Sans perdre la moindre envie, Burn s’illustre une fois de plus sur la scène du jeu vidéo et nous dévoile de balbutiants graphismes qui oscillent entre le bon et le très mauvais. En première ligne, on pourra contester l’usage abusif des technologies de pointe que sont le HDR / Bloom, le Parallax Mapping ou encore les Soft Shadows.
Ces dernières paraissent en effet exploitées à tord et à travers, sans faire preuve d’un quelconque travail de recherche, les développeurs ont voulu impressionner la galerie.
Alors que le joueur croule sous un nombre impressionnant de technologies, il pourra très rapidement distinguer les différences entre un rustique Unreal Tournament 2004 et le jeu présent. C’est d’ailleurs en imitant le jeu référence d’Atari que Burn a voulu s’essayer dans le monde des FPS.
Un retour vers le passé
En effet, Burn nous plongera dans un univers FPS calqué et relativement fermé dans le sens où le joueur se devra uniquement d’anéantir ses différents ennemis à travers treize arènes sans faire la preuve de la moindre réflexion.
Burn s’attache ainsi à venir rejoindre le panthéon de la basicité et de la simplicité. Comme tout bon FPS qui se respecte il emprunte des chemins conceptuels bien communs afin de nous éblouir technologiquement parlant.
Date de sortie prévue pour la fin de l’année 2007 sur PC.