Petit problème de droit auquel je n'ai jamais trouvé de solutions légales et
qui commence sérieusement à m'exaspérer :
Je suis locataire d'un appartement qui dispose d'une place de parking privé
(dans une allée qui n'est pas spécialement ouverte au public, mais qui est
utilisée par des véhicules souhaitant effectuer des demi-tours Ce n'est pas
l'autoroute, mais tout véhicule peut librement y accéder) Les places sont en
épis, numérotées et disposent d'une barrière (malheureusement les cadenas ne
font pas long feu dans le quartier...).
Depuis quelques mois, l'habitude prend de nombreux automobilistes de baisser
les barrières sans cadenas et de squatter les places pour des durées de 10
minutes à 5 heures. (Autrefois, je disposais d'un cadenas... mais en acheter
un toute les semaines çà m'énerve. De plus, la barrière ne pouvant tomber
seule à la force du vent, je me contente désormais de la lever).
Une fois, c'est énervant, deux fois on passe, et un jour la coupe est
pleine. Et la, Ô surprise, on appelle la police qui vous répond : "Ah non
Monsieur, on ne peut pas intervenir [...] mettez-vous derrière... dégonflez
lui un pneu... mettez de la glu dans les serrures...". On se dit alors qu'il
y a bien moyen de faire quelque chose qui ne ressemble pas à de l'auto
justice. Bah non, même les stickers "Stationnement interdit" ça peut nous
retomber dessus.
Conclusion, que faire ?
A titre d'information, je m'oriente sur ces pistes : violation du domicile ?
(d'accord je dors pas sur mon parking mais bon !!!); privation de jouissance
? Ou, et la c'est un peu plus compliqué : je souffre dune maladie rare
(narcolepsie et cataplexie). La cataplexie m'empêche d'éprouver des émotions
(surtout l'énervement) sans m'affecter d'un baisse de tonus musculaire
pouvant aller jusqu'à une violente chute à terre incontrôlable.
C'est-à-dire que chaque fois qu'un imbécile se gare sur ma place, bah moi je
fais une crise dont les conséquences peuvent être très dangereuses (je
surmonte déjà cette maladie en essayant de comprendre qu'il n'y a jamais
rien de très grave; mais dans cette situation je suis toujours excédé !!!!).
Si un juriste a une idée des différentes procédures qui peuvent aboutir,
merci de bien vouloir m'éclairer.
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Guillaume F
Tu remontes ta barrière avec serrure neuves quand la prochaine voiture sera à ta place....
"Pierre" a écrit dans le message de news:402a74db$0$28156$
Petit problème de droit auquel je n'ai jamais trouvé de solutions légales
et
qui commence sérieusement à m'exaspérer :
Je suis locataire d'un appartement qui dispose d'une place de parking
privé
(dans une allée qui n'est pas spécialement ouverte au public, mais qui est utilisée par des véhicules souhaitant effectuer des demi-tours Ce n'est
pas
l'autoroute, mais tout véhicule peut librement y accéder) Les places sont
en
épis, numérotées et disposent d'une barrière (malheureusement les cadenas
ne
font pas long feu dans le quartier...).
Depuis quelques mois, l'habitude prend de nombreux automobilistes de
baisser
les barrières sans cadenas et de squatter les places pour des durées de 10 minutes à 5 heures. (Autrefois, je disposais d'un cadenas... mais en
acheter
un toute les semaines çà m'énerve. De plus, la barrière ne pouvant tomber seule à la force du vent, je me contente désormais de la lever).
Une fois, c'est énervant, deux fois on passe, et un jour la coupe est pleine. Et la, Ô surprise, on appelle la police qui vous répond : "Ah non Monsieur, on ne peut pas intervenir [...] mettez-vous derrière...
dégonflez
lui un pneu... mettez de la glu dans les serrures...". On se dit alors
qu'il
y a bien moyen de faire quelque chose qui ne ressemble pas à de l'auto justice. Bah non, même les stickers "Stationnement interdit" ça peut nous retomber dessus.
Conclusion, que faire ?
A titre d'information, je m'oriente sur ces pistes : violation du domicile
?
(d'accord je dors pas sur mon parking mais bon !!!); privation de
jouissance
? Ou, et la c'est un peu plus compliqué : je souffre dune maladie rare (narcolepsie et cataplexie). La cataplexie m'empêche d'éprouver des
émotions
(surtout l'énervement) sans m'affecter d'un baisse de tonus musculaire pouvant aller jusqu'à une violente chute à terre incontrôlable. C'est-à-dire que chaque fois qu'un imbécile se gare sur ma place, bah moi
je
fais une crise dont les conséquences peuvent être très dangereuses (je surmonte déjà cette maladie en essayant de comprendre qu'il n'y a jamais rien de très grave; mais dans cette situation je suis toujours excédé
!!!!).
Si un juriste a une idée des différentes procédures qui peuvent aboutir, merci de bien vouloir m'éclairer.
Tu remontes ta barrière avec serrure neuves quand la prochaine voiture sera
à ta place....
"Pierre" <yantouti@hotmail.com> a écrit dans le message de
news:402a74db$0$28156$626a14ce@news.free.fr...
Petit problème de droit auquel je n'ai jamais trouvé de solutions légales
et
qui commence sérieusement à m'exaspérer :
Je suis locataire d'un appartement qui dispose d'une place de parking
privé
(dans une allée qui n'est pas spécialement ouverte au public, mais qui est
utilisée par des véhicules souhaitant effectuer des demi-tours Ce n'est
pas
l'autoroute, mais tout véhicule peut librement y accéder) Les places sont
en
épis, numérotées et disposent d'une barrière (malheureusement les cadenas
ne
font pas long feu dans le quartier...).
Depuis quelques mois, l'habitude prend de nombreux automobilistes de
baisser
les barrières sans cadenas et de squatter les places pour des durées de 10
minutes à 5 heures. (Autrefois, je disposais d'un cadenas... mais en
acheter
un toute les semaines çà m'énerve. De plus, la barrière ne pouvant tomber
seule à la force du vent, je me contente désormais de la lever).
Une fois, c'est énervant, deux fois on passe, et un jour la coupe est
pleine. Et la, Ô surprise, on appelle la police qui vous répond : "Ah non
Monsieur, on ne peut pas intervenir [...] mettez-vous derrière...
dégonflez
lui un pneu... mettez de la glu dans les serrures...". On se dit alors
qu'il
y a bien moyen de faire quelque chose qui ne ressemble pas à de l'auto
justice. Bah non, même les stickers "Stationnement interdit" ça peut nous
retomber dessus.
Conclusion, que faire ?
A titre d'information, je m'oriente sur ces pistes : violation du domicile
?
(d'accord je dors pas sur mon parking mais bon !!!); privation de
jouissance
? Ou, et la c'est un peu plus compliqué : je souffre dune maladie rare
(narcolepsie et cataplexie). La cataplexie m'empêche d'éprouver des
émotions
(surtout l'énervement) sans m'affecter d'un baisse de tonus musculaire
pouvant aller jusqu'à une violente chute à terre incontrôlable.
C'est-à-dire que chaque fois qu'un imbécile se gare sur ma place, bah moi
je
fais une crise dont les conséquences peuvent être très dangereuses (je
surmonte déjà cette maladie en essayant de comprendre qu'il n'y a jamais
rien de très grave; mais dans cette situation je suis toujours excédé
!!!!).
Si un juriste a une idée des différentes procédures qui peuvent aboutir,
merci de bien vouloir m'éclairer.
Tu remontes ta barrière avec serrure neuves quand la prochaine voiture sera à ta place....
"Pierre" a écrit dans le message de news:402a74db$0$28156$
Petit problème de droit auquel je n'ai jamais trouvé de solutions légales
et
qui commence sérieusement à m'exaspérer :
Je suis locataire d'un appartement qui dispose d'une place de parking
privé
(dans une allée qui n'est pas spécialement ouverte au public, mais qui est utilisée par des véhicules souhaitant effectuer des demi-tours Ce n'est
pas
l'autoroute, mais tout véhicule peut librement y accéder) Les places sont
en
épis, numérotées et disposent d'une barrière (malheureusement les cadenas
ne
font pas long feu dans le quartier...).
Depuis quelques mois, l'habitude prend de nombreux automobilistes de
baisser
les barrières sans cadenas et de squatter les places pour des durées de 10 minutes à 5 heures. (Autrefois, je disposais d'un cadenas... mais en
acheter
un toute les semaines çà m'énerve. De plus, la barrière ne pouvant tomber seule à la force du vent, je me contente désormais de la lever).
Une fois, c'est énervant, deux fois on passe, et un jour la coupe est pleine. Et la, Ô surprise, on appelle la police qui vous répond : "Ah non Monsieur, on ne peut pas intervenir [...] mettez-vous derrière...
dégonflez
lui un pneu... mettez de la glu dans les serrures...". On se dit alors
qu'il
y a bien moyen de faire quelque chose qui ne ressemble pas à de l'auto justice. Bah non, même les stickers "Stationnement interdit" ça peut nous retomber dessus.
Conclusion, que faire ?
A titre d'information, je m'oriente sur ces pistes : violation du domicile
?
(d'accord je dors pas sur mon parking mais bon !!!); privation de
jouissance
? Ou, et la c'est un peu plus compliqué : je souffre dune maladie rare (narcolepsie et cataplexie). La cataplexie m'empêche d'éprouver des
émotions
(surtout l'énervement) sans m'affecter d'un baisse de tonus musculaire pouvant aller jusqu'à une violente chute à terre incontrôlable. C'est-à-dire que chaque fois qu'un imbécile se gare sur ma place, bah moi
je
fais une crise dont les conséquences peuvent être très dangereuses (je surmonte déjà cette maladie en essayant de comprendre qu'il n'y a jamais rien de très grave; mais dans cette situation je suis toujours excédé
!!!!).
Si un juriste a une idée des différentes procédures qui peuvent aboutir, merci de bien vouloir m'éclairer.
Toto
> épis, numérotées et disposent d'une barrière (malheureusement les cadenas
ne
font pas long feu dans le quartier...).
une herse metallique avec des pics ??? non ? :-) a+ Toto
> épis, numérotées et disposent d'une barrière (malheureusement les cadenas
ne
font pas long feu dans le quartier...).
une herse metallique avec des pics ???
non ? :-)
a+
Toto