Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, vient de l'annoncer à l'occasion de la conférence ECPN ( European Capital's Police Network ). D'ici quelques semaines, dans les départements de la Charente-Maritime ( 17 ) et des Yvelines ( 78 ) débuteront les premières expérimentations pour le commissariat virtuel, projet sur lequel le gouvernement français planche depuis plusieurs mois.
Interrogée par l'agence de presse AFP, Michèle Alliot-Marie justifiait l'existence du commissariat virtuel par une simplification et un gain de temps pour les citoyens : " Je crois que c'est aussi une façon de rapprocher l'administration des personnes. Trop souvent, les personnes se plaignent des démarches qu'elles doivent faire, des temps d'attente pour les faire. Eh bien par le dépôt de plaintes en ligne, je pense que nous allons améliorer ceci d'ici très peu de temps ".
Rien n'est encore précis pour l'instant quant aux possibilités offertes par le commissariat virtuel, même si on parle déjà de pouvoir déclarer les délits dans un premier temps et de pouvoir déposer plainte à terme. Les citoyens devraient bien entendu s'identifier à l'aide du numéro de leur carte d'identité et pourraient, si besoin est, être convoqués dans le commissariat proche de chez eux.
Si la phrase de test s'avère concluante, le commissariat en ligne pourrait être progressivement étendu à l'ensemble territoire par la suite.
Interrogée par l'agence de presse AFP, Michèle Alliot-Marie justifiait l'existence du commissariat virtuel par une simplification et un gain de temps pour les citoyens : " Je crois que c'est aussi une façon de rapprocher l'administration des personnes. Trop souvent, les personnes se plaignent des démarches qu'elles doivent faire, des temps d'attente pour les faire. Eh bien par le dépôt de plaintes en ligne, je pense que nous allons améliorer ceci d'ici très peu de temps ".
Rien n'est encore précis pour l'instant quant aux possibilités offertes par le commissariat virtuel, même si on parle déjà de pouvoir déclarer les délits dans un premier temps et de pouvoir déposer plainte à terme. Les citoyens devraient bien entendu s'identifier à l'aide du numéro de leur carte d'identité et pourraient, si besoin est, être convoqués dans le commissariat proche de chez eux.
Si la phrase de test s'avère concluante, le commissariat en ligne pourrait être progressivement étendu à l'ensemble territoire par la suite.
Source :
01net