L’utilisateur pourra ainsi regarder en streaming ses vidéos favorites gratuitement à partir du vaste catalogue de la Warner. Mais chez le célèbre major on ne touche qu’avec les yeux, si l'internaute veut télécharger sa vidéo préférée il devra en effet payer. Par ailleurs, le site offrira également des séquences inédites et pourrait proposer une version destinée aux plates-formes mobiles.
L'offre légale de vidéos s'intensifie
La Warner annonce que cet accord fera de lui le premier des quatre principaux labels de musique, les trois autres étant Universal, EMI et Sony BMG, à fournir ses archives vidéo en ligne. Cet arrangement permettra également de compenser la chute des ventes de CD qui a débuté en 2000. En effet, les majors du disque cherchent de nouveaux revenus au travers de la publicité sur les sites Internet ou bien encore en autorisant les passages de diverses musiques dans les publicités, les shows télévisés et les jeux vidéo.
Après une nouvelle baisse de 7% des ventes de disque, la compagnie insiste sur le fait que cet accord représente un tournant dans le marketing jusqu’ici traditionnel, cette nouvelle « air » a toujours pour but de promouvoir ses artistes, bien sur, mais aussi de générer des revenus. Voilà une nouveauté qui ne surprendra personne.
