Avec cette couche de sécurité supplémentaire qui créé une connexion chiffrée et assure l'intégrité des données transmises, un effet secondaire est que les éditeurs de sites Web pourront toujours savoir que leurs visiteurs viennent de Bing mais ils seront dans le noir quant aux mots clés utilisés.
L'annonce de Microsoft tombe après celle de la fondation Wikimédia mais cela fait déjà un bon moment que son concurrent Google - et d'autres - est passé en mode HTTPS par défaut.