La boutique en ligne de Free Mobile a profité de la journée d'hier pour ajouter à son catalogue l'un des smartphones les plus en vues à l'heure actuelle : le Nexus 5.
Un smartphone qui brille à la fois par sa compatibilité 4G, a fiche technique hors-normes, mais aussi, et surtout son prix puisqu'à prestation haut de gamme, le Nexus 5 s'affiche au prix d'un dispositif de moyenne gamme, soit 399 euros.
Malheureusement, il fallait s'y attendre, les stocks du smartphone chez Free Mobile ne sont pas plus importants que ceux du Google Play Store lui-même, et si le smartphone s'affiche toujours disponible en noir chez l'opérateur, la version blanche elle, s'est rendue indisponible en quelques heures à peine.
Signe d'un franc succès ? Pas forcément, puisque comme nous l'évoquions, le smartphone est toujours disponible sous commande avec des délais de livraison affichés entre 2 à 3 semaines sur le Google Play Store, preuve que les stocks sont limités pour tout le monde.
De plus, au-delà de sa disponibilité, ce n'est pas le seul problème qui se dresse devant les abonnés Free Mobile qui souhaitent profiter pleinement de leur Nexus 5. En effet, pas question pour eux d'accéder au réseau Free Wifi Secure.
Si comme tous les autres abonnés Freebox, les abonnés Free Mobile disposent d'un code d'accès pour l'ensemble des hot spots Free Wifi, ces derniers bénéficient également d'un accès à FreeWifi-Secure, une fonction qui permet de ne pas avoir à se connecter manuellement à un hotspot.
Mais le Nexus 5, tout comme l'ensemble une grande partie des smartphones opérant sous Android ne gère pas l'EAPSIM utilisé pour cette connexion. Si certains smartphones sont compatibles avec l'EAPSIM, c'est parce que les constructeurs ont fait l'effort de l'intégrer à leurs terminaux, Android ne gérant pas cette fonctionnalité seul.
Reste qu'avec un forfait 4G appuyé d'un volume data aussi confortable que celui proposé par Free Mobile, la bascule vers le réseau Free WiFi Secure, généralement très peu performant sera rapidement oublié, et le manque fera davantage figure d'anecdote, du moins pour celles et ceux situés dans une zone couverte par le réseau.