Bonjour les amies de l'eloquances et du verbe haut !
Je lie : "Dimanche dernier d=E9j=E0, elles avaient brav=E9 cette interdicti=
on d'ouverture, provoquant un rappel =E0 l'ordre du gouvernement, qui s'=E9=
tait r=E9uni en urgence lundi pour discuter de cette question. Une mission =
de concertation sur cette question du travail dominical a =E9t=E9 confi=E9e=
=E0 l'ancien pr=E9sident de La Poste, Jean-Paul Bailly, dont les conclusio=
ns sont attendues pour fin novembre."
Pr=E9somption d=92innocence ?
On s'en tamponne de l'amande, on gagne plus ?
( dans ce cas de figure comp=E9tences de la magistrature du TC ?)
Ou quelque chose d'autre qui m'aurai =E9chapp=E9 ?
Bonjour les amies de l'eloquances et du verbe haut !
Je lie : "Dimanche dernier déjà, elles avaient bravé cette interdiction d'ouverture, provoquant un rappel à l'ordre du gouvernement, qui s'était réuni en urgence lundi pour discuter de cette question. Une mission de concertation sur cette question du travail dominical a été confiée à l'ancien président de La Poste, Jean-Paul Bailly, dont les conclusions sont attendues pour fin novembre."
Présomption d'innocence ?
La présomption d'innocence, puisqu'on l'évoque, suggère d'éviter de supposer, même sous forme interrogative, un non respect dont quelques recherches semblent indiquer qu'il n'existe en fait pas.
On s'en tamponne de l'amande, on gagne plus ? ( dans ce cas de figure compétences de la magistrature du TC ?)
Ou quelque chose d'autre qui m'aurai échappé ?
Quelque chose t'a échappé en effet, plusieurs en fait, que tu pouvais repérer par une recherche d'une minute sur Google avec "fermeture dimanche", par exemple :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc pas exécutoire.
Par ailleurs, le même article indique une future audience sur le fond, donc laisse penser que la décision actuelle ne l'est pas, et une recherche rapide montre qu'en effet c'est une décision de référé, comme indiqué au sein de cet autre article :
Ces quelques liens devaient suffire pour te permettre des recherches plus aprofondies sur la question.
Enfin et surtout, je suggère de ne jamais généraliser (fût-ce de manière interrogative) à partir d'une affaire particulière sans se renseigner un minimum sur les détails de cette affaire et le cadre juridique applicable.
Ptilou
Amicalement, -- Albert.
Le 06/10/2013 13:17, Philippe a écrit :
Bonjour les amies de l'eloquances et du verbe haut !
Je lie : "Dimanche dernier déjà, elles avaient bravé cette
interdiction d'ouverture, provoquant un rappel à l'ordre du
gouvernement, qui s'était réuni en urgence lundi pour discuter de
cette question. Une mission de concertation sur cette question du
travail dominical a été confiée à l'ancien président de La Poste,
Jean-Paul Bailly, dont les conclusions sont attendues pour fin
novembre."
Présomption d'innocence ?
La présomption d'innocence, puisqu'on l'évoque, suggère d'éviter de
supposer, même sous forme interrogative, un non respect dont quelques
recherches semblent indiquer qu'il n'existe en fait pas.
On s'en tamponne de l'amande, on gagne plus ? ( dans ce cas de figure
compétences de la magistrature du TC ?)
Ou quelque chose d'autre qui m'aurai échappé ?
Quelque chose t'a échappé en effet, plusieurs en fait, que tu pouvais
repérer par une recherche d'une minute sur Google avec "fermeture
dimanche", par exemple :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture
le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
pas exécutoire.
Par ailleurs, le même article indique une future audience sur le fond,
donc laisse penser que la décision actuelle ne l'est pas, et une
recherche rapide montre qu'en effet c'est une décision de référé, comme
indiqué au sein de cet autre article :
Ces quelques liens devaient suffire pour te permettre des recherches
plus aprofondies sur la question.
Enfin et surtout, je suggère de ne jamais généraliser (fût-ce de manière
interrogative) à partir d'une affaire particulière sans se renseigner un
minimum sur les détails de cette affaire et le cadre juridique applicable.
Bonjour les amies de l'eloquances et du verbe haut !
Je lie : "Dimanche dernier déjà, elles avaient bravé cette interdiction d'ouverture, provoquant un rappel à l'ordre du gouvernement, qui s'était réuni en urgence lundi pour discuter de cette question. Une mission de concertation sur cette question du travail dominical a été confiée à l'ancien président de La Poste, Jean-Paul Bailly, dont les conclusions sont attendues pour fin novembre."
Présomption d'innocence ?
La présomption d'innocence, puisqu'on l'évoque, suggère d'éviter de supposer, même sous forme interrogative, un non respect dont quelques recherches semblent indiquer qu'il n'existe en fait pas.
On s'en tamponne de l'amande, on gagne plus ? ( dans ce cas de figure compétences de la magistrature du TC ?)
Ou quelque chose d'autre qui m'aurai échappé ?
Quelque chose t'a échappé en effet, plusieurs en fait, que tu pouvais repérer par une recherche d'une minute sur Google avec "fermeture dimanche", par exemple :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc pas exécutoire.
Par ailleurs, le même article indique une future audience sur le fond, donc laisse penser que la décision actuelle ne l'est pas, et une recherche rapide montre qu'en effet c'est une décision de référé, comme indiqué au sein de cet autre article :
Ces quelques liens devaient suffire pour te permettre des recherches plus aprofondies sur la question.
Enfin et surtout, je suggère de ne jamais généraliser (fût-ce de manière interrogative) à partir d'une affaire particulière sans se renseigner un minimum sur les détails de cette affaire et le cadre juridique applicable.
Ptilou
Amicalement, -- Albert.
jr
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche qui avait mangé quelque chose.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture
le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche
qui avait mangé quelque chose.
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche qui avait mangé quelque chose.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Albert ARIBAUD
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en le disant suspensif, il ne l'est pas (mais il reste les autorisations préfectorales et municipales).
Amicalement, -- Albert.
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture
le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche
qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en
le disant suspensif, il ne l'est pas (mais il reste les autorisations
préfectorales et municipales).
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en le disant suspensif, il ne l'est pas (mais il reste les autorisations préfectorales et municipales).
Amicalement, -- Albert.
jr
Le 06/10/2013 21:19, Albert ARIBAUD a écrit :
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en le disant suspensif, il ne l'est pas
Ah ouiche, c'est ça.
Par parenthèse le fond doit être évoqué sous peu si j'ai bien tout compris, ce qui limite l'intérêt de l'appel en question.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Le 06/10/2013 21:19, Albert ARIBAUD a écrit :
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture
le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche
qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en
le disant suspensif, il ne l'est pas
Ah ouiche, c'est ça.
Par parenthèse le fond doit être évoqué sous peu si j'ai bien tout
compris, ce qui limite l'intérêt de l'appel en question.
Le dimanche 6 octobre 2013 21:19:58 UTC+2, Albert ARIBAUD a écrit :
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
> Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
>
>> Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermet ure
>> le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
>>
>> Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
>> pas exécutoire.
>
> Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une d épêche
> qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai e rré en
le disant suspensif, il ne l'est pas (mais il reste les autorisations
préfectorales et municipales).
En droit, les arrêté soit il préfectoraux et municipaux, non pas auto rité sur chose jugé, c'est l'astreinte qui n'est pas dissuasive ...
Ptilou
Arthur
Le 06/10/2013 13:17, Philippe a écrit :
Bonjour les amies de l'eloquances et du verbe haut !
Je lie : "Dimanche dernier déjà, elles avaient bravé cette interdiction d'ouverture, provoquant un rappel à l'ordre du gouvernement, qui s'était réuni en urgence lundi pour discuter de cette question. Une mission de concertation sur cette question du travail dominical a été confiée à l'ancien président de La Poste, Jean-Paul Bailly, dont les conclusions sont attendues pour fin novembre."
Présomption d’innocence ?
On s'en tamponne de l'amande, on gagne plus ? ( dans ce cas de figure compétences de la magistrature du TC ?)
Ou quelque chose d'autre qui m'aurai échappé ?
Ptilou
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
-- Arthur
Le 06/10/2013 13:17, Philippe a écrit :
Bonjour les amies de l'eloquances et du verbe haut !
Je lie : "Dimanche dernier déjà, elles avaient bravé cette interdiction d'ouverture, provoquant un rappel à l'ordre du gouvernement, qui s'était réuni en urgence lundi pour discuter de cette question. Une mission de concertation sur cette question du travail dominical a été confiée à l'ancien président de La Poste, Jean-Paul Bailly, dont les conclusions sont attendues pour fin novembre."
Présomption d’innocence ?
On s'en tamponne de l'amande, on gagne plus ?
( dans ce cas de figure compétences de la magistrature du TC ?)
Ou quelque chose d'autre qui m'aurai échappé ?
Ptilou
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été
condamnés, ils respectent la décision de justice.
Bonjour les amies de l'eloquances et du verbe haut !
Je lie : "Dimanche dernier déjà, elles avaient bravé cette interdiction d'ouverture, provoquant un rappel à l'ordre du gouvernement, qui s'était réuni en urgence lundi pour discuter de cette question. Une mission de concertation sur cette question du travail dominical a été confiée à l'ancien président de La Poste, Jean-Paul Bailly, dont les conclusions sont attendues pour fin novembre."
Présomption d’innocence ?
On s'en tamponne de l'amande, on gagne plus ? ( dans ce cas de figure compétences de la magistrature du TC ?)
Ou quelque chose d'autre qui m'aurai échappé ?
Ptilou
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
-- Arthur
Romnulphe
Le 07/10/2013 13:58, Philippe a écrit :
Bonjour,
Le dimanche 6 octobre 2013 21:19:58 UTC+2, Albert ARIBAUD a écrit :
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture
le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche
qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en
le disant suspensif, il ne l'est pas (mais il reste les autorisations
préfectorales et municipales).
En droit, les arrêté soit il préfectoraux et municipaux, non pas autorité sur chose jugé, c'est l'astreinte qui n'est pas dissuasive ...
Vous faites honte à notre commun prénom. Même Sylvain semble lettré par comparaison. Et Lavau presque rationnel.
Le 07/10/2013 13:58, Philippe a écrit :
Bonjour,
Le dimanche 6 octobre 2013 21:19:58 UTC+2, Albert ARIBAUD a écrit :
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture
le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche
qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en
le disant suspensif, il ne l'est pas (mais il reste les autorisations
préfectorales et municipales).
En droit, les arrêté soit il préfectoraux et municipaux, non pas autorité sur chose jugé, c'est l'astreinte qui n'est pas dissuasive ...
Vous faites honte à notre commun prénom. Même Sylvain semble lettré par
comparaison. Et Lavau presque rationnel.
Le dimanche 6 octobre 2013 21:19:58 UTC+2, Albert ARIBAUD a écrit :
Le 06/10/2013 21:00, jr a écrit :
Le 06/10/2013 13:38, Albert ARIBAUD a écrit :
Dont l'URL contient un titre différent de l'article, qui est "Fermeture
le dimanche : Castorama et Leroy Merlin font appel".
Or, si appel il y a, il est suspensif : la décision d'origine n'est donc
pas exécutoire.
Un appel sur un référé? Il y a un journaliste qui a mangé une dépêche
qui avait mangé quelque chose.
L'appel d'un référé est tout à fait possible. En revanche, j'ai erré en
le disant suspensif, il ne l'est pas (mais il reste les autorisations
préfectorales et municipales).
En droit, les arrêté soit il préfectoraux et municipaux, non pas autorité sur chose jugé, c'est l'astreinte qui n'est pas dissuasive ...
Vous faites honte à notre commun prénom. Même Sylvain semble lettré par comparaison. Et Lavau presque rationnel.
patrick.1200RTcazaux
Arthur wrote:
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché. C'est une punition.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Arthur <arthur@yopmail.com> wrote:
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été
condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une
amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché.
C'est une punition.
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché. C'est une punition.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
jr
Le 10/10/2013 09:45, Tardigradus a écrit :
Arthur wrote:
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché. C'est une punition.
Non, nous sommes au tribunal de commerce, pas au pénal. C'est une somme due au plaignant, ici Bricorama, pas une amende due à l'état. Une sorte de "dommage coercitif", c'est sans doute pour ça que la somme n'a pas un ou deux zéros de plus, ça règlerait la question plus rapidement mais on irait vers l'enrichissement sans cause.
Encore faut-il que le plaignant en réclame l'exécution et j'ai lu que Bricorama hésitait à le faire.
Par contre, si Casto joue le "même pas mal" et que Bricorama retourne se plaindre, l'astreinte va probablement augmenter.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Le 10/10/2013 09:45, Tardigradus a écrit :
Arthur <arthur@yopmail.com> wrote:
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été
condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une
amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché.
C'est une punition.
Non, nous sommes au tribunal de commerce, pas au pénal. C'est une somme
due au plaignant, ici Bricorama, pas une amende due à l'état. Une sorte
de "dommage coercitif", c'est sans doute pour ça que la somme n'a pas un
ou deux zéros de plus, ça règlerait la question plus rapidement mais on
irait vers l'enrichissement sans cause.
Encore faut-il que le plaignant en réclame l'exécution et j'ai lu que
Bricorama hésitait à le faire.
Par contre, si Casto joue le "même pas mal" et que Bricorama retourne se
plaindre, l'astreinte va probablement augmenter.
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché. C'est une punition.
Non, nous sommes au tribunal de commerce, pas au pénal. C'est une somme due au plaignant, ici Bricorama, pas une amende due à l'état. Une sorte de "dommage coercitif", c'est sans doute pour ça que la somme n'a pas un ou deux zéros de plus, ça règlerait la question plus rapidement mais on irait vers l'enrichissement sans cause.
Encore faut-il que le plaignant en réclame l'exécution et j'ai lu que Bricorama hésitait à le faire.
Par contre, si Casto joue le "même pas mal" et que Bricorama retourne se plaindre, l'astreinte va probablement augmenter.
-- http://rouillard.org/bd.jpg
Arthur
Le 10/10/2013 10:11, jr a écrit :
Le 10/10/2013 09:45, Tardigradus a écrit :
Arthur wrote:
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché. C'est une punition.
Non, nous sommes au tribunal de commerce, pas au pénal. C'est une somme due au plaignant, ici Bricorama, pas une amende due à l'état. Une sorte de "dommage coercitif", c'est sans doute pour ça que la somme n'a pas un ou deux zéros de plus, ça règlerait la question plus rapidement mais on irait vers l'enrichissement sans cause.
Encore faut-il que le plaignant en réclame l'exécution et j'ai lu que Bricorama hésitait à le faire.
Par contre, si Casto joue le "même pas mal" et que Bricorama retourne se plaindre, l'astreinte va probablement augmenter.
J'approuve et plussoie cette réponse.
-- Arthur
Le 10/10/2013 10:11, jr a écrit :
Le 10/10/2013 09:45, Tardigradus a écrit :
Arthur <arthur@yopmail.com> wrote:
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été
condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une
amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché.
C'est une punition.
Non, nous sommes au tribunal de commerce, pas au pénal. C'est une somme
due au plaignant, ici Bricorama, pas une amende due à l'état. Une sorte
de "dommage coercitif", c'est sans doute pour ça que la somme n'a pas un
ou deux zéros de plus, ça règlerait la question plus rapidement mais on
irait vers l'enrichissement sans cause.
Encore faut-il que le plaignant en réclame l'exécution et j'ai lu que
Bricorama hésitait à le faire.
Par contre, si Casto joue le "même pas mal" et que Bricorama retourne se
plaindre, l'astreinte va probablement augmenter.
Tant que les magasins paient les amendes auxquelles il ont été condamnés, ils respectent la décision de justice.
NOn : la décision, c'est l'interdiction d'ouvrir. Le fait de payer une amende n'entraîne pas l'acquisition d'un droit. Ce n'est pas un marché. C'est une punition.
Non, nous sommes au tribunal de commerce, pas au pénal. C'est une somme due au plaignant, ici Bricorama, pas une amende due à l'état. Une sorte de "dommage coercitif", c'est sans doute pour ça que la somme n'a pas un ou deux zéros de plus, ça règlerait la question plus rapidement mais on irait vers l'enrichissement sans cause.
Encore faut-il que le plaignant en réclame l'exécution et j'ai lu que Bricorama hésitait à le faire.
Par contre, si Casto joue le "même pas mal" et que Bricorama retourne se plaindre, l'astreinte va probablement augmenter.