La publicité incriminée met, selon les dires de l'autorité de régulation, " autant en valeur l'existence d'un contrôle parental que la diffusion de programmes pour adultes par SFR ", a indiqué le Conseil supérieur de l'audiovisuel lors de son assemblée plénière du 25 juillet dernier.
Décision publique
Les organes de régulation et de contrôle, tels le Bureau de vérification de la publicité (BVP) ainsi que les réseaux télévisés ont été immédiatement avertis par le Conseil supérieur de l'audiovisuel de sa demande " d'éviter toute diffusion avant 22h30 de messages publicitaires mettant en scène des images habituellement réservées aux vidéogrammes de catégorie IV ou V " (interdits au moins de 16 et de 18 ans).
Cependant, SFR peut continuer à vanter auprès de ses abonnés mobiles les mérites, diamétralement opposés, du contrôle parental et ceux des contenus érotiques dans un même spot, les décisions du CSA n'étant pas à caractère exécutif.