Les enseignements d'une étude en ligne menée par l' UFC-Que-Choisir auprès d'un échantillon de 803 internautes de 15 ans et plus, ayant acheté de la musique sur une plate-forme légale de téléchargement, ne surprendra véritablement personne tant il est vrai que d'un point de vue consommateur, les mesures de gestion des droits numériques ou DRM sont essentiellement synonymes de contraintes multiples mais encore faut-il le savoir.
Manque cruel d'information ?
D'après cette enquête, 90% des internautes sondés ont déclaré qu'il est très important de pouvoir lire les fichiers et donc d'écouter la musique achetée sur des lecteurs de marques différentes.
Autres statistiques intéressantes et peut-être plus inattendues, 51% des acheteurs de musique en ligne n'ont jamais été informés des restrictions d'usage imposées par les DRM (incompatibilités, nombre de transferts limités, ...) et surtout 65 % pensaient pouvoir lire les fichiers sur différentes marques de matériels sans aucune contrainte.
A noter toutefois que cette étude a été réalisée au mois de février et depuis des efforts certes encore timides, ont été consentis par l'industrie du disque (cas d' EMI). Il n'empêche, l'association de consommateurs demande au gouvernement de réviser la loi DADVSI pour retirer aux producteurs la liberté unilatérale d'imposer des DRM contraires aux droits élémentaires des consommateurs et à l'intérêt des artistes eux-mêmes.
Manque cruel d'information ?
D'après cette enquête, 90% des internautes sondés ont déclaré qu'il est très important de pouvoir lire les fichiers et donc d'écouter la musique achetée sur des lecteurs de marques différentes.
Autres statistiques intéressantes et peut-être plus inattendues, 51% des acheteurs de musique en ligne n'ont jamais été informés des restrictions d'usage imposées par les DRM (incompatibilités, nombre de transferts limités, ...) et surtout 65 % pensaient pouvoir lire les fichiers sur différentes marques de matériels sans aucune contrainte.
A noter toutefois que cette étude a été réalisée au mois de février et depuis des efforts certes encore timides, ont été consentis par l'industrie du disque (cas d' EMI). Il n'empêche, l'association de consommateurs demande au gouvernement de réviser la loi DADVSI pour retirer aux producteurs la liberté unilatérale d'imposer des DRM contraires aux droits élémentaires des consommateurs et à l'intérêt des artistes eux-mêmes.