Le cabinet d'études ABI Research livre ses estimations de ventes mondiales de téléphones portables pour le deuxième trimestre 2007 et établit à 263,8 millions le nombre de terminaux écoulés, en augmentation de 13% par rapport à l'année dernière.
La croissance n'est pas jugée fantastique mais permet à tout le monde de s'y retrouver et laisse supposer que le cap du milliard de terminaux vendus sera atteint d'ici la fin de l'année. ABI Research estime que la croissance totale sera d'environ 15%, portant à 1,13 milliard le nombre de téléphones portables écoulés sur l'année.
Plus impressionnante est la progression de Nokia qui atteint 37,3% de parts de marché, selon les chiffres de l'analyste, en hausse de 1.4%. D'autres acteurs du marché ont profité d'une progression, comme LG ( +0,8%) et Sony Ericsson (+0,6%).
Motorola se cherche toujours
Le grand perdant du trimestre est Motorola qui voit ses parts de marchés passer de 17,1% au premier trimestre à 13,1%. Il y a quelques mois encore, la société contrôlait 22,1% du marché. En pleine période de restructuration et de renouvellement de ses gammes, Motorola ne devrait pas revenir rapidement sur le devant de la scène.
En attendant, plusieurs concurrents se sont attaqués aux marchés émergents, profitant du retrait de Motorola pour étendre leur influence hors de leurs marchés traditionnels. L' Asie reste très attractive à ce niveau.
Les Etats-Unis continuent d'échapper au leader mondial Nokia, qui y voit ses ventes refluer. L' iPhone, nouvel entrant sur le marché, ne devrait pas modifier profondément le paysage dans un avenir proche, tandis que Motorola et Research in Motion verrouillent solidement ce secteur géographique.
272 millions pour IDC
Chez les analystes d'IDC, ce sont 272 millions de terminaux qui ont été écoulés au deuxième trimestre, en hausse de 16,5% par rapport à l'année précédente, grâce aux ventes sur les marchés émergents. On est cependant loin des 22% observés en 2006, du fait du ralentissement du taux de pénétration du haut de gamme dans les marchés établis.
IDC constate que Samsung est passé numéro deux mondial devant Motorola pour la première fois depuis presque quatre ans, grâce à des ventes records conjuguées avec la faiblesse de Motorola. Les ventes de l'iPhone n'ont pas encore d'influence sensible sur le marché mais son arrivée en fanfare a modifié la perception des acteurs industriels à propos des relations entre fabricants et opérateurs.
La croissance n'est pas jugée fantastique mais permet à tout le monde de s'y retrouver et laisse supposer que le cap du milliard de terminaux vendus sera atteint d'ici la fin de l'année. ABI Research estime que la croissance totale sera d'environ 15%, portant à 1,13 milliard le nombre de téléphones portables écoulés sur l'année.
Plus impressionnante est la progression de Nokia qui atteint 37,3% de parts de marché, selon les chiffres de l'analyste, en hausse de 1.4%. D'autres acteurs du marché ont profité d'une progression, comme LG ( +0,8%) et Sony Ericsson (+0,6%).
Motorola se cherche toujours
Le grand perdant du trimestre est Motorola qui voit ses parts de marchés passer de 17,1% au premier trimestre à 13,1%. Il y a quelques mois encore, la société contrôlait 22,1% du marché. En pleine période de restructuration et de renouvellement de ses gammes, Motorola ne devrait pas revenir rapidement sur le devant de la scène.
En attendant, plusieurs concurrents se sont attaqués aux marchés émergents, profitant du retrait de Motorola pour étendre leur influence hors de leurs marchés traditionnels. L' Asie reste très attractive à ce niveau.
Les Etats-Unis continuent d'échapper au leader mondial Nokia, qui y voit ses ventes refluer. L' iPhone, nouvel entrant sur le marché, ne devrait pas modifier profondément le paysage dans un avenir proche, tandis que Motorola et Research in Motion verrouillent solidement ce secteur géographique.
272 millions pour IDC
Chez les analystes d'IDC, ce sont 272 millions de terminaux qui ont été écoulés au deuxième trimestre, en hausse de 16,5% par rapport à l'année précédente, grâce aux ventes sur les marchés émergents. On est cependant loin des 22% observés en 2006, du fait du ralentissement du taux de pénétration du haut de gamme dans les marchés établis.
IDC constate que Samsung est passé numéro deux mondial devant Motorola pour la première fois depuis presque quatre ans, grâce à des ventes records conjuguées avec la faiblesse de Motorola. Les ventes de l'iPhone n'ont pas encore d'influence sensible sur le marché mais son arrivée en fanfare a modifié la perception des acteurs industriels à propos des relations entre fabricants et opérateurs.