Pour Mark Zuckerberg, le partage avec des amis est une " tendance lourde " et d'avenir dont a notamment su tirer profit l'industrie du jeu vidéo, et de citer l'exemple de Zynga. Il estime que les mêmes recettes vont s'appliquer à d'autres industries comme la musique, les films ou encore les livres. Ce ne sera toutefois pas le rôle de Facebook, si ce n'est d'apporter un savoir-faire technologique pour favoriser les interactions sociales.
Sur le partage des données qui peut parfois poser des problèmes quand elles sont personnelles, Mark Zuckerberg déclare que c'est à " chacun de choisir ses propres limites ". Il estime en tout cas que le succès de Facebook tient aussi au fait que c'est un réseau avec des " identités réelles ".
Au cours de l'entretien, Marc Zuckerberg a souhaité revenir sur l'éventualité d'une ouverture de Facebook aux moins de 13 ans. Il a souligné que ces récents propos ont été mal interprétés : " on ne travaille pas à l'ouverture aux moins de 13 ans ". Si ce n'est " pas une priorité " du moment au regard de la complexité de la protection en ligne des enfants, il indique néanmoins que la question finira par se poser.