j'ai dernièrement inclus un module sous licence QPL et là ça se
complique.
La licence QPL m'impose (si j'ai bien compris) de redistribuer mon
logiciel et ces sources, hors cela m'est impossible car ce logiciel
utilise des méthodes de calcul que mon entreprise souhaite garder
secrète!
La solution serait sans doute de ré-écrire un module en remplacement
de celui sous licence QPL mais cela n'est pas possible pour le moment.
Alors j'ai pensé à la solution suivante :
Créer un module sous licence BSD par exemple utilisant le module sous
licence QPL et diffusé ce nouveau module pour le respect de la QPL. Et
utiliser mon nouveau module en BSD dans mon application ce qui
m'autorise à ne pas diffuser mon logiciel ou ces sources.
Pensez-vous que cela peut fonctionner comme ça?
Bonjour à tous,
Je me retrouve face à un problème de licence donc je ne suis pas
certain de mesurer l'ampleur.
Dans mon entreprise j'ai conçu un logiciel à usage interne uniquement
écrit en Python + wxPython.
Ce logiciel et ces sources ne sera diffusé et utilisé qu'en interne,
jusque là il n'y a pas de problème avec les licences Python et
wxPython.
Mais j'ai dernièrement inclus un module sous licence QPL et là ça se
complique.
La licence QPL m'impose (si j'ai bien compris) de redistribuer mon
logiciel et ces sources, hors cela m'est impossible car ce logiciel
utilise des méthodes de calcul que mon entreprise souhaite garder
secrète!
La solution serait sans doute de ré-écrire un module en remplacement
de celui sous licence QPL mais cela n'est pas possible pour le moment.
Alors j'ai pensé à la solution suivante :
Créer un module sous licence BSD par exemple utilisant le module sous
licence QPL et diffusé ce nouveau module pour le respect de la QPL. Et
utiliser mon nouveau module en BSD dans mon application ce qui
m'autorise à ne pas diffuser mon logiciel ou ces sources.
Pensez-vous que cela peut fonctionner comme ça?
Bonjour à tous,
Je me retrouve face à un problème de licence donc je ne suis pas
certain de mesurer l'ampleur.
Dans mon entreprise j'ai conçu un logiciel à usage interne uniquemen t
écrit en Python + wxPython.
Ce logiciel et ces sources ne sera diffusé et utilisé qu'en interne,
jusque là il n'y a pas de problème avec les licences Python et
wxPython.
Mais j'ai dernièrement inclus un module sous licence QPL et là ça se
complique.
La licence QPL m'impose (si j'ai bien compris) de redistribuer mon
logiciel et ces sources, hors cela m'est impossible car ce logiciel
utilise des méthodes de calcul que mon entreprise souhaite garder
secrète!
La solution serait sans doute de ré-écrire un module en remplacement
de celui sous licence QPL mais cela n'est pas possible pour le moment.
Alors j'ai pensé à la solution suivante :
Créer un module sous licence BSD par exemple utilisant le module sous
licence QPL et diffusé ce nouveau module pour le respect de la QPL. Et
utiliser mon nouveau module en BSD dans mon application ce qui
m'autorise à ne pas diffuser mon logiciel ou ces sources.
Pensez-vous que cela peut fonctionner comme ça?
Si le logiciel n'est utilisé qu'en interne, et qu'il n'est pas
distribué, alors il n'y a pas de problème du tout !
On peut utilise le module sous licence QPL tel quel.
Par contre, si le programme doit être distribué ou vendu, la réponse est
Non (ce serait trop facile):
Si ce nouveau module est sous licence BSD, n'importe qui *pourrait* le
modifier à sa guise, et revendre des versions modifiées sans le code s ource.
Ce qui est contraire à la licence QPL, qui *oblige* à distribuer ce co de
source.
Il est donc interdit de publier ce nouveau module avec la licence BSD.
Et pas la peine de chercher: c'est étudié pour que ce ne soit pas poss ible.
Note que la licence GPL a le même comportement "contagieux" vis-à-vis de
tous les composants logiciels qu'elle touche.
Dans ce cas, il faudra trouver un autre module.
--
Amaury
Bonjour à tous,
Je me retrouve face à un problème de licence donc je ne suis pas
certain de mesurer l'ampleur.
Dans mon entreprise j'ai conçu un logiciel à usage interne uniquemen t
écrit en Python + wxPython.
Ce logiciel et ces sources ne sera diffusé et utilisé qu'en interne,
jusque là il n'y a pas de problème avec les licences Python et
wxPython.
Mais j'ai dernièrement inclus un module sous licence QPL et là ça se
complique.
La licence QPL m'impose (si j'ai bien compris) de redistribuer mon
logiciel et ces sources, hors cela m'est impossible car ce logiciel
utilise des méthodes de calcul que mon entreprise souhaite garder
secrète!
La solution serait sans doute de ré-écrire un module en remplacement
de celui sous licence QPL mais cela n'est pas possible pour le moment.
Alors j'ai pensé à la solution suivante :
Créer un module sous licence BSD par exemple utilisant le module sous
licence QPL et diffusé ce nouveau module pour le respect de la QPL. Et
utiliser mon nouveau module en BSD dans mon application ce qui
m'autorise à ne pas diffuser mon logiciel ou ces sources.
Pensez-vous que cela peut fonctionner comme ça?
Si le logiciel n'est utilisé qu'en interne, et qu'il n'est pas
distribué, alors il n'y a pas de problème du tout !
On peut utilise le module sous licence QPL tel quel.
Par contre, si le programme doit être distribué ou vendu, la réponse est
Non (ce serait trop facile):
Si ce nouveau module est sous licence BSD, n'importe qui *pourrait* le
modifier à sa guise, et revendre des versions modifiées sans le code s ource.
Ce qui est contraire à la licence QPL, qui *oblige* à distribuer ce co de
source.
Il est donc interdit de publier ce nouveau module avec la licence BSD.
Et pas la peine de chercher: c'est étudié pour que ce ne soit pas poss ible.
Note que la licence GPL a le même comportement "contagieux" vis-à-vis de
tous les composants logiciels qu'elle touche.
Dans ce cas, il faudra trouver un autre module.
--
Amaury
Bonjour à tous,
Je me retrouve face à un problème de licence donc je ne suis pas
certain de mesurer l'ampleur.
Dans mon entreprise j'ai conçu un logiciel à usage interne uniquemen t
écrit en Python + wxPython.
Ce logiciel et ces sources ne sera diffusé et utilisé qu'en interne,
jusque là il n'y a pas de problème avec les licences Python et
wxPython.
Mais j'ai dernièrement inclus un module sous licence QPL et là ça se
complique.
La licence QPL m'impose (si j'ai bien compris) de redistribuer mon
logiciel et ces sources, hors cela m'est impossible car ce logiciel
utilise des méthodes de calcul que mon entreprise souhaite garder
secrète!
La solution serait sans doute de ré-écrire un module en remplacement
de celui sous licence QPL mais cela n'est pas possible pour le moment.
Alors j'ai pensé à la solution suivante :
Créer un module sous licence BSD par exemple utilisant le module sous
licence QPL et diffusé ce nouveau module pour le respect de la QPL. Et
utiliser mon nouveau module en BSD dans mon application ce qui
m'autorise à ne pas diffuser mon logiciel ou ces sources.
Pensez-vous que cela peut fonctionner comme ça?
Si le logiciel n'est utilisé qu'en interne, et qu'il n'est pas
distribué, alors il n'y a pas de problème du tout !
On peut utilise le module sous licence QPL tel quel.
Par contre, si le programme doit être distribué ou vendu, la réponse est
Non (ce serait trop facile):
Si ce nouveau module est sous licence BSD, n'importe qui *pourrait* le
modifier à sa guise, et revendre des versions modifiées sans le code s ource.
Ce qui est contraire à la licence QPL, qui *oblige* à distribuer ce co de
source.
Il est donc interdit de publier ce nouveau module avec la licence BSD.
Et pas la peine de chercher: c'est étudié pour que ce ne soit pas poss ible.
Note que la licence GPL a le même comportement "contagieux" vis-à-vis de
tous les composants logiciels qu'elle touche.
Dans ce cas, il faudra trouver un autre module.
--
Amaury
Bonsoir !
Une licence en anglais ne peut pas t'être opposée devant un tribunal
français, pour une utilisation en France.
Il ne reste donc que ton (propre) sens moral.
Conclusion : c'est toi qui voit !
Bonsoir !
Une licence en anglais ne peut pas t'être opposée devant un tribunal
français, pour une utilisation en France.
Il ne reste donc que ton (propre) sens moral.
Conclusion : c'est toi qui voit !
Bonsoir !
Une licence en anglais ne peut pas t'être opposée devant un tribunal
français, pour une utilisation en France.
Il ne reste donc que ton (propre) sens moral.
Conclusion : c'est toi qui voit !
Le logiciel est uniquement à usage interne donc je ne devrais pas
avoir de problème.
Toutefois la licence QPL indique que je dois publier mon logiciel même
s'il est à usage interne non?
j'ai trouvé ce résumé sur http://www.cgal.org/license.html
The QPL
The Q Public License gives you the right to use the code under the
condition that any program using it be released itself under an Open
Source license. Note that this also concerns software that you develop
for in-house usage. Concerning modifications, they are also allowed
under the condition that they be distributed as patches against the
original sources.
puis-je réelle utiliser le module en QPL sans publier mon logiciel ?
(ou est ce que ce résumé est mal interprété ?)
Le logiciel est uniquement à usage interne donc je ne devrais pas
avoir de problème.
Toutefois la licence QPL indique que je dois publier mon logiciel même
s'il est à usage interne non?
j'ai trouvé ce résumé sur http://www.cgal.org/license.html
The QPL
The Q Public License gives you the right to use the code under the
condition that any program using it be released itself under an Open
Source license. Note that this also concerns software that you develop
for in-house usage. Concerning modifications, they are also allowed
under the condition that they be distributed as patches against the
original sources.
puis-je réelle utiliser le module en QPL sans publier mon logiciel ?
(ou est ce que ce résumé est mal interprété ?)
Le logiciel est uniquement à usage interne donc je ne devrais pas
avoir de problème.
Toutefois la licence QPL indique que je dois publier mon logiciel même
s'il est à usage interne non?
j'ai trouvé ce résumé sur http://www.cgal.org/license.html
The QPL
The Q Public License gives you the right to use the code under the
condition that any program using it be released itself under an Open
Source license. Note that this also concerns software that you develop
for in-house usage. Concerning modifications, they are also allowed
under the condition that they be distributed as patches against the
original sources.
puis-je réelle utiliser le module en QPL sans publier mon logiciel ?
(ou est ce que ce résumé est mal interprété ?)
Une licence en anglais ne peut pas t'être opposée devant un tribunal
français, pour une utilisation en France.
Il ne reste donc que ton (propre) sens moral.
Une licence en anglais ne peut pas t'être opposée devant un tribunal
français, pour une utilisation en France.
Il ne reste donc que ton (propre) sens moral.
Une licence en anglais ne peut pas t'être opposée devant un tribunal
français, pour une utilisation en France.
Il ne reste donc que ton (propre) sens moral.
Je maintiens. Une licence est (assimilé à) un contrat d'utilisation.
Le fait d'avoir un contrat régidé dans un langue étrangère, pour une
utilisation en France, rend ce contrat léonin. Pas à cause du non
respect de la loi pour la traduction, mais surtout parce que la langue
native du contrat est celle d'une seule des deux parties (ce qui
entraine le problème de la "part du lion").
Une licence en anglais est tout à fait recevable, mais doit être
accompagnée, impérativement, de sa traduction française. Et pas
traduite par n'importe qui. Seuls les traducteurs assermentés, agréés
auprès des tribunaux (souvent appelés "traducteurs jurés"), sont
valides. Il y a quelques années, j'ai eu un problème avec ça ; j'ai dû
faire en trouver un, payer (cher), et attendre un certain temps.
Concernant le logiciel (dit) "libre", il faut rappeler la licence
CeCILL, qui a adapté au droit français les principales clauses des
licences américaines.
Voir : http://www.inria.fr/presse/pre119.fr.html
Cette licence a été créée notamment pour pallier à de nombreux manques
des licences américaines, relativement au droit français.
Je maintiens. Une licence est (assimilé à) un contrat d'utilisation.
Le fait d'avoir un contrat régidé dans un langue étrangère, pour une
utilisation en France, rend ce contrat léonin. Pas à cause du non
respect de la loi pour la traduction, mais surtout parce que la langue
native du contrat est celle d'une seule des deux parties (ce qui
entraine le problème de la "part du lion").
Une licence en anglais est tout à fait recevable, mais doit être
accompagnée, impérativement, de sa traduction française. Et pas
traduite par n'importe qui. Seuls les traducteurs assermentés, agréés
auprès des tribunaux (souvent appelés "traducteurs jurés"), sont
valides. Il y a quelques années, j'ai eu un problème avec ça ; j'ai dû
faire en trouver un, payer (cher), et attendre un certain temps.
Concernant le logiciel (dit) "libre", il faut rappeler la licence
CeCILL, qui a adapté au droit français les principales clauses des
licences américaines.
Voir : http://www.inria.fr/presse/pre119.fr.html
Cette licence a été créée notamment pour pallier à de nombreux manques
des licences américaines, relativement au droit français.
Je maintiens. Une licence est (assimilé à) un contrat d'utilisation.
Le fait d'avoir un contrat régidé dans un langue étrangère, pour une
utilisation en France, rend ce contrat léonin. Pas à cause du non
respect de la loi pour la traduction, mais surtout parce que la langue
native du contrat est celle d'une seule des deux parties (ce qui
entraine le problème de la "part du lion").
Une licence en anglais est tout à fait recevable, mais doit être
accompagnée, impérativement, de sa traduction française. Et pas
traduite par n'importe qui. Seuls les traducteurs assermentés, agréés
auprès des tribunaux (souvent appelés "traducteurs jurés"), sont
valides. Il y a quelques années, j'ai eu un problème avec ça ; j'ai dû
faire en trouver un, payer (cher), et attendre un certain temps.
Concernant le logiciel (dit) "libre", il faut rappeler la licence
CeCILL, qui a adapté au droit français les principales clauses des
licences américaines.
Voir : http://www.inria.fr/presse/pre119.fr.html
Cette licence a été créée notamment pour pallier à de nombreux manques
des licences américaines, relativement au droit français.