Faisons l'amour par la guerre alors ? Pas vraiment car le message publicitaire est en deux partie, une première avec un gros cœur rouge à destination d'Apple et une deuxième partie où Adobe explique que ce qu'il n'aime par contre pas c'est quand quiconque prive les utilisateurs de la " liberté de choisir ce que vous créez, comment vous le créez et ce vous rencontrez sur le Web ".
Les fondateurs d'Adobe se montrent plus explicites dans une lettre ouverte. Ils écrivent que les " consommateurs devraient pourvoir accéder librement à leurs contenus et applications préférés, quel que soit leur ordinateur, leur navigateur Web ou leur matériel ". Ce à quoi aucune société ne devrait s'opposer, " peu importe sa taille ou sa créativité ".
Adobe met ainsi en avant son ouverture avec la publication des spécifications pour Flash : " quiconque peut créer son propre lecteur Flash ". Une approche opposée à celle d'Apple selon Adobe qui a récemment laissé tombé la technologie Flash sur iPhone OS pour se concentrer sur Android.
Il s'agit d'une réponse au PDG d'Apple, Steve Jobs, qui a dit tout le bien qu'il pense de la technologie Flash et parle lui aussi d'ouverture avec HTML5.