La CNIL indique ainsi que le G29 aurait reçu environ 2000 plaintes de la part de particuliers faisant face à un refus des moteurs de recherche d'exercer leur droit à l'oubli ( 250 en France). De fait, les institutions ont pris les dossiers à leur charge pour confronter les demandes et les faits aux conditions fixées par l'arrêt de la CJUE. Si les cas sont avérés légitimes, les institutions ont le pouvoir d'imposer le déréférencement des pages incriminées. Au total et rien qu'en France, ce sont 50 000 demandes qui ont trouvé une issue favorable auprès des moteurs de recherche en 6 mois seulement.