L'enquête a été menée sur 500 individus âgés d'au moins 19 ans, et ce qu'il en ressort, c'est que plus de 45% d'entre eux affirment jouer à des jeux vidéo. Et le CDC a révélé que l'âge de ces joueurs était en moyenne de 35 ans, que leur masse corporelle était plus importante que celle de personnes ne s'adonnant pas à ce loisir, et qu'ils se trouvaient généralement en moins bonne santé que celles-ci.
Les filles sont servies
Les gameuses US ne sont pas vraiment mieux loties, car il a été décelé chez la plupart d'entre elles "une plus grande dépression et un état de santé plus faible que chez les femmes non-joueuses". Alors que dans le même temps, les "joueurs mâles ont signalé un IMC supérieur et une plus grande dépendance à Internet que les non-joueurs".
Le Dr. James B. Weaver, du CDC, ne considère pas ces conclusions comme surprenantes :
"Les facteurs de risque liés à la santé, en particulier un IMC élevé et un nombre important de jours passés dans une pauvre condition mentale, différencient les joueurs adultes des non-joueurs.
Les gamers ont également montré une plus faible extraversion, compatible avec une recherche sur les adolescents qui liait le fait de jouer aux jeux vidéo à un mode vie sédentaire et à une surcharge du statut."
Cela s'annonce mal pour Seattle, effectivement, mais on ne peut imaginer que la finalité de ce sondage soit applicable sur tous les territoires de ce monde comportant des joueurs.