> En fait, c'est plutôt à sens unique ;-) Y ne a une qui se laisse tripoter sans retenue...
Ouais, ben il serait temps que le Romain lui écarte les fesses, à la grosse cochonne, et qu'il se la -palmier*- à donf !!!
PS: "palmier" peut être remplacé par "tapis" ou "piscine"
la lurkeuse guitariste
Maitre Po a écrit :
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin dans le gynécée.
exellent ! Mais qui était donc le deuxieme couple ?
Maitre Po a écrit :
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a
fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des
limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins
rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons
regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin
dans le gynécée.
exellent !
Mais qui était donc le deuxieme couple ?
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin dans le gynécée.
exellent ! Mais qui était donc le deuxieme couple ?
Maitre Po
"la lurkeuse guitariste" a écrit
Tu me fais un petit resumé !
Bon. La salle se passe visiblement dans la pénombre. Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles, profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte, les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme avéré.
Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se font lointains, le silence, oppressant...
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin dans le gynécée.
Maître Po
"la lurkeuse guitariste" <novalid@club-internet.fr> a écrit
Tu me fais un petit resumé !
Bon.
La salle se passe visiblement dans la pénombre.
Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante
semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante
empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles,
profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte,
les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement
assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique
éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme
avéré.
Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de
l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se
font lointains, le silence, oppressant...
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a
fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des
limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins
rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons
regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin
dans le gynécée.
Bon. La salle se passe visiblement dans la pénombre. Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles, profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte, les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme avéré.
Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se font lointains, le silence, oppressant...
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin dans le gynécée.
Maître Po
Olivier
Au sommet de son art, Maitre Po a pondu :
Bon. La salle se passe visiblement dans la pénombre. Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles, profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte, les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme avéré.
Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se font lointains, le silence, oppressant...
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin dans le gynécée.
CONTINUE !
Au sommet de son art, Maitre Po <masterpo@wanadoodoo.fr> a pondu :
Bon.
La salle se passe visiblement dans la pénombre.
Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante
semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante
empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles,
profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte,
les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement
assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique
éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme
avéré.
Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de
l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se
font lointains, le silence, oppressant...
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a
fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des
limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins
rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons
regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin
dans le gynécée.
Bon. La salle se passe visiblement dans la pénombre. Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles, profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte, les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme avéré.
Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se font lointains, le silence, oppressant...
Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin dans le gynécée.