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[SA3]La jolie Elodie :-)

19 réponses
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NewsUser
Elle trop de la balle, cette meuf!!!
Pourvu qu'elle aille en finale!

Alerte rouge:
Romain et Sophia sont entrain de se toucher!

10 réponses

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la lurkeuse guitariste
Maitre Po a écrit :

En fait, c'est plutôt à sens unique ;-)
Y ne a une qui se laisse tripoter sans retenue...



Dans quelle piece ? :)

l'Hertzienne
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la lurkeuse guitariste
Maitre Po a écrit :

> l'Hertzienne

Mes condoléances.



Tu me fais un petit resumé ! (pendant que je cherche le nom de cette
ac*"£$trice...
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Maitre Po
"la lurkeuse guitariste" a écrit
> Y ne a une qui se laisse tripoter sans retenue...
Dans quelle piece ? :)



Dans la chambre des filles...
... qui ressemble à un gigantesque lupanar !
Ça se touche de partout !
Quelle honte !

Alerte rose ! Alerte rose !

l'Hertzienne



Mes condoléances.


Maître Po
(scotché)
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la lurkeuse guitariste
b0bba a écrit :

> Dans quelle piece ? :)

Dans la cuisine, avec le chandelier.



C'est à ce que j'ai pensé en l'écrivant... tu es né dans les années 60 ?
ou 70 ?
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b0bba
Ici, <news:,
la lurkeuse guitariste a tapoté :
C'est à ce que j'ai pensé en l'écrivant... tu es né dans les années
60 ? ou 70 ?



Entre 1970 et 1980. Mais je n'ai tué personne je le jure ! :)

--
b0bba, inn0cent
Pour le courriel, enlevez ce que bon vous semble.
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Olivier
Au sommet de son art, NewsUser a pondu :

Ouais, ben il serait temps que le Romain lui écarte les fesses, à la grosse
cochonne, et qu'il se la -palmier*- à donf !!!



Mais quelle vulgarité...

(il peut simplement lui montrer son -palmier- et lui labourer le -tapis-)
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NewsUser
> En fait, c'est plutôt à sens unique ;-)
Y ne a une qui se laisse tripoter sans retenue...



Ouais, ben il serait temps que le Romain lui écarte les fesses, à la grosse
cochonne, et qu'il se la -palmier*- à donf !!!

PS: "palmier" peut être remplacé par "tapis" ou "piscine"
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la lurkeuse guitariste
Maitre Po a écrit :

Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a
fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des
limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins
rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons
regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin
dans le gynécée.



exellent !
Mais qui était donc le deuxieme couple ?
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Maitre Po
"la lurkeuse guitariste" a écrit
Tu me fais un petit resumé !



Bon.
La salle se passe visiblement dans la pénombre.
Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante
semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante
empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles,
profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte,
les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement
assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique
éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme
avéré.

Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de
l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se
font lointains, le silence, oppressant...

Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a
fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des
limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins
rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons
regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin
dans le gynécée.


Maître Po
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Olivier
Au sommet de son art, Maitre Po a pondu :

Bon.
La salle se passe visiblement dans la pénombre.
Un odeur de stupre règne dans la pièce, l'atmosphère moite et prenante
semble ralentir les mouvements des protagonistes dont l'obscurité régnante
empêche de distinguer les traits des visages tourmentés. Deux jeunes filles,
profitant de cette opacité complice, massent avec une jouissance non feinte,
les corps musculeux de deux adolescents à moitié nus. Elles sont lascivement
assisses sur eux, et il n'est pas difficile de constater que leur technique
éprouvée est le fruit d'un long apprentissage et d'un professionnalisme
avéré.

Mais soudain, la lumière jaillit, aveuglante. Et le magnifique tapis de
l'escalier apparaît dans toute sa clarté, crue, insupportable. Les bruits se
font lointains, le silence, oppressant...

Puis, à nouveau, nous rejoignons le lieu de ces ébats orgiaques. L'ardeur a
fait place à un sorte de renoncement mutuel, où chacun, conscient des
limites qu'il s'était fixé, tient à les respecter. Les voix sont moins
rauques, les souffles plus longs, les baisers moins appuyés... les garçons
regagnent leur appartement, épuisés, en nage... la paix est revenue enfin
dans le gynécée.



CONTINUE !
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