Nous l'évoquions hier, les conditions d'utilisation de Google Chrome ont fait craindre à de nombreux utilisateurs une nouvelle tentative à la Big Brother de la part du leader mondial de la recherche Web et géant de la publicité en ligne. Concédant une certaine maladresse avec des passages ne s'appliquant pas au fureteur, Google avait indiqué que ces conditions d'utilisation seraient rapidement mises à jour avec un effet rétroactif.
C'est désormais chose faite comme on peut le constater dans la version de l'EULA mais pas encore pour les conditions d'utilisation en français, tandis qu'il faudra encore un peu de temps avant que cela devienne effectif pour les versions à télécharger.
Une section 11 épurée
Désormais, la section 11 est considérablement réduite : " You retain copyright and any other rights you already hold in Content which you submit, post or display on or through, the Services ", ou en français : " Vous conservez les droits d'auteur et tous les autres droits en votre possession vis-à-vis du contenu que vous fournissez, publiez ou affichez sur les Services ou par le biais de ces derniers "... et c'est tout. Il n'est ainsi plus fait mention comme précédemment d'appartenance à Google de tout contenu émis via Chrome et de mise à disposition de ce contenu à des partenaires. Sur son blog officiel, Google en profite pour présenter ses excuses.
Tout n'est pas encore rose
Reste à savoir si cette péripétie aura des conséquences sur le choix des internautes, et pénalisera peut-être de façon irrémédiable Chrome, d'autant que comme l'a souligné CNET, la barre d'adresse intelligente du navigateur adopte par défaut (avec le moteur Google configuré) un comportement qui ne plaira pas à certains et sur lequel Google ne reviendra à priori pas. Un responsable de la firme a ainsi confirmé que 2 % des requêtes saisies (sans forcément être validées via l'auto-suggestion) dans cette barre d'adresse seront conservées par Google et ses serveurs en étant associées à l'adresse IP de la machine émettrice.
La grande question est finalement de savoir si le commun des internautes se soucie réellement de ces questions touchant de près ou de loin au respect de la vie privée. La polémique fait en tout cas peut-être le jeu d'Internet Explorer.
Tendance à confirmer pour Chrome
La part de marché attribuée ces dernières heures par Net Applications à Google Chrome montre cependant à n'en pas douter un certain engouement, qu'il est difficile de ne pas imputer pour le moment à un simple effet de curiosité. Plus de 1,5 %, c'est déjà mieux que Opera mais Safari paraît encore assez loin (plus de 6%) tandis que Firefox approche les 20 % et plus de 70 % pour Internet Explorer. Rappelons que Chrome est seulement en version bêta.
C'est désormais chose faite comme on peut le constater dans la version de l'EULA mais pas encore pour les conditions d'utilisation en français, tandis qu'il faudra encore un peu de temps avant que cela devienne effectif pour les versions à télécharger.
Une section 11 épurée
Désormais, la section 11 est considérablement réduite : " You retain copyright and any other rights you already hold in Content which you submit, post or display on or through, the Services ", ou en français : " Vous conservez les droits d'auteur et tous les autres droits en votre possession vis-à-vis du contenu que vous fournissez, publiez ou affichez sur les Services ou par le biais de ces derniers "... et c'est tout. Il n'est ainsi plus fait mention comme précédemment d'appartenance à Google de tout contenu émis via Chrome et de mise à disposition de ce contenu à des partenaires. Sur son blog officiel, Google en profite pour présenter ses excuses.
Tout n'est pas encore rose
Reste à savoir si cette péripétie aura des conséquences sur le choix des internautes, et pénalisera peut-être de façon irrémédiable Chrome, d'autant que comme l'a souligné CNET, la barre d'adresse intelligente du navigateur adopte par défaut (avec le moteur Google configuré) un comportement qui ne plaira pas à certains et sur lequel Google ne reviendra à priori pas. Un responsable de la firme a ainsi confirmé que 2 % des requêtes saisies (sans forcément être validées via l'auto-suggestion) dans cette barre d'adresse seront conservées par Google et ses serveurs en étant associées à l'adresse IP de la machine émettrice.
La grande question est finalement de savoir si le commun des internautes se soucie réellement de ces questions touchant de près ou de loin au respect de la vie privée. La polémique fait en tout cas peut-être le jeu d'Internet Explorer.
Tendance à confirmer pour Chrome
La part de marché attribuée ces dernières heures par Net Applications à Google Chrome montre cependant à n'en pas douter un certain engouement, qu'il est difficile de ne pas imputer pour le moment à un simple effet de curiosité. Plus de 1,5 %, c'est déjà mieux que Opera mais Safari paraît encore assez loin (plus de 6%) tandis que Firefox approche les 20 % et plus de 70 % pour Internet Explorer. Rappelons que Chrome est seulement en version bêta.