Charade
Simple comme un wiki
Par le biais de l'interface de Google Maps, l'internaute peut naviguer un peu partout sur la planète et découvrir lors de son errance plusieurs zones délimitées par des rectangles de dimensions diverses qui symbolisent sur la carte des lieux, sites, monuments bien précis qui ont été non seulement localisés mais documentés par d'autres. Un clic suffit alors pour visualiser ces annotations (36 langues supportées) avec bien souvent des liens qui pointent vers des articles de Wikipedia mais il est à noter que WikiMapia n'est pas lié à Wikimedia, l'association à but non lucratif qui soutient justement Wikipedia.
Sur le désormais sacro-saint principe du wiki, tout utilisateur peut contribuer à WikiMapia, un enregistrement n'est même pas nécessaire.
Dans WikiMapia, on peut ajouter un peu n'importe quoi à l'instar de son petit chez soi ce qui est tout à fait possible, test à l'appui mais pas la peine de chercher, le wiki-civisme a finalement été le plus fort et cette entrée somme toute un brin mégalo a vite été effacée. Cela pose néanmoins les limites d'un tel projet qui sans réelle mesure de contrôle peut bien vite dériver de son concept originel mais également déboucher sur d'autres initiatives intéressantes via peut-être quelques améliorations.
- Mon premier est défini comme un système de gestion de contenu de site Web qui rend les pages Web librement et également modifiables par tous les visiteurs autorisés. Sa plus digne représentante est sans nul doute la célèbre encyclopédie libre et gratuite que chacun peut améliorer.
- Mon deuxième est un service gratuit de carte géographique et de plan en ligne crée par le leader mondial de la recherche Web.
- Mon tout compte désormais un million d'entrées grâce à la géolocalisation d'une église apostolique située aux USA et plus précisément au Kansas.
Simple comme un wiki
Par le biais de l'interface de Google Maps, l'internaute peut naviguer un peu partout sur la planète et découvrir lors de son errance plusieurs zones délimitées par des rectangles de dimensions diverses qui symbolisent sur la carte des lieux, sites, monuments bien précis qui ont été non seulement localisés mais documentés par d'autres. Un clic suffit alors pour visualiser ces annotations (36 langues supportées) avec bien souvent des liens qui pointent vers des articles de Wikipedia mais il est à noter que WikiMapia n'est pas lié à Wikimedia, l'association à but non lucratif qui soutient justement Wikipedia.
Sur le désormais sacro-saint principe du wiki, tout utilisateur peut contribuer à WikiMapia, un enregistrement n'est même pas nécessaire.
Dans WikiMapia, on peut ajouter un peu n'importe quoi à l'instar de son petit chez soi ce qui est tout à fait possible, test à l'appui mais pas la peine de chercher, le wiki-civisme a finalement été le plus fort et cette entrée somme toute un brin mégalo a vite été effacée. Cela pose néanmoins les limites d'un tel projet qui sans réelle mesure de contrôle peut bien vite dériver de son concept originel mais également déboucher sur d'autres initiatives intéressantes via peut-être quelques améliorations.
