La solution est simple, mais suppose une phase judiciaire appuyée:
Votre association, titulaire du nom de domaine en .fr, et d'un nom,
devra réclamer la fermeture du site serie4.com, en référé.
La solution est simple, mais suppose une phase judiciaire appuyée:
Votre association, titulaire du nom de domaine en .fr, et d'un nom,
devra réclamer la fermeture du site serie4.com, en référé.
La solution est simple, mais suppose une phase judiciaire appuyée:
Votre association, titulaire du nom de domaine en .fr, et d'un nom,
devra réclamer la fermeture du site serie4.com, en référé.
C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répètera
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible)
C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répètera
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible)
C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répètera
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible)
Comment puis je me dépatouiller de ce problème juridiquement ?
quelqu'un a t il une expérience ?
Comment puis je me dépatouiller de ce problème juridiquement ?
quelqu'un a t il une expérience ?
Comment puis je me dépatouiller de ce problème juridiquement ?
quelqu'un a t il une expérience ?
Le Tue, 15 May 2007 17:50:10 +0200, SB - AXIGES a écrit :C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répètera
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible)
On pourrait allonger cette liste autant qu'on veut (.INFO par exemple,
et puis maintenant .MOBI, et puis aussi .ASIA,
et pourquoi pas les ccTLDs où l'on a une présence, etc.),
donc au bout d'un moment si la seule solution c'est de réserver son nom dans
toutes les extensions qui existent, on sait qui va gagner de l'argent (les
registres et les bureaux d'enregistrement).
D'autre part, si on a créé de multiples TLDs c'est pour avoir une
certaine différentiation, car on leur a donné un « sens » différent.
Si au final la même entité a son nom dans tous les TLDs, il n'y a plus
aucune différentiation entre eux, et donc plus aucun intérêt d'avoir
plusieurs TLDs qui permettaient justement la cohabitation paisible (par
exemple la société TOTO sur toto.com et l'association TOTO sur toto.org)
On en vient donc au final à se demander si créer de nouveaux TLDs n'a
pas uniquement pour but, à l'opposé de l'objectif affiché de
différentiation et de création de nouvelles disponibilités, notamment
sur un .COM qu'on dit surchargé, de faire payer les possesseurs actuels
de noms de domaine qui y tiennent (à leur nom).
Le Tue, 15 May 2007 17:50:10 +0200, SB - AXIGES a écrit :
C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répètera
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible)
On pourrait allonger cette liste autant qu'on veut (.INFO par exemple,
et puis maintenant .MOBI, et puis aussi .ASIA,
et pourquoi pas les ccTLDs où l'on a une présence, etc.),
donc au bout d'un moment si la seule solution c'est de réserver son nom dans
toutes les extensions qui existent, on sait qui va gagner de l'argent (les
registres et les bureaux d'enregistrement).
D'autre part, si on a créé de multiples TLDs c'est pour avoir une
certaine différentiation, car on leur a donné un « sens » différent.
Si au final la même entité a son nom dans tous les TLDs, il n'y a plus
aucune différentiation entre eux, et donc plus aucun intérêt d'avoir
plusieurs TLDs qui permettaient justement la cohabitation paisible (par
exemple la société TOTO sur toto.com et l'association TOTO sur toto.org)
On en vient donc au final à se demander si créer de nouveaux TLDs n'a
pas uniquement pour but, à l'opposé de l'objectif affiché de
différentiation et de création de nouvelles disponibilités, notamment
sur un .COM qu'on dit surchargé, de faire payer les possesseurs actuels
de noms de domaine qui y tiennent (à leur nom).
Le Tue, 15 May 2007 17:50:10 +0200, SB - AXIGES a écrit :C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répètera
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible)
On pourrait allonger cette liste autant qu'on veut (.INFO par exemple,
et puis maintenant .MOBI, et puis aussi .ASIA,
et pourquoi pas les ccTLDs où l'on a une présence, etc.),
donc au bout d'un moment si la seule solution c'est de réserver son nom dans
toutes les extensions qui existent, on sait qui va gagner de l'argent (les
registres et les bureaux d'enregistrement).
D'autre part, si on a créé de multiples TLDs c'est pour avoir une
certaine différentiation, car on leur a donné un « sens » différent.
Si au final la même entité a son nom dans tous les TLDs, il n'y a plus
aucune différentiation entre eux, et donc plus aucun intérêt d'avoir
plusieurs TLDs qui permettaient justement la cohabitation paisible (par
exemple la société TOTO sur toto.com et l'association TOTO sur toto.org)
On en vient donc au final à se demander si créer de nouveaux TLDs n'a
pas uniquement pour but, à l'opposé de l'objectif affiché de
différentiation et de création de nouvelles disponibilités, notamment
sur un .COM qu'on dit surchargé, de faire payer les possesseurs actuels
de noms de domaine qui y tiennent (à leur nom).
donc au bout d'un moment si la seule solution c'est de réserver son nom dans
toutes les extensions qui existent, on sait qui va gagner de l'argent (les
registres et les bureaux d'enregistrement).
Et on sait qui ne se fera pas cybersquatter, également ;-)
D'autre part, si on a créé de multiples TLDs c'est pour avoir une
certaine différentiation, car on leur a donné un « sens »
différent. Si au final la même entité a son nom dans tous les TLDs,
il n'y a plus aucune différentiation entre eux, et donc plus aucun
intérêt d'avoir plusieurs TLDs qui permettaient justement la
cohabitation paisible (par exemple la société TOTO sur toto.com et
l'association TOTO sur toto.org)
C'est bien pourquoi je parlais de faire pointer tous les TLD vers celui
qui est le plus signifiant par rapport à l'activité et au statut de
"l'entreprise".
On en vient donc au final à se demander si créer de nouveaux TLDs n'a
pas uniquement pour but, à l'opposé de l'objectif affiché de
différentiation et de création de nouvelles disponibilités,
notamment sur un .COM qu'on dit surchargé, de faire payer les
possesseurs actuels de noms de domaine qui y tiennent (à leur nom).
C'est certain que c'est le but officieux. Ceci dit, encore une fois,
quand on voit le coût relativement modeste de ces TLDs, une entreprise
peut je pense investir dans ce "mal nécessaire" (même si, j'en
conviens, il est dommage que les extensions soient dénaturées), non ?
donc au bout d'un moment si la seule solution c'est de réserver son nom dans
toutes les extensions qui existent, on sait qui va gagner de l'argent (les
registres et les bureaux d'enregistrement).
Et on sait qui ne se fera pas cybersquatter, également ;-)
D'autre part, si on a créé de multiples TLDs c'est pour avoir une
certaine différentiation, car on leur a donné un « sens »
différent. Si au final la même entité a son nom dans tous les TLDs,
il n'y a plus aucune différentiation entre eux, et donc plus aucun
intérêt d'avoir plusieurs TLDs qui permettaient justement la
cohabitation paisible (par exemple la société TOTO sur toto.com et
l'association TOTO sur toto.org)
C'est bien pourquoi je parlais de faire pointer tous les TLD vers celui
qui est le plus signifiant par rapport à l'activité et au statut de
"l'entreprise".
On en vient donc au final à se demander si créer de nouveaux TLDs n'a
pas uniquement pour but, à l'opposé de l'objectif affiché de
différentiation et de création de nouvelles disponibilités,
notamment sur un .COM qu'on dit surchargé, de faire payer les
possesseurs actuels de noms de domaine qui y tiennent (à leur nom).
C'est certain que c'est le but officieux. Ceci dit, encore une fois,
quand on voit le coût relativement modeste de ces TLDs, une entreprise
peut je pense investir dans ce "mal nécessaire" (même si, j'en
conviens, il est dommage que les extensions soient dénaturées), non ?
donc au bout d'un moment si la seule solution c'est de réserver son nom dans
toutes les extensions qui existent, on sait qui va gagner de l'argent (les
registres et les bureaux d'enregistrement).
Et on sait qui ne se fera pas cybersquatter, également ;-)
D'autre part, si on a créé de multiples TLDs c'est pour avoir une
certaine différentiation, car on leur a donné un « sens »
différent. Si au final la même entité a son nom dans tous les TLDs,
il n'y a plus aucune différentiation entre eux, et donc plus aucun
intérêt d'avoir plusieurs TLDs qui permettaient justement la
cohabitation paisible (par exemple la société TOTO sur toto.com et
l'association TOTO sur toto.org)
C'est bien pourquoi je parlais de faire pointer tous les TLD vers celui
qui est le plus signifiant par rapport à l'activité et au statut de
"l'entreprise".
On en vient donc au final à se demander si créer de nouveaux TLDs n'a
pas uniquement pour but, à l'opposé de l'objectif affiché de
différentiation et de création de nouvelles disponibilités,
notamment sur un .COM qu'on dit surchargé, de faire payer les
possesseurs actuels de noms de domaine qui y tiennent (à leur nom).
C'est certain que c'est le but officieux. Ceci dit, encore une fois,
quand on voit le coût relativement modeste de ces TLDs, une entreprise
peut je pense investir dans ce "mal nécessaire" (même si, j'en
conviens, il est dommage que les extensions soient dénaturées), non ?
C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répèter a
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible) devient vraiment une négligence
impardonnable (quitte à tout faire pointer sur le même nom si l'on veut
respecter une certaine cohérence entre le fond et la forme - le .org
pour une asso' par exemple).
Cdlt,
SB
C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répèter a
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible) devient vraiment une négligence
impardonnable (quitte à tout faire pointer sur le même nom si l'on veut
respecter une certaine cohérence entre le fond et la forme - le .org
pour une asso' par exemple).
Cdlt,
SB
C'est hors-sujet mais vu le prix du .com et consorts, on ne répèter a
jamais assez que ne pas réserver *aussi* les extensions principales
(com, net, biz, org, eu si possible) devient vraiment une négligence
impardonnable (quitte à tout faire pointer sur le même nom si l'on veut
respecter une certaine cohérence entre le fond et la forme - le .org
pour une asso' par exemple).
Cdlt,
SB
Le Tue, 15 May 2007 03:11:13 -0700, dunkane a écrit :Comment puis je me dépatouiller de ce problème juridiquement ?
quelqu'un a t il une expérience ?
Dans le monde des noms de domaine il n'y a que 3 solutions possibles,
outre laisser tomber (qui peut se traduire parfois par changer de nom d e
domaine) :
- s'entendre avec l'autre partie à l'amiable
- passer devant les tribunaux (avocat nécessaire donc)
- utiliser les procédures spécifiques, comme les UDRPs (avocat non
obligatoire).
Dans cette dernière il faut prouver 3 choses pour gagner :
- que le nom de domaine litigieux est identique ou similaire (terme à
définition variable) à un nom sur lequel vous avez des droits,
- que le possesseur du nom litigieux n'a aucun droit ou légitimité à
posséder le domaine en question,
- et qu'il a déposé et utilisé le nom de mauvaise foi (terme à
définition variable aussi). On trouvera des exemples de démonstrati on de
ce dernier point, en anglais, sur
http://www.icann.org/dndr/udrp/policy.htm#4b
Cf aussi le cas 9 de
http://www.journaldunet.com/rubrique/gouvernance/gouvernance021217.shtm l
qui semble correspondre à votre cas particulier.
Vous pouvez aussi vous retourner vers le prestataire qui gère votre
propre nom de domaine, car il doit pouvoir vous conseiller.
Le Tue, 15 May 2007 03:11:13 -0700, dunkane a écrit :
Comment puis je me dépatouiller de ce problème juridiquement ?
quelqu'un a t il une expérience ?
Dans le monde des noms de domaine il n'y a que 3 solutions possibles,
outre laisser tomber (qui peut se traduire parfois par changer de nom d e
domaine) :
- s'entendre avec l'autre partie à l'amiable
- passer devant les tribunaux (avocat nécessaire donc)
- utiliser les procédures spécifiques, comme les UDRPs (avocat non
obligatoire).
Dans cette dernière il faut prouver 3 choses pour gagner :
- que le nom de domaine litigieux est identique ou similaire (terme à
définition variable) à un nom sur lequel vous avez des droits,
- que le possesseur du nom litigieux n'a aucun droit ou légitimité à
posséder le domaine en question,
- et qu'il a déposé et utilisé le nom de mauvaise foi (terme à
définition variable aussi). On trouvera des exemples de démonstrati on de
ce dernier point, en anglais, sur
http://www.icann.org/dndr/udrp/policy.htm#4b
Cf aussi le cas 9 de
http://www.journaldunet.com/rubrique/gouvernance/gouvernance021217.shtm l
qui semble correspondre à votre cas particulier.
Vous pouvez aussi vous retourner vers le prestataire qui gère votre
propre nom de domaine, car il doit pouvoir vous conseiller.
Le Tue, 15 May 2007 03:11:13 -0700, dunkane a écrit :Comment puis je me dépatouiller de ce problème juridiquement ?
quelqu'un a t il une expérience ?
Dans le monde des noms de domaine il n'y a que 3 solutions possibles,
outre laisser tomber (qui peut se traduire parfois par changer de nom d e
domaine) :
- s'entendre avec l'autre partie à l'amiable
- passer devant les tribunaux (avocat nécessaire donc)
- utiliser les procédures spécifiques, comme les UDRPs (avocat non
obligatoire).
Dans cette dernière il faut prouver 3 choses pour gagner :
- que le nom de domaine litigieux est identique ou similaire (terme à
définition variable) à un nom sur lequel vous avez des droits,
- que le possesseur du nom litigieux n'a aucun droit ou légitimité à
posséder le domaine en question,
- et qu'il a déposé et utilisé le nom de mauvaise foi (terme à
définition variable aussi). On trouvera des exemples de démonstrati on de
ce dernier point, en anglais, sur
http://www.icann.org/dndr/udrp/policy.htm#4b
Cf aussi le cas 9 de
http://www.journaldunet.com/rubrique/gouvernance/gouvernance021217.shtm l
qui semble correspondre à votre cas particulier.
Vous pouvez aussi vous retourner vers le prestataire qui gère votre
propre nom de domaine, car il doit pouvoir vous conseiller.