En première place tout d'abord, on trouve le cheval de Troie dénommé Trojan.AutorunINF.Gen. Se propageant par le biais des supports de stockage amovible tels que les clés USB, les cartes mémoire ou les disques durs externes, il a représenté 13,40 % des malwares observés.
À la seconde place ensuite vient le ver Win32.Worm.Downadup.Gen, également connu en tant que Conficker ou Kido, qui tire partie d'une vulnérabilité du système d'exploitation Windows. Il a été à l'origine de 6,19 % des infections.
La troisième place est occupée quant à elle par Exploit.PDF-JS.Gen, qui exploite une faille du moteur Javascript du logiciel Adobe Reader pour exécuter du code malveillant sur les ordinateurs et a représenté 5,30 % des menaces.
En quatrième position, on trouve l'infecteur de fichiers Win32.Sality.OG, une menace dont il est extrêmement difficile de se débarrasser et ayant pour mission de désactiver l'antivirus en place. Il a représenté 2,58 % des infections.
En cinquième place enfin, on note le troyen Trojan.JS.Downloader.BIO, un code Javascript véhiculé par le biais des pages Web via des techniques d'injection SQL qui créé des cookies pour récolter des informations personnelles. Il a représenté 2,13 % des malwares en circulation.
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