La fibre optique sera le prochain grand marché du haut débit en France. Quelques acteurs ont déjà tiré les plans de leur futurs réseaux et prévu les financements nécessaires. Pour suivre ce déploiement, l'ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) compte bien jouer son rôle et nomme un " Monsieur fibre ", un chef de projet très haut débit chargé de coordonner l'ensemble de ce marché. Pour ce faire, deux consultations vont être lancées avant l'été auprès des acteurs du marché des télécoms.
Un partage équitable sur le marché de la fibre
La première consultation portera sur le déploiement des fourreaux, ces infrastructures permettant le passage des fibres optiques. Surtout, l'ARCEP veillera à ce que le principal opérateur, France Telecom permette la location de son réseau à d'autres opérateurs dans des conditions économiques acceptables.
La seconde consultation veillera à ce que les terminaisons finales jusqu'à l'utilisateur puissent être mutualisées entre opérateurs, toujours dans des "conditions économiques raisonnables". D'ailleurs, avant la fin de ce mois de juin, l'ARCEP demande aux futurs opérateurs de lui fournir les conditions techniques et tarifaires à l'accès à ces terminaisons finales. Avant l'automne, un cadre définira les caractéristiques des conventions pouvant être passées entre opérateurs.
Comme on le voit, le gendarme des télécoms souhaite éviter au possible que des situations de monopoles puissent s'établir, garantissant ainsi une pluralité dans les contenus proposés aux futurs utilisateurs de la fibre optique.
Un partage équitable sur le marché de la fibre
La première consultation portera sur le déploiement des fourreaux, ces infrastructures permettant le passage des fibres optiques. Surtout, l'ARCEP veillera à ce que le principal opérateur, France Telecom permette la location de son réseau à d'autres opérateurs dans des conditions économiques acceptables.
La seconde consultation veillera à ce que les terminaisons finales jusqu'à l'utilisateur puissent être mutualisées entre opérateurs, toujours dans des "conditions économiques raisonnables". D'ailleurs, avant la fin de ce mois de juin, l'ARCEP demande aux futurs opérateurs de lui fournir les conditions techniques et tarifaires à l'accès à ces terminaisons finales. Avant l'automne, un cadre définira les caractéristiques des conventions pouvant être passées entre opérateurs.
Comme on le voit, le gendarme des télécoms souhaite éviter au possible que des situations de monopoles puissent s'établir, garantissant ainsi une pluralité dans les contenus proposés aux futurs utilisateurs de la fibre optique.
Lire le communiqué de l'ARCEP