Comme son nom l’indique, Bionic Commando Rearmed s’inspire directement du jeu original sorti sur NES il y a tout juste vingt ans. Il arbore un moteur graphiquement complètement nouveau et fait part d’un univers artistique diablement efficace. Ce dernier sied aux consoles next-gen, sans pour autant dénaturer l’esprit du titre.
Les interactions ont par exemple été démultipliées. Le joueur peut se servir du bras bionique de Nathan Spencer pour jeter des objets sur les ennemis ou pire encore pour les jeter tel un pantin. L’ensemble invoque aussi des sortes de challenges basés sur l’agilité et le temps tout comme des mini-jeux présents lors des phases de piratages.
A deux c’est mieux
En cas de réussite, des bonus de santé nous sont logiquement conférés. Le mode coopératif saura quant à lui redonner un grand intérêt au jeu. Il sait s’adapter au joueur supplémentaire et prendre des malicieuses décisions, loin de faciliter notre vie. Les ennemis tenteront diverses stratégies pour attaquer les deux héros et non un seul.
Les thèmes sonores ont eux subi une sympathique remise à niveau et font part d’une excellente utilisation. Majoritaires, les synthétiseurs électroniques du compositeur se mêlent parfois à des instruments acoustiques. Dans l’ensemble, Simon Viklund parvient agilement à maintenir un équilibre entre les nouvelles et anciennes sonorités.
Les interactions ont par exemple été démultipliées. Le joueur peut se servir du bras bionique de Nathan Spencer pour jeter des objets sur les ennemis ou pire encore pour les jeter tel un pantin. L’ensemble invoque aussi des sortes de challenges basés sur l’agilité et le temps tout comme des mini-jeux présents lors des phases de piratages.
A deux c’est mieux
En cas de réussite, des bonus de santé nous sont logiquement conférés. Le mode coopératif saura quant à lui redonner un grand intérêt au jeu. Il sait s’adapter au joueur supplémentaire et prendre des malicieuses décisions, loin de faciliter notre vie. Les ennemis tenteront diverses stratégies pour attaquer les deux héros et non un seul.
Les thèmes sonores ont eux subi une sympathique remise à niveau et font part d’une excellente utilisation. Majoritaires, les synthétiseurs électroniques du compositeur se mêlent parfois à des instruments acoustiques. Dans l’ensemble, Simon Viklund parvient agilement à maintenir un équilibre entre les nouvelles et anciennes sonorités.