Selon les laboratoires de recherche de Panda Security, les adwares ont eu le vent en poupe au troisième trimestre 2008. Représentant 31,05 % de l'ensemble des nouveaux malwares apparus entre juillet et septembre 2008, ils ne détrônent pas les inévitables chevaux de Troie (60 %) mais se montrent plus efficaces que ces derniers en étant à l'origine du plus grand nombre d'infections : 37,49 % des infections enregistrées contre 28,7 % pour les troyens.
Cette hausse des adwares est pour PandaLabs imputable à l'augmentation du nombre de solutions antivirus qui sont bien évidemment de fausses solutions dont l'unique but est de leurrer l'utilisateur crédule pour finalement infecter sa machine et de fil en aiguille, tenter de lui dérober quelques deniers.
Un schéma de plus en plus classique résumé par PandaLabs : " Une fois exécutés, ces faux antivirus simulent une analyse de l'ordinateur qui aboutit inévitablement à la détection d'infections de virus purement imaginaires. Le programme affirme alors que pour désinfecter l'ordinateur, les utilisateurs doivent acheter la version payante de l'antivirus. Les utilisateurs victimes de cette ruse paient pour l'élimination de malwares qui n'ont jamais été présents sur leur PC ".
Cette ruse de cybercriminels fait actuellement l'objet d'une véritable chasse de la part de Microsoft qui a décidé de peser de tout son poids aux Etats-Unis pour traîner devant les tribunaux les coupables de tels actes, aimant à faire craindre le pire sur son système Windows. Récemment, Sophos a également mis à jour la promotion d'un faux antivirus par l'intermédiaire d'un lien commercial publié en très bonne place sur Google.
Cette hausse des adwares est pour PandaLabs imputable à l'augmentation du nombre de solutions antivirus qui sont bien évidemment de fausses solutions dont l'unique but est de leurrer l'utilisateur crédule pour finalement infecter sa machine et de fil en aiguille, tenter de lui dérober quelques deniers.
Un schéma de plus en plus classique résumé par PandaLabs : " Une fois exécutés, ces faux antivirus simulent une analyse de l'ordinateur qui aboutit inévitablement à la détection d'infections de virus purement imaginaires. Le programme affirme alors que pour désinfecter l'ordinateur, les utilisateurs doivent acheter la version payante de l'antivirus. Les utilisateurs victimes de cette ruse paient pour l'élimination de malwares qui n'ont jamais été présents sur leur PC ".
Cette ruse de cybercriminels fait actuellement l'objet d'une véritable chasse de la part de Microsoft qui a décidé de peser de tout son poids aux Etats-Unis pour traîner devant les tribunaux les coupables de tels actes, aimant à faire craindre le pire sur son système Windows. Récemment, Sophos a également mis à jour la promotion d'un faux antivirus par l'intermédiaire d'un lien commercial publié en très bonne place sur Google.