Ces chercheurs ont mesuré le rythme cardiaque, la respiration et l'activité du cerveau de quarante participants masculins et féminins sélectionnés au hasard, et les ont fait jouer à un jeu violent sur Xbox 360 ou à un jeu de foot. Ils ont remarqué que lorsque les joueurs tuaient quelqu'un dans le jeu violent, il ne se passait pas grand-chose dans leur cerveau. Mais quand ils concédaient un but ou commettaient une faute dans le jeu de sport, leur activité cérébrale atteignait des sommets.
Le Dr. Goodson, qui présentera cette semaine le fruit de ses recherches à la conférence annuelle de la British Psychological Society en Écosse, a ajouté que les participants ont généralement montré plus d'agitation avec le jeu de foot, et qu'il est possible que les jeux vidéo violents aient été désignés à tort comme la pire chose à laquelle une personne peut jouer. Dans un monde où la violence a été banalisée au point de la retrouver dans chaque journal télévisé comme un "guest" permanent, ces conclusions ne nous étonnent pas. Et vous amis lecteurs ?
Source :
Metro.co.uk