Spiralfrog logo png Après de multiples péripéties et plusieurs retards à l'allumage, SpiralFrog devient aujourd'hui réalité avec l'annonce de son lacement officiel en Amérique du Nord, à savoir aux Etats-Unis et au Canada. La promesse d'un service de téléchargement gratuit financé par la publicité.

Pour ces débuts, l'offre de SpiralFrog est limitée à un peu plus de 800 000 titres musicaux et 3 500 vidéos musicales provenant pour la plupart du catalogue de Vivendi Universal Music. Néanmoins, le site qui propose également du contenu issu de labels indépendants, escompte rapidement porter son offre à plus de 2 millions de titres.

Suite à la consultation d'une minute trente de publicité, étape préalable obligatoire pour le téléchargement gratuit, l'utilisateur pourra envisager le rapatriement du morceau de son choix, encodé au format WMA empreint de DRM. Ce dernier ne pourra ainsi pas être gravé sur CD et si le transfert est autorisé sur une douzaine de baladeurs numériques compatibles (copie autorisée vers deux périphériques différents), l'écoute sur iPod d' Apple est donc à proscrire. Le service requiert en outre que les utilisateurs enregistrés se connectent au moins une fois par mois, faute de quoi la lecture du fichier deviendra impossible.

SpiralFrog, une arme efficace contre le piratage ?