Le fichier vidéo aurait été pris à partir d'un téléphone portable dans l'enceinte de la salle de cinéma et ensuite diffusé sur Internet. L'AFACT ( Australian Federation Against Copyright Theft ) a déclaré avoir arrêté un jeune homme de 21 ans originaire de Sydney, accusé d'avoir capté et mis en ligne sans autorisation le film The Simpsons. Il risque jusqu'à cinq ans de prison.
Une coopération internationale entre la police fédérale australienne, l'AFACT et les studios de cinéma de la 20th Century Fox aura tout de même été nécessaire pour réussir à supprimer le film interdit dans les 72 heures suivant sa mise en ligne. Un laps de temps qui aura suffit à un site Web états-unien pour le diffuser. Il a été ainsi téléchargé plus de 3 000 fois sur ce portail illégal, indique Reuters.
L'AFACT a également tracé le nombre de téléchargements sur les réseaux pair-à-pair ( peer-to-peer, échange de fichiers ) qui a atteint le nombre de 110 000. Une version sous-titrée en français a même été trouvée par les enquêteurs. Des copies pirates ont enfin été trouvées en Chine mais il n'est pas encore clairement défini si celles-ci viennent de la version retrouvée en Australie.
Adrianne Pecotic, directrice exécutive de l'AFACT, a déclaré que la diffusion de ces copies illégales sur Internet ressemblaient à un " feu sauvage ", difficile à maîtriser.
Une coopération internationale entre la police fédérale australienne, l'AFACT et les studios de cinéma de la 20th Century Fox aura tout de même été nécessaire pour réussir à supprimer le film interdit dans les 72 heures suivant sa mise en ligne. Un laps de temps qui aura suffit à un site Web états-unien pour le diffuser. Il a été ainsi téléchargé plus de 3 000 fois sur ce portail illégal, indique Reuters.
L'AFACT a également tracé le nombre de téléchargements sur les réseaux pair-à-pair ( peer-to-peer, échange de fichiers ) qui a atteint le nombre de 110 000. Une version sous-titrée en français a même été trouvée par les enquêteurs. Des copies pirates ont enfin été trouvées en Chine mais il n'est pas encore clairement défini si celles-ci viennent de la version retrouvée en Australie.
Adrianne Pecotic, directrice exécutive de l'AFACT, a déclaré que la diffusion de ces copies illégales sur Internet ressemblaient à un " feu sauvage ", difficile à maîtriser.