Le studio anglais se contente cette fois de huit petites images in-game qui n’ont clairement pas fait l’objet de quelconques retouches visuelles. Malgré les artefacts liés à la compression, ces clichés se veulent relativement fidèles à la réalité et font apparaître un jeu plus correct que jamais. La seule critique que l’on pourrait émettre concerne la résolution des textures.
Comme bon nombre de studios, Codemasters a préféré se concentrer sur l’ambiance de jeu générale et éviter de passer trop de temps sur les détails. Ce choix est on ne peut plus compréhensible car ces faiblesses texturales sont surtout visibles à l’arrêt. Un joueur normal passe relativement peu de temps à rouler au pas, en général il doit trouver un compromis entre vitesse et risque.
Autrement, le Ego Engine semble très bien exploité par les développeurs qui veilleront cette année à se consacrer au rallye. Cette discipline automobile a été rapidement marginalisée depuis la création de la saga DiRT. En procédant ainsi, Codemasters veut rassurer les fans de WRC et leur permettre de connaitre à nouveau les joies de la glisse.
