Mastodonte du milieu vidéoludique, Electronic Arts est une entreprise qui, avec des jeux vidéo phares comme FIFA et Madden, entre autres, a su se constituer l'image d'une société puissante. Après s'être endormi sur ses lauriers alors que Konami lui piquait des parts de marché (avec sa série ISS devenue PES), EA a su réagir. Que dire alors de Dead Space, nouvelle licence et qui parvient tout de même à fortement s'imposer, grâce à son contenu ludique très attrayant.
Reste que de l'autre côté, les choses ne vont pas dans le même sens. Les ventes stagnent, et pire, ne sont plus aussi bonnes que par le passé. C'est pour cette raison qu'Electronic Arts a annoncé vouloir réduire de 6% ses effectifs.
Encore des pertes
Electronic Arts perdait de l'argent depuis un certain temps, mais la situation a empiré cette année. Ainsi, l'éditeur numéro un mondial enregistre des pertes de l'ordre de 310 millions de dollars pour le second trimestre fiscal, contre 195 l'année dernière. Toutefois, avec cette nouvelle politique de réduction des dépenses (à laquelle les licenciements contribuent), EA pense économiser 50 millions de dollars par an.
Mais ce n'est pas suffisant pour entacher le moral de John Riccitiello, grand patron d'Electronic Arts, qui dit se montrer "très optimiste" sur le long terme, à la fois pour la société et en ce qui concerne le jeu vidéo. On peut comprendre cette attitude quand on sait que le chiffre d'affaires de l'éditeur a connu une progression de 39,7%. Merci Madden, Rock Band et Spore.
Reste que de l'autre côté, les choses ne vont pas dans le même sens. Les ventes stagnent, et pire, ne sont plus aussi bonnes que par le passé. C'est pour cette raison qu'Electronic Arts a annoncé vouloir réduire de 6% ses effectifs.
Encore des pertes
Electronic Arts perdait de l'argent depuis un certain temps, mais la situation a empiré cette année. Ainsi, l'éditeur numéro un mondial enregistre des pertes de l'ordre de 310 millions de dollars pour le second trimestre fiscal, contre 195 l'année dernière. Toutefois, avec cette nouvelle politique de réduction des dépenses (à laquelle les licenciements contribuent), EA pense économiser 50 millions de dollars par an.
Mais ce n'est pas suffisant pour entacher le moral de John Riccitiello, grand patron d'Electronic Arts, qui dit se montrer "très optimiste" sur le long terme, à la fois pour la société et en ce qui concerne le jeu vidéo. On peut comprendre cette attitude quand on sait que le chiffre d'affaires de l'éditeur a connu une progression de 39,7%. Merci Madden, Rock Band et Spore.