Jack Straw, ministre de la Justice au Royaume-Uni, a très récemment pris contact avec les responsables de la plate-forme sociale qui vient de fêter sa sixième année d'existence et revendique 400 millions de membres.

La discussion a porté sur les profils de certains prisonniers où étaient proférées des menaces à l'encontre des victimes à cause desquelles ils ont fini derrière les barreaux ou de leurs victimes potentielles lorsqu'ils retrouveront la liberté.

Ayant obtenu des dirigeants de Facebook la suppression d'une trentaine de pages appartenant à des prisonniers qualifiés de dangereux, il a indiqué qu'une enquête serait également ouverte.

Si certains des profils retirés étaient maintenus par des proches, d'autres l'étaient en effet par les détenus eux-mêmes à l'aide de téléphones mobiles introduits illégalement dans l'enceinte pénitentiaire.

Source : AFP