Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante, et
par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un manuel
de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans notre
esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su magistralement
lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante, et
par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un manuel
de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans notre
esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su magistralement
lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante, et
par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un manuel
de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans notre
esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su magistralement
lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive quoi?
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive quoi?
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive quoi?
On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases.... (c)(tm)
On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases.... (c)(tm)
On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases.... (c)(tm)
"Ghost-Rider" a écrit dans le message deLe 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile, directement
sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Il y a deux façons de se contempler : le miroir et sa propre prose.
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile, directement
sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Il y a deux façons de se contempler : le miroir et sa propre prose.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message deLe 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile, directement
sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Il y a deux façons de se contempler : le miroir et sa propre prose.
Le 31/05/2010 10:09, Ofnuts a écrit :On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases....
(c)(tm)
Pourtant c'était bien une question métaphysique à laquelle il fallait
répondre, n'est-ce pas ?
Que la réponse éclipse la question, je n'y peux rien, car cette fort
belle photo d'un photographe-philosophe reconnu ne pouvait que susciter
des commentaires élogieux.
Le 31/05/2010 10:09, Ofnuts a écrit :
On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases....
(c)(tm)
Pourtant c'était bien une question métaphysique à laquelle il fallait
répondre, n'est-ce pas ?
Que la réponse éclipse la question, je n'y peux rien, car cette fort
belle photo d'un photographe-philosophe reconnu ne pouvait que susciter
des commentaires élogieux.
Le 31/05/2010 10:09, Ofnuts a écrit :On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire cette
photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière étincelante,
et par l'imprécision des détails de la toile, directement sortie d'un
manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases....
(c)(tm)
Pourtant c'était bien une question métaphysique à laquelle il fallait
répondre, n'est-ce pas ?
Que la réponse éclipse la question, je n'y peux rien, car cette fort
belle photo d'un photographe-philosophe reconnu ne pouvait que susciter
des commentaires élogieux.
Le 31/05/2010 10:51, Ferdinand Marechal a écrit :
"Ghost-Rider" a écrit dans le message deLe 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur
arrive quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile,
directement sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre
deux époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir
dans notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Il y a deux façons de se contempler : le miroir et sa propre prose.
Si tout le monde peut se contempler dans un miroir, bien peu de gens
peuvent contempler leur prose.
Le 31/05/2010 10:51, Ferdinand Marechal a écrit :
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit dans le message de
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur
arrive quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile,
directement sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre
deux époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir
dans notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Il y a deux façons de se contempler : le miroir et sa propre prose.
Si tout le monde peut se contempler dans un miroir, bien peu de gens
peuvent contempler leur prose.
Le 31/05/2010 10:51, Ferdinand Marechal a écrit :
"Ghost-Rider" a écrit dans le message deLe 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur
arrive quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile,
directement sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre
deux époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir
dans notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
Il y a deux façons de se contempler : le miroir et sa propre prose.
Si tout le monde peut se contempler dans un miroir, bien peu de gens
peuvent contempler leur prose.
On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile,
directement sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases....
(c)(tm)
On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:
Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :
Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile,
directement sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases....
(c)(tm)
On 31/05/2010 07:45, Ghost-Rider wrote:Le 30/05/2010 22:19, Ofnuts a écrit :Les objets inutilisés finissent par disparaître sous les toiles
d'araignées. Mais les toiles d'araignées abandonnées, il leur arrive
quoi?
<http://cjoint.com/data/fEwr6jBRz5.htm>
N'était le petit point coloré en bas à droite, on pourrait croire
cette photo, par ses oppositions entre ombre profonde et lumière
étincelante, et par l'imprécision des détails de la toile,
directement sortie d'un manuel de photographie des années soixante.
Mais cet insolite point de couleur jette un pont inattendu entre deux
époques si proches et pourtant si lointaines et fait ressurgir dans
notre esprit nos souvenirs en vagues nostalgiques et répétées.
La toile d'araignée, si fragile et éphémère est ainsi fixée pour
l'éternité par le talent du photographe-philosophe qui a su
magistralement lui donner une dimension intemporelle.
Encore une grande leçon d'humanité, on ne peut que dire Merci.
C'est curieux chez les cavaliers ce besoin de faire des phrases....
(c)(tm)
Pour la philosophie, j'ai ici un maître... pour la photo...
Pour la philosophie, j'ai ici un maître... pour la photo...
Pour la philosophie, j'ai ici un maître... pour la photo...