Le 11 mars AOL présentait des forfaits téléphone et Internet avec un tarif compris entre 17 et 20 €/mois.
Au siège de la maison mère, AOL a signé un accord de partenariat avec Double-clic pour utiliser le logiciel de collecte de données et le PAM (Performics Affiliate Marketing)de celui-ci sur Aol.com, Aol messenger, les sites Mapquest, Moviefone et Cnn.com
AOL précise qu’il utilise déjà plusieurs autres produits de la Société DoubleClick pour gérer ses campagnes d'annonces publicitaires, les mailings et les affiliations avec la société performics qui appartient à DoubleClic.
AOL, l’inventeur du RTC illimité à 99 F, mais limité à une durée de 30 mn (!), a été jugé et condamné le 9 mars 2004 : Toute l’histoire ici et la.
On se souvient qu’il n’y a pas si longtemps on pouvait lire que la Commission des clauses abusives avait rendu public le 31 janvier 2003 sa recommandation relative aux contrats de fourniture d’accès à l’internet. Après plusieurs années de travaux, ce document pointait du doigt 28 types de clauses en recommandant aux acteurs de les faire disparaître des conditions générales d’utilisation.
Malgré cela, AOL est accusé avec d’autres ténors du web (Google , Yahoo, Overture, Time Warner, Netscape Communications, Ask Jeeves, Looksmart, Findwhat et BuenaVista Internet Group) d’avoir pratiqué une entente illicite sur le prix des publicités rémunérées au clic, de la même manière que l’entente des opérateurs téléphonique sur le prix de communications locales qui avait fait grand bruit.
Au siège de la maison mère, AOL a signé un accord de partenariat avec Double-clic pour utiliser le logiciel de collecte de données et le PAM (Performics Affiliate Marketing)de celui-ci sur Aol.com, Aol messenger, les sites Mapquest, Moviefone et Cnn.com
AOL précise qu’il utilise déjà plusieurs autres produits de la Société DoubleClick pour gérer ses campagnes d'annonces publicitaires, les mailings et les affiliations avec la société performics qui appartient à DoubleClic.
AOL, l’inventeur du RTC illimité à 99 F, mais limité à une durée de 30 mn (!), a été jugé et condamné le 9 mars 2004 : Toute l’histoire ici et la.
On se souvient qu’il n’y a pas si longtemps on pouvait lire que la Commission des clauses abusives avait rendu public le 31 janvier 2003 sa recommandation relative aux contrats de fourniture d’accès à l’internet. Après plusieurs années de travaux, ce document pointait du doigt 28 types de clauses en recommandant aux acteurs de les faire disparaître des conditions générales d’utilisation.
Malgré cela, AOL est accusé avec d’autres ténors du web (Google , Yahoo, Overture, Time Warner, Netscape Communications, Ask Jeeves, Looksmart, Findwhat et BuenaVista Internet Group) d’avoir pratiqué une entente illicite sur le prix des publicités rémunérées au clic, de la même manière que l’entente des opérateurs téléphonique sur le prix de communications locales qui avait fait grand bruit.
AOL qui compte se relancer (après avoir supprimé une centaine
de postes = 20% et 34% des effectifs du siège de Neuilly-sur-Seine) dans les
services VoIp et téléphonie devrait revoir sa politique pour plaire à un large
public friand de stabilité, de protection du droit du consommateur et des
bonnes mœurs.
PS : Même mon facteur a failli porter plainte contre AOL, tellement il
en avait marre de distribuer des CD AOL qui lui remplissaient la
sacoche. AOL se doit de se refaire une image publique pour faire oublier le slogan AOL (Arnaque on Line selon certains...)