Désormais, l'USPTO ne semble plus très convaincu par la demande de Dell, arguant que le terme cloud computing est générique et pourrait s'appliquer à un certain nombre de services et produits développés pour des infrastructures IT. Pour l'USPTO, il s'agit d'une description non-applicable à une seule société. Google ou encore HP, Intel et Yahoo! qui s'investissent parfois ensemble dans le cloud computing peuvent donc respirer. Néanmoins, pour Dell tout n'est pas encore définitivement perdu, et il lui reste 6 mois pour reformuler et préciser sa demande.
Restons alors dans le générique pour rappeler que le cloud computing ou informatique virtuelle, fait référence à la dématérialisation des logiciels et applications liés à un ordinateur pour en passer par l'Internet, ou plus généralement aux centres de données qui sont en relation pour l'exécution de services en ligne.