Des hacktivistes italiens affiliés au mouvement Anonymous ont revendiqué une attaque informatique à l'encontre de divers sites du Vatican, dont le site principal qui est resté indisponible pendant plusieurs heures mercredi.
Une attaque par déni de service distribué qui a été présentée comme une " réponse aux doctrines, liturgies et aux préceptes absurdes et anachroniques que votre organisation a but lucratif propage et répand a travers le monde ".
Une justification parfois obscure avec des références remontant jusqu'au Moyen Âge. Ces Anonymous ont aussi pointé du doigt l'Église pour avoir aidé des criminels de guerre nazis, avoir couvert des actes de harcèlement envers des enfants, d'être rétrograde et s'immiscer dans le politique intérieure italienne.
Ils ont néanmoins pris soin d'indiquer que ce n'était " pas une attaque contre la vraie religion chrétienne et les fidèles du monde entier, mais contre l'Église romaine apostolique corrompue et toutes ses émanations ".
