Une recommandation a été adoptée en ce sens, et d'engager pour cela les " États membres à élaborer des programmes fiables et à nouer des partenariats " afin de mettre en ligne " davantage d'œuvres protégées par des droits d'auteur mais qui ne sont plus disponibles dans le commerce ".
Des partenariats de type public-privé sont donc recommandés. Ils permettront de partager les coûts de la numérisation. La Bibliothèque nationale de France a d'ailleurs lancé un appel à des partenaires privés pour la numérisation de ses collections.
Pour atteindre les 30 millions d'objets en 2015, la France doit apporter une contribution à hauteur de 4,308 millions d'œuvres numérisées ( deuxième place ). La plus forte contribution à honorer est celle de l'Allemagne avec 5,496 millions, et 3,705 millions pour l'Italie ( troisième place ).