Particulièrement récente au sein du marché vidéoludique, la société Brash Entertainment, spécialisée dans les adaptations de films d'animation, n'a jamais brillé par ses productions. Pour s'en convaincre, il suffit de se pencher sur notre test d'Alvin et les Chipmunks. Toujours est-il que l'éditeur a été contraint de fermer ses portes suite au licenciement de pas moins de vingt collaborateurs en début de mois.
Deux développeurs indépendants, 7 Studios et Zootfly, ont entamé des poursuites contre Brash Entertainment afin d'obtenir des indemnisations concernant leurs travaux respectifs. L'éditeur étant à court de moyens suite au retrait de ses investisseurs, les pertes risquent d'être particulièrement lourdes.
Le couteau sous la gorge
7 Studios, basé à Los Angeles, affirme que Brash lui doit pas moins de 468.000 $ (371.310 €) pour son travail sur 9, l'adaptation vidéoludique du prochain film d'animation de Focus Pictures produit par Tim Burton, ainsi que 113.000 $ (89.620 €) pour la compilation Six Flags Fun Park sur Wii et DS. A ce sujet d'ailleurs, le CEO de la compagnie de développement, Lewis Peterson, a déclaré « Honnêtement, je crois qu'il aurait été le meilleur jeu produit par Brash ; comme un croisement entre Animal Crossing et Carnival Games ».
La société Zooftly, quant à elle, affirme que l'éditeur lui doit 748.000 $ (593.732 €) pour son travail sur l'adaptation de Prison Break.
Deux développeurs indépendants, 7 Studios et Zootfly, ont entamé des poursuites contre Brash Entertainment afin d'obtenir des indemnisations concernant leurs travaux respectifs. L'éditeur étant à court de moyens suite au retrait de ses investisseurs, les pertes risquent d'être particulièrement lourdes.
Le couteau sous la gorge
7 Studios, basé à Los Angeles, affirme que Brash lui doit pas moins de 468.000 $ (371.310 €) pour son travail sur 9, l'adaptation vidéoludique du prochain film d'animation de Focus Pictures produit par Tim Burton, ainsi que 113.000 $ (89.620 €) pour la compilation Six Flags Fun Park sur Wii et DS. A ce sujet d'ailleurs, le CEO de la compagnie de développement, Lewis Peterson, a déclaré « Honnêtement, je crois qu'il aurait été le meilleur jeu produit par Brash ; comme un croisement entre Animal Crossing et Carnival Games ».
La société Zooftly, quant à elle, affirme que l'éditeur lui doit 748.000 $ (593.732 €) pour son travail sur l'adaptation de Prison Break.
Source :
Variety